Pietà De Michel Ange

l’attitude de Marat qui rappelle l’abandon d’un Christ mort d’une déposition ou d’une déploration. Ainsi, l'historien d'art Klaus Lankheit (de) a pu comparer ce motif de l'abandon (bras pendant, tête affaissée) à l'image du Sauveur mort dans La Pietà de Michel-Ange ou La Mise au tombeau deCaravage4. Le choix de l’instant (le titre donné par David était « Marat à son dernier soupir »)5, la solennité, le naturalisme et l’idéalisation élèvent le sujet et confère une portée politique et symbolique à la réalité

mère qui hurle avec son enfant dans les bras. Ses yeux et ses narines sont en forme de larmes et sa langue en forme de couteau. Cela nous montre bien la violence et la tristesse qu’engendre la guerre. Ceci est aussi une référence à l’œuvre Pietà de Michel Ange qui est une figure de la vierge pleurant la mort du Christ. En dessous on peut voir un soldat qui agonise. Le corps est en morceaux cela prouve l’horreur de la guerre et en particulier des bombardements. Il a également des traits

tournés vers le ciel, ce qui accentue l’expression des visages. Au premier plan, de gauche à droite : -La mère et l’enfant : la femme tient son enfant mort dans ses bras, dans une pose pathétique : elle semble effondrée. Cette figure rappelle une Piéta, figure de la Vierge Marie pleurant la mort du Christ. Ses yeux et ses narines sont en forme de larmes. Son cou tendu, sa bouche largement ouverte et sa langue pointue traduisent sa douleur et l’horreur de la guerre. Elle regarde le taureau et hurle

de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. Elle représente la vie, la patrie nourricière et l’innocence assassinée. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : ‘la Piéta’ de Michel Ange. Un habitant dans la ville en flammes : Il représente la mort atroce des civils sans aucun espoir. On peut voir ça comme une référence aux bombes incendiaires qui ont été lâchés sur Guernica. On observe aussi que ce

bouche ouverte, et, comme le cheval, une langue pointue pour représenter son cri strident et intense. Elle tient dans ses bras le corps inerte d’un enfant (victime innocente du bombardement). Cette image pourrait faire référence à la statue Pietà, de Michel Ange, représentant le Vierge Marie portant le corps mort de Jésus dans ses bras. Le soldat : Le soldat symbolise les Républicains et leur lutte jusque la mort. Il présente toute l’horreur de la guerre et la brutalité dont la population a souffert :

corps et dénonce l’oppression régnante. Séance 4 : Persepolis dans l’histoire des arts Voici différentes vignettes de la bande-dessinée ainsi que les reproductions des œuvres qui les ont inspirées. Reliez chaque vignette à sa source. La Pieta de Michel-Ange (1499) Gardes perses, bas-relief de l'Adapadana de Persépolis (Ve s. av. JC) Le Cri, Edvard Munch (peint entre 1893 et 1917) Miniature persane du XVIIe Portrait de Marie-Thérèse, Pablo Picasso (1937) Hulk, personnage de bande-dessinée

basculé vers le haut, ses yeux et ses narines en forme de larmes traduisant sa douleur. Elle hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras pendants. La position de la mère et de son enfant rappelle « La pieta » de Michel Ange. Le soldat git par terre dans le bas du tableau, un de ses bras at sa tête coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée, ce qui montre qu’il s’agit de la figure du combattant. Il tient aussi entre ses doigts une fleur, surement

bouche édentée (femme dans les flammes) expriment la mort d’un peuple, la lâcheté du bombardement. Références artistiques * L’enfant mort dans les bras de sa mère pourrait se rapprocher d’une autre image à portée universelle, celle de la Piéta de Michel Ange, statue représentant la Vierge tenant sur ses genoux le corps du Christ détaché de la croix. * La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ.

Diaporama 5 ; toutes les bouches sont ouvertes et elles expriment la terreur et la douleur, les personnages hurlent, leur position accentue la douleur et la souffrance. Diaporama 6; Cette femme tient son enfant mort dans ses bras un peu comme « Piéta » de Michel Ange (la Vierge qui pleure la mort du Christ). La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, on peut voir que les yeux et les narines ont des formes de larmes. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut

dénonce  l’oppression  régnante. Séance 4 : Persepolis dans  l’histoire  des  arts Voici différentes vignettes de la bande-dessinée ainsi que les reproductions  des  œuvres  qui  les  ont  inspirées.  Reliez  chaque  vignette  à  sa   source. La Pieta de Michel-Ange (1499) Gardes perses, bas-relief de l'Adapadana de Persépolis (Ve s. av. JC) Le Cri, Edvard Munch (peint entre 1893 et 1917) Miniature persane du XVIIe Portrait de Marie-Thérèse, Pablo Picasso (1937) Hulk, personnage de bande-dessinée