Potidée

Celle-ci regroupe les cités grecques de cette partie de la côte, Amphipolis y est en concurrence avec Olynthe. En pratique, Philippe dissout la Ligue Chalcidienne et remet la cité d'Amphipolis et son territoire à Olynthe. En 356, Philippe s'empare de Potidée et de Pydna, qui ont été jadis conquises par Athènes, il renvoie les Clérouquies (à la fois colonies et garnisons). Athènes, qui est alors en pleine guerre des alliés ne réagit pas directement, elle tente, sans succès, de créer une coalition entre

cité. La tradition nous dit qu’il épousa une femme du nom de Xanthippe, épouse acariâtre dont il eut trois fils. Souvent présenté comme un oisif, il ne s’est pourtant jamais soustrait aux devoirs de citoyen : il participe à la campagne de Potidée au début de la guerre du Péloponnèse et assiste à la défaite des Athéniens face aux Thébains à Délion (424) où il sauve Xénophon. Ces actes de bravoure ne vont pas empêcher les conservateurs de condamner l’esprit nouveau qu’il incarne. Ils voient

étaient bien plus légères que celles des hoplites grecs. Une fois son armée prête au combat, Philippe II mit en place une politique d’unification nationale et d’expansion. 2) Les expansions vers l’est. A la ligne 37, il cite Méthone. Méthone, Potidée, Pydna et Amphipolis sont attaqués par Philippe en 354. Il s’agissait d’assurer une ouverture sur la mer et expulse les clérouques athéniens. A la ligne 37 : «  … ni de 32 villes de Thrace si cruellement détruites par lui qu’on a peine aujourd’hui

XENOPHON (Apologie de Socrate ; Mémorables), et par DIOGENE LAERCE (IIIe s. après J. C.). Fils d'un tailleur de pierre, et d'une sage - femme, PHENARETE, SOCRATE est donc un homme de modeste condition. Athénien attaché à son pays, il s'est battu à Potidée (Banquet. 219 e) et à Délion (Banquet. 220 e). Il meurt en 399, condamné à mort par les athéniens pour corruption de la jeunesse et impiété. B. Sa manière de vivre ou sa méthode philosophique. L'oracle de Delphes, consulté par son ami CHEREPHON

va de l’installation de garnison de clérouques athéniens, soit des Athéniens qui exploitent des terres confisquées aux autres cités −> en 447/446 en Eubée, à l’expulsion de la totalité de la population d’une cité, remplacée par des Athéniens (Potidée en 429). 1. Ingérence athénienne dans les affaires internes des cités alliées : lors d’un affrontement entre Milet et Samos en 441/440, Périclès soutient la 1ère avec prise d’otages et garnison installée à Samos. Samos demande l’aide des

contrôler la Thrace font foi de ses aspirations panhelléniques. 3. La guerre d'Athènes contre Sparte Prévoyant le conflit avec Sparte, Périclès y prépare le camp athénien. Il soutient Corcyre contre Corinthe(433) puis tente de briser la révolte de Potidée, qui demande l'appui de Corinthe et de Sparte.     La guerre du Péloponnèse (431-404 avant J.-C.) Périclès serait à l'origine du décret qui, interdisant les marchés de l'Attique et les ports de la Confédération aux Mégariens (432), va provoquer

de la peine. Lâcheté, fuite du danger. La morale s’oppose au bonheur puisqu’elle affirme que la sécurité n’est pas le bien souverain pour l’homme, il est des bonheurs d’esclaves (Apologie de Socrate, 29d, l’exemple d’Achille, ou encore Socrate a Potidée) Ce courage est-il humain? L’histoire n’a pas dix philosophes au plein sens du mot à nommer, et les moments de courage intellectuel ne sont pas si fréquent qu’on puisse trouver réellement une centaine d’ouvrages qui en soient nés et peuvent donc réellement

à fréquenter les côtes septentrionales de cette mer dès la fin du viiie s., d’où le nom de la péninsule de Chalcidique et l’établissement érétrien de Méthôné. En Thrace, les Pariens s’étaient déjà installés à Thasos (vers 680), les Corinthiens à Potidée (vers 600). Dans la région des détroits, on rencontre les Milésiens à Cyzique (ca 680), les Mégariens à Chalcédoine et à Byzance (ca 660). La mer Noire commence à être fréquentée à une époque qui n’est pas encore exactement connue. Les sources littéraires

trouve au cap Mycale et lui est consacré. Les Eoliens, les Béotiens et les Mégariens se réclament également de lui par l'intermédiaire de leurs ancêtres éponymes, Eolos, Beotos et Megarée, qui sont ses fils. Des cités portent également son nom : Potidée en Chalcidique et Poseidonia/Paestum en Grande Grèce. L'amphictyonie de Calaurie se réunit dans son sanctuaire, tandis que le principal centre religieux de la Triphylie est le sanctuaire du Samikon. Poséidon Hippios, seigneur des chevaux, est vénéré

homme politique athénien qui tomba à Cotonée en -445. Il fut élevé dans la maison de Périclès, son tuteur. Tout porte à croire qu’à la tutelle de Périclès, qui de termine en -434/-433, succéda l’influence de Socrate. C’est avant l’expédition de Potidée en -431 qu’Alcibiade entre en contact avec Socrate. Dans le Banquet dont l’occasion est la victoire du poète Agathon, en février -416, Alcibiade avoue qu’il ne rencontre plus Socrate que rarement ; il l’évite, parce qu’il ne rougit d’être devenu l’homme