Plan Schuman

donc au plan (DBF). Il en résulte que (AC) est perpendiculaire à toute droite du plan (DBF) donc en particulier à (BH). • A a pour coordonnées (1 ; 0 ; 0), C(0 ; 1 ; 0). Donc UAC a pour coordonnées (– 1 ; 1 ; 0) et UBH(– 1 ; – 1 ; 1) ; donc : xx’ + yy’ + zz’ = 0. Les droites (BH) et (AC) sont perpendiculaires. 1 1 2 2 UAF(0 ; 1 ; 1) ; UBG(–1 ; 0 ; 1). b) • xx’ + yy’ + zz’ = 1 ; AF = 12 ; BG = 12. xx’ + yy’ + zz’ 1 = . AF × BG 2 • On fait le lien avec le produit scalaire dans le plan ; soit :

(ou un cône) par un plan parallèle à la base on obtient une petite pyramide (ou un petit cône) qui est une réduction due la grande pyramide (du grand cône). Le coefficient de réduction k est égal à SA’ SB’ A’B’ SO’ O’A’ = = = = etc… SA SB AB SO OA Rappel : on a aussi (voir chapitre 7) (A’B’) // (AB) (B’C’) // (BC) ….. (A’O’)//(AO) Page 6 sur 7 B. APPLICATION La figure représente une pyramide régulière dont la base est un pentagone régulier. Elle a été coupée par un plan parallèle à la base.

principale Maggie Cheung qui mettait près de cinq heures chaque jour pour se préparer et qui devait se changer de qipao, ou cheoungsam à chaque scène ce qui fait qu’elle a du en porter près de 25 dont certains n’ont pas été utilisés. Les effets de plan sont parfaitement étudiés par le réalisateur qui voulait créer l’impression que le spectateur devienne l’un des voisins qui observe les deux protagonistes. Dans la scène notamment où ils sont cachés dans une chambre, la caméra est placé très basse

Quels sont les personnages ? 8. Voit-on les Allemands ? Pourquoi, à votre avis ? 9. Quel évènement de la guerre est décrit dans le dernier plan ? 10. Quel est la position de Kubrik par rapport à la guerre ? 11. Quel lien peut-on établir avec le tableau de Nevinson ? 12. Pourquoi le film n’a-t-il pas été diffusé en France ? Vocabulaire. Mouvements de caméra : Plan fixe : la caméra reste fixée sur le pied, mouvements de faible ampleur. (= shot) Travelling : déplacement, horizontal ou vertical, de la

filmés avec une caméra fixe qui accentue sa gaucherie lorsqu’il se rend comptes de la situation dans laquelle il se trouve. La caméra doit bouger un peu pour les plans d’Irène qui est très agitée qu’il n’ait personne d’autre dans le bar. Vers le 24ᵉ plan, les plans deviennent les plans poitrines qui suggèrent l’intimité naissante entre les deux acteurs. Le son fait office de dialogue et d’ambiance de leurs mouvements. Le réalisateur respecte toujours la loi de 180ᵒ. Jean propose de préparer un cocktail

extrusions simples successives dans le même plan et centré sur le même axe, nous avons réalisé un plot et une flèche. 6 Nous avons ensuite utilisé une révolution par extension symétrique pour obtenir la première ébauche d’une des deux poignées. Ensuite, via deux poches successives (une pour enlever la matière au centre et l’autre pour obtenir l’inclinaison des cotés) nous avons réalisé la forme souhaitée pour la poignée. 7 Nous avons ensuite crée un plan vertical décalé de 113.5mm du repère

chacun. La séquence est construite à partir de montage alterné, on passe d’un plan à l’hôpital à un plan qui illustre le départ d’Edward Blum pour l’au-delà et ainsi de suite jusqu’à la fin véritable du protagoniste sur son lit d’hôpital. Lors de la fuite des deux personnages, les plans sont enchaînés très rapidement à l’aide de raccords dans le mouvement et de raccords dans l’axe, on passe d’un plan large à un plan rapproché sur le même personnage. A l’arrivée à la rivière, le rythme s’apaise et

b- Démontrer que O'M' = 0,25x. Deuxième partie On coupe la pyramide SABCD précédente par un plan parallèle à la base et passant par le point O' du segment [OS]. On nomme A', B', C', D' les intersections respectives des segments [SA], [SB], [SC], [SD] avec le plan de coupe.a) A partir du carré A'B'C'D', on construit le parallélépipède A4B'C'D'HGFE tel que le carré EFGH soit dans le plan de la base ABCD. On pose, comme dans la première partie, O'S = x. 1) Exprimer en fonction de x :

donc b=AB2 ou encore b=52, soit b=25 cm2. Notons v le volume de la pyramide de sommet S et dont la base est le carré ABCD. v=b×h3 ou encore  v=25×10 :3 soit  v=83 cm3 valeur arrondie au cm3 près. > 2. La section de la pyramide de sommet S par un plan parallèle à sa base ABCD est un polygone de même nature que cette base. Le quadrilatère MNOP est donc un carré. > 3. Notons k le coefficient de réduction. k=SIsurSH=5sur10 soit  k=1sur2  4. Notons A l’aire de la section MNOP. A=b×k² A=25×(1sur2)²

La structure de l’extrait (plan par plan) : Les Temps Modernes débute avec l’arrivée des ouvriers à l’usine. L’extrait à analyser est le suivant : il s’ouvre avec un gros plan sur la porte du directeur de l’usine. Le plan fixe suivant montre ce directeur assis à son bureau, en train de “jouer” à un puzzle, puis n’arrivant pas à placer une pièce, se met à lire le journal. Il se met alors à vérifier grâce à un écran de vidéosurveillance l’activité de son usine. Le plan suivant nous permet de passer