Pitié

est agressif: "J'ai vengé ma race est moi"(l.181) Il parle au nom de tout les nègres marrons présent. De plus Saint Lambert pousse le lecteur a éprouver de la pitié envers Zimeo: "du malheureux Ziméo";"n'ayez point d'horreur du sang qui me couvre"(l.182-183). En parlant à la troisième personne du singulier l'auteur contribue à éveiller la pitié du lecteur. Ainsi son réquisitoire sera plus pertinent par la suite. Durant lequel Zimeo met en garde "les tigres"(l.186) alias les quakers. La répétition du

proposés,
 Quels lauriers me plairont de son sang arrosés ?
 Je veux fléchir des Dieux la puissance suprême :
 Ah ! quels Dieux me seraient plus cruels que moi-même ?
 Non, je ne puis. Cédons au sang, à l'amitié,
 Et ne rougissons plus d'une juste pitié.
 Qu'elle vive. Mais quoi ! peu jaloux de ma gloire,
 Dois-je au superbe Achille accorder la victoire ?
 Son téméraire orgueil, que je vais redoubler,
 Croira que je lui cède, et qu'il m'a fait trembler.
 De quel frivole soin mon esprit s'embarrasse

reconnaissance de son quatrième mariage. L’économie du pape de Rome, qui est la plus importante, est facile à avoir puisque l’Eglise romaine autorise le remariage. D’ailleurs selon l’empereur, à la ligne 31, tous les patriarches « en sont venus à la pitié, la compassion, et la miséricorde, et qu’ils envoient les représentants avec des décrets qui m’accordent une économie ». Le groupe que forme l’opposition au mariage, est en fait, restreint. Les patriarches et le pape Serge III, donnent une dispense

ce qui tomberait de la table de l'homme riche, ce qui à la normale est le comportement du chien qui ici préfère lécher les ulcères du pauvre homme, le narrateur par cette manœuvre rabaisse le pauvre homme plus bas que les chiens, ce qui renforce la pitié qu'il inspire. La première partie se finit par la mort des deux hommes, avant d'expliquer ce passage, remarquons qu'il n'exprime pas le passage de la vie à la mort de la même façon pour les deux hommes: « Or le pauvre mourût et fut emporté par les

but de la tragédie est la catharsis = la « purgation des passions ». Il s'agit de faire éprouver au spectateur la terreur et la pitié, terreur devant le actes que les personnages sont capables de commettre et pitié devant le sort qui leur est réservé. Dans Phèdre, le spectateur est terrorisé par l'action que développera l'aveu incestueux de Phèdre, et éprouve de la pitié devant le sort injuste qui attend Hippolyte. Racine a donc respecté les trois grandes règles de la trégdie classique mais pouvons

l’homme, « livides, brûlés du soleil, […] pain noir… ». Puis dans Lettre à Louis XIV, « aigreur »,  « désespoir », « pitié » et « maux ». Ensuite dans Discours à l’Assemblée, « masures, sombres, humides, glaciales, méphitiques […] miasmes stagnants ». Ainsi que dans Les Effarés, « misère », « pauvres » et «  tremblote ». Enfin dans L’Assommoir, « souffrait », « pouilleux », « pitié », « crever ». Par ce champ lexical, les auteurs mettent en évidence le sujet de leurs textes. Puis, tous les textes

Kyrie
Seigneur, ayez pitié.
Christ, ayez pitié.
Seigneur, ayez pitié.

Gloria
Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
et paix sur la terre aux hommes
de bonne volonté.

Nous Vous louons,
nous Vous bénissons,
nous Vous adorons,
nous Vous glorifions.

Nous Vous rendons grâces
pour Votre gloire immense.

Seigneur Dieu, Roi des cieux,
Dieu Père tout-puissant.
Seigneur, Fils unique de Dieu,
Jésus-Christ, Très-Haut.
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu,
Fils du Père.

Vous qui effacez les péchés du monde,
ayez pitié de nous

différencier l’Homme de l’animal. Néanmoins, Rousseau voit lui la différence Homme animal d’un autre œil. Effectivement, ce philosophe des Lumières, trouve le fondement de cette différence dans deux autres concepts : ce qu’il appelle la pitié naturelle et la perfectibilité. Cette pitié naturelle, vertu qualifiée d’universelle chez l’être humain, serait chez l’Homme « antérieure à toute réflexion », permettant d’éprouver « une répugnance innée à voir souffrir son semblable ». En plus de cela, nous serions dotés

COMPASSION DANS L’OPINION POPULAIRE I.1 – Ce que nous observons : I.1.1 – Au niveau mondial I.1.2 – Au niveau des sociétés I.1.3 – Au niveau individuel I.2 – La compassion dans l’histoire de la pensée : I.2.1 – Nietzsche : pour une vie sans pitié I.2.2 – Pour une éthique de l’égoïsme II – COMPRENDRE LA COMPASSION II.1 – Jésus nous enseigne la compassion II.1.1 – La parabole du mauvais riche et Lazare : Lc 16, 19-31 II.1.2 – La parabole du bon samaritain : Lc 10, 30-37 II.2 – La

maintenant et à l’heure de notre mort. Amen. LITANIES DE SAINT JOSEPH : Seigneur, ayez pitié de nous. Christ, ayez pitié de nous. Seigneur, ayez pitié de nous. Jésus, écoutez-nous. Jésus, exaucez-nous. Père céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Fils Rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Trinité sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous. Saint Joseph, le plus illustre des Patriarches, priez pour nous. Saint Joseph