Plan De Commentaire La Morts Des Amants

(v. 110) ; Chez Camille, le pathétique atteint son comble dans l’évocation de son rêve : « Mille songes affreux, mille images sanglantes,/Ou plutôt mille amas de carnage et d’horreur/M’ont arraché ma joie et rendu ma terreur./J’ai vu du sang, des morts, et n’ai rien vu de suite… » (v. 216219). ● Étudier ce qui, dans les paroles de Sabine, appartient au registre épique (agrandissement de l’espace, champ lexical du grandiose, du divin, procédés oratoires…). Relève de l’épique ce qui naît de la dramatisation

un fagot, ça ne ressemble à rien → veut rabaisser l’homme pour lui montrer qu’il n’est pas supérieur (but de provoquer, montrer l’opposition totale d’Olympe de Gouges vis à vis de l’homme)→ situe les femmes, la sagacité et la Révolution sur un même plan → l’homme prétend faire preuve de sagacité et à amener la révolution mais il a hérité tout ça de la femme (sa mère)synthèse : Vise à montrer les contradiction entre les idéaux révolutionnaire inspirés des philosophes des lumières, les lois naturelles

transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho de la passion de

transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho de la passion de Corneille

disputes (par exemple, au sujet de la maison de la Croix-de-Maufras dont ils ont hérité mais qu'ils ne se décident pas à vendre) viennent maintenant troubler la vie du couple. Et Séverine attend avec impatience le vendredi, jour qu'elle passe avec son amant à Paris. Roubaud est de plus plus absent. Une nuit, alors qu'il est rentré encore plus tard que d'habitude, elle le surprend en train de soulever la latte de parquet pour prendre l'argent du crime. Elle s'en étonne, mais il lui demande de le laisser

fiches outils Fiche 1 Périodes et mouvements littéraires p.7 Fiche 2 Les genres littéraires p.10 Fiche 3 Les registres p.13 Fiche 4 Figures de style et versification p.16 Fiche 5 Rédiger une réponse aux questions sur le corpus p.21 Fiche 6 Le commentaire de texte p.23 Fiche 7 La dissertation p.27 Fiche 8 L’écriture d’invention p.30 Révisions 5 Cned – Académie en ligne Introduction Ce cours est destiné aux élèves désireux à la fois de réviser les notions acquises en Seconde et de préparer

la nuit des temps, Dom Juan est un mythe moderne qui doit son existence littéraire à l’un des auteurs les plus prolifiques du siècle d’or espagnol, Tirso de Molina.» Conio G., Molière. Étude de Tartuffe, Dom Juan. Analyses et commentaires, Alleur, Marabout, 1992, coll. « Marabout Service », pp. 197-198. 1. Quelle est la différence essentielle entre un type et un mythe ? _______________________________________________________________________________________________________

Dom Juan est un mythe moderne qui doit son existence littéraire à l’un des auteurs les plus prolifiques du siècle d’or espagnol, Tirso de Molina.» Conio G., Molière. Étude de Tartuffe, Dom Juan. Analyses et commentaires , Alleur, Marabout, 1992, coll. « Marabout Service », pp. 197-198. 1. Quelle est la différence essentielle entre un type et un mythe ? ________________________________________________________________________________________

l’édition de ses Œuvres Complètes, faisant suivre chaque pièce d’un Examen I. 2 Les deux versions Il suffira de simplement s’interroger sur les deux versions de la pièce, celle de 1639, première édition et celle de 1660. Georges Forestier dans ses commentaires (Edition du livre de poche), résume l’essentiel des transformations que Corneille a opérées. Il faut également mettre en regard la dédicace de 1639 et L’Examen de la pièce précédant sa réédition en 1660. On découvre très vite combien le poids des

guerre (comme Ulysse ou Agamemnon), une histoire de revenant d'entre les morts, de messager des ténèbres, d'homme qui a été victime d'un crime et qui dit : «Je suis là, je veux me venger, même en faisant appel à la loi, pour rentrer en possession de mon nom, de mon rang, de ma fortune et de ma femme». Cet homme mène le combat de sa vie, dans lequel il perdra car, s'il a pu se déterrer, sortir de son trou, quitter les morts, se recoudre le crâne, marcher pendant des années, il aura bien plus de mal