Pourpoint

princières, on a des gardes de robes très conséquentes. Robe = signifie affaire. Le responsable de la garde de robe est responsable des vêtements, des tapisseries, des livres. On le signe par écrit. Dans un inventaire de Philippe le Hardi, on a un « pourpoint de velours vermeil ». Cela peut donner des indications, sur le port du vêtement et aussi l’impact auditif de part les grelots qu’il porte. Le but de ces inventaires est d’éviter le vol et de faire reconnaître le vêtement pour les personnes qui le

- Mon pourpoint m’a suivi dans mes malheurs, il lutte ! Il ôte son manteau et mire dans la glace son pourpoint de satin rose usé, déchiré et rapiécé […] Cette entrée en scène comique met en évidence une nouvelle fois le caractère dérisoire du manteau du Comte d’Albe, à présent « déchiré », comme si le costume qui sied aux brigands ne pouvait être fait que de haillons. Don César, à la différence de Ruy Blas, ne se dissimule pas derrière le costume des autres, il exhibe le pourpoint volé avec

courage. Pour commencer, nous pouvons remarquer qu'Alexandre Dumas fait une description morale de son personnage central, le comte de la Mole. Il utilise deux figures de style pour le décrire, comme on peut le voir à la ligne 1-2: « Bientôt son pourpoint devint trop serré pour les battements de son cœur » et « Bientôt son épée devint trop lourde pour sa main ». La première figure est l'hyperbole. La deuxième, est l'anaphore, avec la répétition de l'adverbe de temps « bientôt ». Nous analyserons

aussi sa femme : Philaminte car il a peur de l’affronter en face.Dans l’ensemble de la première partie de la tirade, Chrysale oppose deux lexiques contraire : le lexique de la bonne femme (« enfant » vers 573 ; « ménage » vers 574 ; « A connaitre un pourpoint avec un haut de chausse » vers 580 ; « ménages » vers 582 ; un dé, du fil et des aiguilles » vers 583 ou encore « elle travaillent au trousseau de leurs filles » vers 584) et le lexique des femmes savantes (« livres » vers 561 « femme étudie et sache

Jeune|Pourbus]].]] Le costume masculin et féminin au début du siècle montre peu de changements par rapport au costume de la période précédente. Le costume masculin se compose du ''[[pourpoint]]'' ([[vêtement]] d'homme qui couvre le torse jusqu'au-dessous de la [[ceinture (vêtement)|ceinture]]) ; ce pourpoint est arrondi dans sa partie inférieure, comporte des épaulettes et des ailerons (manches très courtes au-dessus de l'épaule), à petites ou grandes tailladesFente aux manches qui laissent apercevoir

commanditaire de l’œuvre. Son costume : une huque de velours, sorte de grand manteau aux bords garnis de fourrure, un pourpoint noir aux poignets brodés d’or, vêtement court apparu vers 1340, des chausses, sortes de bas qui s’attachent au pourpoint et qui peuvent avoir des semelles, un chapeau de feutre - La femme porte une robe de drap verte ; depuis l’apparition du pourpoint pour les hommes, la différence de vêtement est davantage marquée, la mode veut des femmes à la silhouette allongée et

GUDIEL Nul ne le sait encor, monseigneur. DON SALLUSTE Mais demain ! Demain, on le saura ! - Nous serons en chemin ! 25 Je ne veux pas tomber, non, je veux disparaître ! Il déboutonne violemment son Pourpoint. - Tu m'agrafes toujours comme on agrafe un prêtre, Tu serres mon pourpoint, et j'étouffe, mon cher ! Il s'assied. Oh ! mais je vais construire, et sans en avoir l'air, Une sape profonde, obscure et souterraine ! 30 - Chassé ! - Il se lève. GUDIEL D'où vient le coup, monseigneur

simultanément. B) Déchiffrer le vieillard par un portrait organisé, selon le regard de l’écrivain-artiste Balzac • Le changement de point de vue s’effectue avec les injonctions : « Imaginez […] Mettez cette tête […] entourez-la […] jetez sur le pourpoint … » qui dirigent le regard du lecteur et l’interpellent : « Vous aurez une image imparfaite de ce personnage […] Vous eussiez dit d’une toile de Rembrandt … ». On note néanmoins que, malgré ce guidage visuel, le personnage conserve son mystère car

des classes moyennes. Enfin, les costumes éclairent le spectateur sur le thème central de la pièce. Dans le texte A, l’opposition entre le costume des jeunes et des vieux pourtant identiques mais portés différemment « hauts de chausse, attaché au pourpoint avec des aiguillettes s’oppose aux hauts de chausse tout tombants » annonce une comédie sur les conflits entre les générations. En outre, les costumes, évoqués dans les didascalies et les répliques, peuvent aussi guider les lecteurs dans la découverte

comme on agrafe un prêtre, tu serres mon pourpoint »). Il semble le connaître depuis des années (v.34-35 « Toi (…) qui depuis vingt ans m’as aidé, m’as servi dans les choses passées » et v.37 « Tu sais bien jusqu’où vont dans l’ombre mes pensées ») et le respecte (v.23 et 31 « monseigneur », didascalie « Gudiel salue et sort »). Il est tutoyé et appelé par son prénom (v.4 « Gudiel ! », v.6 « n’en parle pas », v.26 « Tu m’agrafes », v.27 « tu serres mon pourpoint », v.33-34 « Gudiel ! tu m’entends. Toi