Procédure Sociale

: théorie juridique Page 1 sur 63 SECTION 2 : définition juridique SECTION 3 : la procédure judiciaire SECTION 4 : les sanctions TITRE II : PROCEDURE PENALE CHAPITRE I : ANALYSER LES PROCEDURES ADMINISTRATIVES ET PENALES SECTION 1 : Les principes fondamentaux de la procédure administrative Paragraphe 1 : La procédure écrite Paragraphe 2 : La procédure inquisitoire. Paragraphe 3 : La procédure contradictoire SECTION 2 : Le cheminement d’une requête devant une juridiction administrative

étranger et International Fribourg, Allemagne MANUEL DE PROCEDURE PENALE AVANT - PROPOS Ce manuel de procédure pénale est un ouvrage didactique destiné particulièrement aux étudiants des filières juridiques et judiciaires ainsi aux praticiens du droit en général. Venant combler, au niveau national, le manque d'ouvrage dans cette discipline, ce livre constitue un véritable cours qui, dès l'introduction, donne la définition de la procédure pénale, en présente les caractéristiques et développe la

personnes nomades (depuis une loi de 1969, doivent déclarer une commune qui sert de domicile juridique), les bateliers (on fait référence à la capitainerie du lieu d'immatriculation du bateau), les SDF (leur domicile juridique est les services sociaux). _ l'unicité du domicile : toute personne a un domicile et un seul domicile. Cela étant, il faut nuancer le passé avec l'évolution de la société. Ce principe d'unicité était acceptable à une époque ou les gens naissaient, se mariaient et mouraient

d’une maison…) A. La charge de la preuve. Lors d’un procès Il y a 3 personnes qui se rencontrent : Le demandeur, le défenseur et le juge. Le but est de savoir sur qui va peser la charge de la preuve c’est-à-dire . On distingue deux procédure : La Procédure accusatoire elle privilégie l’intérêt individuel, c’est la victime qui est à l’initiative des poursuite .Selon l’article 1315 du code civil : Le demandeur( celui qui agit en justice) doit prouver ce qu'il revendique Une fois que le demandeur

diversification des procédures sont au cœur des réformes de 26 juillet 2005. Elle créé une troisième procédure collective pour favoriser le traitement préventif des difficultés du débiteur, appréhendées avant la cessation de paiement et soumise à un traitement judiciaire lourd inspiré du redressement judiciaire : la sauvegarde. Donc, aujourd'hui on peut avoir une procédure amiable alors que l’entreprise est déjà en cessation des paiements (la conciliation) et on peut avoir une procédure judiciaire (la

JUDICIAIRE L'AN DEUX MIL ET LE : A LA DEMANDE DE : Nom/ prénom De nationalité XXXX Né le XXXX à XXXX Demeurant: XXXXX Ayant pour Avocat : XXXX J'AI L'HONNEUR D'INFORMER: - Dénomination sociale: Sté XXX - Forme juridique: Sarl - Enregistrée sous le n °XXXX RCS XXX - Siège social: XXXXX - Prise en la personne de son représentant légal domicilié ès qualité audit siège,XXXX , né le XXXX à XXXX OU ETANT ET PARLANT A: Qu'un procès vous est intenté pour les raisons ci-après

aujourd’hui en ce qui concerne la procédure pénale. Aujourd’hui nous avons une procédure pénale mixte sur la base du code d’instruction criminelle, ancêtre du code de procédure pénale de 1958. Au début du XIXème siècle, dans le code d’instruction criminelle, Napoléon a fait un compromis entre l’héritage de l’Ancien régime fortement inquisitoire, procédure inquisitoire qui continue à caractériser la phase d’instruction et l’héritage révolutionnaire de la procédure accusatoire pour la phase de jugement

La justice est une fonction que l’Etat exerce sous forme de monopole. Elle est rendue par l’Etat au nom du peuple français. La fonction juridictionnelle est étatique, personne d’autre ne peut rendre de jugement. La justice est garante de l’ordre social (l’Etat ne peut pas s’en débarrasser). Le juge a le pouvoir de « juridictio », il peut dire le droit et disposer également de « l’imperium ». Il peut ainsi imposer l’exécution forcée de sa décision, c’est un pouvoir de commandement se manifestant

disposition diverses procédures de redressement dont l’application vise à guérir l’entreprise concernée qui présente alors des difficultés, à savoir des difficultés financières, économiques ou sociales, et a fortiori un état de cessation des paiements, ou plus grave encore une cessation d’activité. Les procédures proposées sont adaptées selon le degré de difficulté rencontré par l’entreprise, raison pour laquelle le législateur a prévu des mesures de traitement amiables (ou procédures individuelles) destinées

Com 26/6/07 photo service Recueil Dalloz 2007 p. 1864 Premières décisions de la Cour de cassation sur la procédure de sauvegarde Alain Lienhard C'est une nouvelle étape dans l'application de la loi de sauvegarde des entreprises que ces arrêts marquent symboliquement : après le temps des mesures transitoires, voici venu le temps des mesures substantielles. Quand même la Cour de cassation aura certainement encore à trancher de difficultés d'application de la réforme dans le temps (d'une subtilité