Potlatch

permet alors d'illustrer des procédés économiques maintenant disparus, ou largement acculturés par l'économie monétaire et marchande.             L'échange dit "qualitatif" est mis en avant par des pratiques telles que la Kula (Malinowski) et le Potlatch (Boas) mais aussi chez M. Godelier par l'étude des Baruyas avec  notamment l'échange des femmes contre des femmes ou contre des biens (la dote que l'on retrouve encore). La valeur morale ici prend une part importante, voir centrale, dans l'échange

serait donc un de ces groupe reposant sur des liens autrement basés que sur l’intérêt. MARCEL MAUSS (1872-1950) L’anomie isole les individus qui par manque d’intégration (anomie) perdent les repères constitutifs de leur identité personnelle. Le potlatch, cérémonie d’échange en Amérique du Nord, repose sur un mode de relation édifiée sur l’échange ; ici spécifiquement sur le don. Cet intérêt, symbolique et spirituel répond à l’enjeu de reconnaissance, qui confère aux relations sociales une dimension

Ex. : guerre froide : course aux armements parce que le but des USA et de l’URSS est d’être un peu plus fort que l’adversaire (causalité circulaire) : schismogenèse symétrique : le comportement de A est du même ordre que celui de B (aussi comme le potlatch). Il existe aussi des schismogenèse complémentaires : rôles dominant/dominés, exhibitionnistes/voyeurs ( voir Naven. Quelque soit la sorte de schismogenèse, l’exacerbation des comportements peut conduire à déséquilibrer et à renverser le système

raison de l’échange au sein des sociétés archaïques » (1925). b) Ce système de don est pratiqué dans les sociétés primitive (tribu indienne du nord est de l’Amérique).Le système de don est présent lors de grande cérémonie (la plus connu Potlatch) pratiqué dans les tribus indienne. A partir de cette étude Mauss explique que le don n’est pas réduit à un simple échange de nature économique. Le don n’est pas un troc. C’est un fait social total qui permet de mieux comprendre les rouages d’un

une immense accumulation de marchandises. » III. Échanger pour dépasser l’intérêt Il existe encore un autre type d’échange, présent dans de nombreuses sociétés sous des formes plus ou moins semblables, et que l’on désigne par un terme chinook : potlatch, verbe qui signifie à la fois donner et consommer, voire même consumer. Tel qu’il est décrit et interprété par Marcel Mauss dans son Essai sur le don, le rituel réunit différents clans, représentés par des chefs qui se rencontrent au cours de cérémonies

ceux qui peuvent sans souci +13.7 bourse délier… « Il faut les clés de sa culture, 18 et donc une éducation. Ceci est très caractéristique des +12.9% Billion RMB +13.3% pays émergents comme la Chine ou la Russie. D’autres, reproduisant la logique du potlatch archaïque, 10.8 Billion RMB vont « flamber » et lors de8.9grandes fêtes vider des caisses de cognac Louis XIII, le nec plus ultra de Rémy 7.6 Billion RMB 6.7 ils vivent 5.4 Martin : Billion RMB le luxe de façon hédoniste et sociale, un peu dans la

discuter jusqu'a arriver a trouver une solution qui satisfait tout le monde: cela est différent de chez nous car ce qui compte c'est le système de la majorité cela entraine des insatisfactions de la part des minorités), également etait pratiqué le "Potlatch" (=remise a niveau des richesses=idée d'egalité des richesses) dans les tribus du monde amérindien, Indien. C) Le modele monotheiste: la soumission il existe tout à fait un Dieu créateur qui a réussi sa création du premier coup, même s'il a mis

position sociale. Selon Polanyi, les liens sociaux l'emportent sur le profit matériel, immédiat. Cela signifie que d'autres logiques peuvent fonctionner, notamment celles fondées sur le don comme analysées par Marcel Mauss (Essai sur le don). Le potlatch par exemple est une cérémonie de don dans certaines sociétés indigènes où l'ascension sociale se fait par celui qui fait le plus gros don, contribuant ainsi à l'honneur du clan. Et ce don est obligatoire par consensus social. Dans l'Egypte antique

tous ces mariages ne sont pas saisis au même moment; car leur vertu mythologique n'est pas la même. Le grand mariage (aristocratique ou bourgeois) répond à la fonction ancestrale et exotique de la noce : il est à la fois potlatch entre les deux familles et spectacle de ce potlatch aux yeux de la foule qui entoure la consomption des richesses. La foule est nécessaire; donc le grand mariage est toujours saisi sur la place publique, devant l'église ; c'est là qu'on brûle l'argent et qu'on en aveugle

surenchère. Elle est à l'entreprise ce que l'amour, la fête et l'art sont à la vie : un trop plein d'énergie, de force, qui cherche un exutoire. À sa manière, on peut croire que l'entreprise pratique ce que l'anthropologue Marcel Mauss appelait le potlatch, qui consiste, dans des peuplades primitives, à amasser des surplus et des richesses très grandes afin de les dépenser en pure perte. « Rien ne définit mieux l'être humain que sa disposition à faire des choses absurdes pour obtenir des résultats