Pour en finir avec Dieu

calmant sur les douleurs humaines, une ataraxie ; c’est pourquoi Hamm déclare « C’est l’heure de mon histoire », p.65, comme il dit « C’est l’heure de mon calmant ». D’ailleurs, il faut d’une certaine façon que le récit ne finisse pas, Hamm a peur de finir, p.81. Comme il faut retarder le départ de Clov et l’agonie du refuge, il faut toujours retarder la fin du roman. Dans l’épisode final, alors qu’il est « seul », Clov cherche encore à gagner du temps en continuant sa narration. 1.2 ) Faire

à des phrases à la forme emphatique (« Ô comble de misère ! », « Cruelle destinée ! »). Ensuite, nous voyons que Phèdre parle de l'amour qu'elle ressent en mettant l'homme qu'elle aime au rang d'un Dieu grâce au champ lexical de la religion (« temples », « encens », « autel », « Dieu ». Pour finir, cet amour est réellement passionnel et obsédant car elle sent son esprit et son corps lui échapper quand elle voit Hyppolite : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », « un trouble s'éleva dans mon

de la Providence ») . On aperçoit que la critique de la religion musulmane mais aussi chrétienne est présente tout au long du texte comme on peut le voir avec son champ lexical (: "grâce de Dieu", "fidèles", "bénédiction", "vénérables frères", "anathématiser", "Dieu, "sainte doctrine", "merveilleux", "Dieu", "pèlerins", "salut des âmes", "Providence", "fidèles", "âmes", "damnation éternelle", "tentation diabolique", "vrais croyants".) Puis Voltaire montre que la lecture incite à une société meilleure

est une forme célèbre du lyrisme médiévial avec trois strophes identiques composées de trois dizains en décasyllabes suivies d'un envoi constitué d'un quintil ou d'un quintain. Chaque strophe s'achève pas un refrain qui se trouve être « Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! » dans le cas de ce poème. Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et le retour lancinant d'une plainte. Les rimes de type « ababb » et « ccdcd » sont répétées trois fois. Ces réptitions et l'envoi

du monde connu auquel il s'oppose souvent radicalement. L'utopie fait donc toujours référence au contexte historique dans lequel elle apparaît et comme tout apologue, elle est porteuse d'une signification, d'une vision du monde et de l'Homme. Pour finir, l'utopie a une double fonction : elle est un laboratoire de nouvelles idées en matières politique, social ou morale et elle contient une critique, souvent implicite, du monde tel qu'il est. Ainsi, l'utopie est une stratégie argumentative indirecte

doute un peu de ce que l'on nomme « la troisième voie » et il faut alors voir ce nombre non plus simplement mais pour ce qu'il signifie après le un et le deux. Le un : l'unité primordiale , ce qui est avant le commencement pour le croyant c'est dire Dieu. Avec le nombre deux viennent l'idée d'opposition, de conflit mais aussi de complémentarité. Avec le trois plus d'opposition , c'est le début de la relativité. Les trois points nous permettent de tracer un triangle, dans ce triangle deux droites

partie sur l'aspect poétique du texte (présentation de la versification et des thèmes typiquement poétiques) puis ensuite une deuxième partie sur l'aspect argumentatif du texte (présentation des procédés argumentatifs et l'engagement de VH). Et pour finir une conclusion. Aspect poétique Ce texte présente les caractéristiques d'un poème au niveau de la versification et des thèmes présents. 1)La versification Fonction du poète est un texte écrit en vers, il comporte des rimes qui suivent

selon laquelle Dieu serait un tube et nous explique alors le titre de son œuvre : l'auteur veut rechercher au delà des apparences, des réponses sur son existence, la vie... A sa naissance Nothomb se définit et définit sa vie comme Dieu où comme celle d'un tube : elle existe et vit mais elle ne ressent aucuns besoins, aucuns manques et est à tout les points de vue le centre de l'univers. Le tube ne bouge pas, ne crie pas, son surnom est alors "la plante". Cet état léthargique va se finir arrivé à l'age

durera jamais longtemps. Le but est alors de se libérer de cette forme d’illusion pour y rétablir une vérité qui mènera au bonheur dans l’acceptation de soi-même. L’amour propre est en partit ce qui nous empêche de vivre avec nos défauts. Et donc pour finir la vérité est la racine de l’illusion et du bonheur car la contradiction entre les 2 est présente et une fois l’illusion défait et la vérité rétablie, le bonheur le sera aussi. 3.3Il y a un terme précis qui doit être abordé : c’est celui de la réalité

mais je ne pouvais pas m’aider et donc, je me haïssais encore plus. De quelque part, au fond de mon esprit, remonta une forte impression. Prie. Ma mère m’avait appris à prier. Mes professeurs à l’école religieuse de Boston nous avaient souvent dit que Dieu nous aiderait si nous le Lui demandions, simplement. Depuis des semaines, des mois, j’essayais de contrôler ma colère, en m’imaginant que je pourrais la gérer moi-même. A présent, dans cette petite salle de bain torride, je connaissais la vérité. Je