Politique De Produit Swatch

marché suisse ............................................................................................ 25 Structure ...............................................................................................................................25 Produits ................................................................................................................................26 Les fournisseurs Suisses ........................................................................................

consommation de masse de se développer. Au départ, tous les produits étaient nouveaux : c’est pourquoi les producteurs avaient seulement besoin de faire connaître les produits en eux-mêmes, pour leurs fonctionnalités. >> Mais quand les produits ont commencé à être produits en masse, et à devenir difficiles à distinguer les uns des autres, les entreprises on donc dû trouver quelque chose pour donner un plus à leurs produits : ce fut la naissance de la marque commerciale. De 1900 à 1940

connectée de LG, la G Watch R, présentée à l'IFA 2014. REUTERS/Fabrizio Bensch La première montre connectée conçue par Apple pourrait être présentée en même temps que l'iPhone 6, le 9 septembre. Depuis le temps qu'on en parle, autant dire que le produit est très attendu. Reste à savoir si les acheteurs seront vraiment au rendez-vous. Toutes les grandes marques high-tech se positionnent en tout cas sur ce créneau, qui constitue l'une des grandes tendances au salon IFA de Berlin, cette année. Samsung

1970 -1980 : déferlante du mouvement à quartz créé par les japonais et précipitant l’horlogerie de luxe suisse dans une crise de 10 ans : le nombre des emplois passe de 90 à 30 000 et celui des entreprises de 1 650 à 600). 1980-1990 : création de SWATCH, réponse marketing du berger suisse à la bergère nippone. Accentuation de la pression marketing. • • • – – 1990-2000 : la décennie du luxe : forte concurrence pour la possession des marques course à la taille industrielle critique création

STRATEGIE ET POLITIQUE DE L’ENTREPRISE Plan: INTRODUCTION Les différentes stratégies i) LES Stratégies « produits » * La spécialisation * La diversification * La diversification verticale (intégration)  * La diversification horizontale  * La diversification concentrique * La différenciation * Stratégie de pénétration * Stratégie d’écrémage * Stratégies nationales * Stratégie d’impartition  * Stratégies d’alliance * Stratégies de croissance

CENTREDOC.ch 1 CENTREDOC Jaquet-Droz 1 2002 Neuchâtel +41 32 720 51 11 info@centredoc.ch www.centredoc.ch Titre CENTREDOC • Société coopérative ¾ Swatch Group, Rolex, VLG, Patek-Philippe, Tag-Heuer, Metalor, Nestec, … ¾ CSEM, FSRM, IMT, … • Conseil d’administration ¾ Président – P.-A. Vuille – ETA, Swatch Group • Direction ¾ B. Chapuis • Collaborateurs ¾ ¾ ¾ ¾ • 15 personnes Scientifiques Ingénieurs Consultants en informations 3 axes de prestations

: n°1 mondial n°1 mondial n°1 mondial n°3 mondial n°3 mondial n°1 mondial n°1 en France Mission et valeurs • Etre l’ambassadeur de l’art de vivre occidental • 5 impératifs:  Etre créatifs et innovants  Rechercher l'excellence dans les produits  Préserver passionnément l'image de nos marques  Avoir l'esprit d'entreprise  Etre animés de la volonté d'être les meilleurs Les clés du succès • Une entreprise avant-gardiste • Une consolidation réussie • Une image de marque LVMH attire

La création de la SMART (en 1996) est le résultat d’une alliance entre deux entreprises qui divergent à tous points de vue : SWATCH et MERCEDES… L’originalité de ce concept marketing peut en effet soulever une question : Par quel moyen la Smart a-t-elle réussi à s’imposer sur le marché de l’automobile malgré un lancement difficile ? Pour tenter d’y répondre, dans une première partie nous présenterons l’entreprise ainsi que son fonctionnement, dans une seconde partie nous nous intéresserons

choix stratégiques I/ LES STRATEGIES DE SPECIALISATION ET DE DIVERSIFICATION  Ressource 2 : les deux stratégies globales selon Igor Ansoff Les stratégies globales proposées par H. I. Ansoff sont définies à partir des champs d’activités produit/marché dans lesquels se situe l’entreprise et dont elle maîtrise les facteurs-clés de succès. Deux axes de croissance sont possibles : la spécialisation dans les métiers actuels et la diversification vers de nouveaux métiers. A/ La stratégie de

mondiale parce qu’elles ont acquis un pouvoir grandissant. Ce sont donc les grandes firmes qui réalisent le + de profits. L’évolution actuelle du CI aurait donc tendance à montrer que « Big is beautiful ». Cependant, en parallèle, on voit que les gvts politiques des PDEM comptent sur le développement éco des PME pr tirer la croissance (CF un ensemble de mesures favorisent l’I des PME). Qu’en est-il en réalité ? Existe-il une taille optimale pour une entreprise ? « Big is beautiful » ? Ou « Small is beautiful »