Pour en finir avec Dieu

Sardou se vera accusé de faire l'apologie de la peine de mort. Dès le début du texte on ressent la rage, l’indignation et le besoin de vengeance de ce père dont le fils a été assassiné. En effet on peut le voir à travers cette phrase : « Aucun Dieu ne m’apaisera » Il va d’abord faire une critique de la justice en niant le fait que tout condamné à le droit à un avocat, il dit : « Tu n’a plus besoin d’avocat ». Il continue en disant : « J’aurai ta peau. Tu périras », il fait donc primer la vengeance

Le deuxième probleme qui se pose, est politique : prendre la place d'Octavie aux cotés de l'empereur et perdre sa relation avec Britannicus, ou alors ne pas monter de statut sociale bien ne pas accepter et avoir une relation avec Britannicus? Pour finir un problème morale se pose : suivre Neron dans ses actes et en obtenirs les avantages, ou bien le combattre et mettre sa protection en danger? Par la suite, je vais vous parler d'une oeuvre de Pierre Corneille appelée Horace. Dans cette pièce,

est l'histoire qu'elle raconte, une histoire comparable à des comptes pour enfant qui va crée des faits que le croyant va croire sans juger si ces faits sont réels, avéré ou encore logique. Il va faire totalement confiance à sa foi, en sa croyance à Dieu, en sachant que sans foi un croyant n'est pas réellement un croyant .Il ne vas pas faire attention à tout ce qui pourrait être des vérités ou des hypothèses scientifiques, en relation avec la raison. Il est complètement persuadé que sa croyance est

quitte définitivement Hamm, On peut donc avoir l'impression, comme Clov ne cesse de le répéter, que « quelque chose suit son cours ». Mais on peut aussi supposer que Clov devine la fin, puisqu'il répète sans cesse "Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir", il y a ici une notion de fatalité. * Message : Le titre peut faire référence à un jeu d’échecs ou à la domination de Hamm sur les autres personnages (marteau tapant sur les clous). Pour fuir la monotonie (ou absurdité) de leur quotidien

sac, les croyances et la foi, les gris-gris et la Bible, les messe noires et les cultes protestants. Ils feront simplement une distinction entre ce qui est plus ou moins éloigné de la pure raison. Mais les arguments que vous invoquez pour croire en Dieu et ceux qui vous font chercher des trèfles à quatre feuilles sont, pour eux, fondamentalement de même nature. Préciser la différence C’est pourquoi il est important de préciser ce qu’est à nos yeux la différence entre une véritable conviction religieuse

était chargée de ranger les factures mais elle était incapable de remplir son rôle à bien. Ensuite elle devait vérifier toute les notes de frais mais sans résultats non plus. Elle fût ensuite muter au poste de rien du tout. Et elle finit donc par finir nettoyeuse de « chiottes ». Elle devait remettre du papier quand il n’y en avait plus, et d’essuyer les cuvettes… 5. Pourquoi Amélie ne veut-elle pas démissionner ? Comment fait-elle pour supporter sa dernière situation ? Elle ne veut

tandis que pour l’inceste, c’était manifestement fort involontaire. Oedipe se révèle donc un bouc émissaire car malgré une vie passée à essayer d’échapper à son sort et aux prédictions de l’oracle, son destin finit par le rattraper et il est forcé de finir sa vie dans l’errance et la solitude car c’est là le seul moyen de sauver Thèbes, ville maudite. Les dieux le cible en effet comme l’unique responsable des malheurs de la cité. B) Dans un autre ordre d’idées, cette histoire est une vraie belle leçon

et un pauvre. En fait, Sganarelle et Dom Juan demande leur chemin au pauvre, et cette discussion amène le thème de la religion ce qui permet à Molière à travers les paroles de Dom Juan de critiquer la religion et de remettre en cause l’existence de Dieu. Nous nous demanderons quel est l’intérêt de cette scène ? Cette scène révèle une hiérarchie entre ces trois personnages, permet de critiquer la religion et brosse ainsi un nouveau portrait de Dom Juan. L’instauration d’une

différences notables. Nous commencerons par voir l’inspiration mythologique/religieuse de ces deux histoires. Puis, nous nous intéresserons au renversement des valeurs instauré par Michel Tournier vis-à-vis du conte traditionnel de Perrault. Pour finir, nous verrons de quelles manières ces deux œuvres traitent le passage initiatique de l’enfance à l’âge adulte. I. Inspiration mythologique/religieuse De nombreux contes traditionnels s’inspirent de mythes venant de l’antiquité et le petit poucet

différente, en effet le premier texte est une fable du poète : La Fontaine, « La Cour du Lion » publié en 1678. Le deuxième texte est écrit par le philosophe Voltaire en 1764, c’est un article de son Dictionnaire philosophique : «Tyrannie », pour finir le dernier texte du genre théâtral reconnaissable avec les répliques des personnages ainsi qu’aux didascalies, cette pièce « Caligula » écrite par Albert Camus. Nous allons voir avec ces trois textes comment leurs auteurs dénoncent-il la tyrannie