Préface De Bérénice

accorde une salle : le Petit Bourbon. Les précieuses ridicules y sont jouées en 1658. Molière dirige les acteurs et joue dans ces pièces (contrairement à Racine qui reste en dehors). Molière dans les PR joue Mascarille. Il imprime en 1660. Dans la préface il s’explique : il n’avait pas prévu de la faire éditer « c’est un chose étrange qu’on imprime les choses malgré  eux ». Quelqu'un à regarder le spectacle et a tout retranscrit, mais Molière ne voulais pas de cette transcription donc il publie un

maître impuissant (Toinette et Argan, Scapin et Géronte ou Figaro et Almaviva) ou le vieux barbon (Arnolphe dans L'École des femmes), l’ingénue (Agnès dans l'École des femmes), le tyran domestique (Harpagon, Orgon dans Tartuffe), le roi (Titus dans Bérénice, don Carlos dans Hernani, Créon dans Antigone)... On peut également établir des stéréotypes psychologiques comme l’amoureux ou l’amoureuse (Phèdre, Perdican), le benêt (Sganarelle dans Dom Juan), l’hypocrite (Tartuffe). La diversité des genres

traite de l'apparence, qui est toujours, voir plus important de nos jours. Par ailleurs, d'autres textes, comme la tragédie du XVIIème Bérénice écrite par Racine, offre une quasi-absence de didascalies, ce qui permet au metteur en scène de penser à différentes gestuelles ; par exemple lors de la scène où Titus, roi de Rome se contraint d'avouer à son amante Bérénice, une princesse de Palestine que leur union est impossible, du fait de son obligation à respecter les règles de mariage qu'il s'impose

Candide, dans les textes étudiés en classe, mais aussi dans vos lectures personnelles. INTRODUCTION – UNE DEFINITION DE LA PHILOSOPHIE : La littérature a pour but de « plaire et de toucher », comme l’affirme Racine dans la préface de Bérénice ; romans, pièces de théâtre ou encore recueils poétiques sont là pour émouvoir l’homme, le distraire et lui permettre de s’évader des vicissitudes du quotidien. Cependant, les écrivains ont aussi à cœur de faire réfléchir leur public, de les

prisonnière. Oreste est ambassadeur des Grecs. Il doit récupérer Astyanax. Oreste aime Hermione. Celle-ci aime Pyrrhus. ü Hernani de Victor Hugo J’introduis. Victor Hugo : (1802-1885) Il est considéré comme le plus important écrivain romantique. Dans sa Préface de Cromwell3 (1827), il caractérise le drame romantique. Il s’agit d’un écrit théorique sur ce que doit être un drame romantique. C’est le manifeste du drame romantique. Hernani ou l’Honneur castillan (1830): L’intrigue nous emmène dans l’Espagne

du théâtre cf Racine : • « Dans un mois, dans un an/ comment souffrirons-nous, Seigneur / que tant de mers nous séparent de vous / que le jour recommence et que le jour finisse / sans que jamais Titus puisse voir Bérénice / sans que de tout le jour je puisse voir Titus » (Bérénice) • => pour dire l’amour, sentiment extraordinaire (ou qui transporte hors de l’ordinaire) on admet qu’il faut user d’une forme elle-même extraordinaire / et on admet que, pour dire le lien entre l’amour et la beauté

plus connus. En 1669, il met en scène Britannicus, une tragédie politique romaine sur les jeux et enjeux liés à la quête du pouvoir tyrannique. Cette pièce ne plait guère aux nombreux partisans de Corneille qui se déchainent contre lui. En 1670, Bérénice remporte un grand succès tandis que sa dernière pièce, Phèdre, est violemment attaquée sur le caractère scandaleux de l’intrigue. Malgré́ sa fidélité́ à la pensée janséniste, Louis XIV affecté par la mort du poète, autorise son inhumation dans le

seuls comptent les acteurs) Notes et contrenotes, Ionesco ( « tout est permis au théâtre […] il est donc non seulement permis mais recommandé 2 faire jouer les accessoires,faire vivre les objets, animer les décors, concrétiser les symboles ») La préface 2 Cromwell, Hugo (ne peut toujours pas être jouée. Cette fresque historique 2 l’Angleterre du XVIIème siècle reste une pièce pratiquement injouable, par ses dimensions démesurées( 6000 vers). Ses changements 2 décors fréquents sont aussi 1 obstacle

Rousseau reproche à la tragédie est justement ce qui passionne les amateurs et les auteurs de tragédie. Le premier paragraphe montrera que la tragédie, bien loin de chercher la proximité, trouve dans l’éloignement une grande part de ses effets. Dans la Préface de Bajazet, Racine a souligné la nécessité d’un éloignement dans le temps ou dans l’espace pour exciter l’imagination, la sensibilité, le rêve (ou le cauchemar). Faudrait-il se priver des mythes antiques pour éviter d’être « trop loin de nous » ?

Ou bien même aussi Théâtre en Liberté, ainsi que Cromwell et Hernani de Victor Hugo où dans les deux dernières œuvres, il brise les règles du théâtre classique en oubliant les unités de temps, de lieu, et surtout d’action. Ces pièces, tout comme Bérénice de Racine, permettent de mieux percevoir l’aspect poétique d’une pièce en vers. Une lecture analytique est alors possible et permet de détecter le sens que l’auteur veut transmettre par les figures de styles, les expressions, car les auteurs véhiculent