Pierre Vidal-Naquet

par l’enseignement au début des années 1980 Depuis et aujourd’hui → multiplication des recherches historiques sur l’occupation, une nouvelle génération d’historiens français se consacre à l’étude du régime de Vichy et des « années noires » : Jean-Pierre Azéma, Henry Rousso, Oliver Wieviorka, Robert Frank… Des historiens sont convoqués aux procès d’anciens responsables de Vichy comme M. Papon… → La période n’est plus taboue III. L'État et l'histoire des mémoires de la Seconde Guerre mondiale

moins longue, parfois même à titre définitif. Bibliographie Homère. Iliade. Paris: Le livre de poche, Odyssée. Paris: Le livre de poche, 1982. Lonis, Raoul. La cité dans le monde grec. Paris: Nathan, 1994. Austin, Michel, et Vidal-Naquet, Pierre. Economies et sociétés en Grèce ancienne. Paris: Armand Colin, 1992.

Dès 1987, le chef du FN, Jean-Marie Lepen, affirme que « les chambres à gaz étaient un point de détail de la Seconde Guerre mondial ». Face à cela de nombreux intellectuels se mobilisent contre « les assassins de la mémoire ». - L’historien Pierre Vidal-Naquet se mobilise contre le négationnisme et va prendre part à faire reconnaître les actes de torture en Algérie. - Le cinéma dès 1985 va aussi dénoncer le négationnisme avec la sortie du film « Shoah » de Claude Lanzmann qui introduit le terme « Shoah »

: Robert Paxton et Jean-Pierre Azéma témoignent lors du procès de Maurice Papon ✗ des historiens répondent aux sollicitations des politiques : Annette Wieviorka participe à la mission Matteoli, mission d'étude sur la spoliation des biens des Juifs de France de 1940 à 1944 ➔ l'engagement peut aussi être plus soutenu. Des historiens s'engagent pleinement et affrontent les acteurs de mémoires qu'ils accusent de travestir la réalité historique ✗ L'historien Pierre-Vidal Naquet a écrit Les Assassins de

mais aussi la satisfaction de revendications présentes. En 2005, des historiens, dont Benjamin Stora, lancent une pétition Liberté pour l'histoire pour dénoncerles lois mémorielles. Ce texte, signé par plus de 600 personnes, dont l'historien Pierre Vidal-Naquet, critique ces lois qui "ont restreint la liberté de l'historien" et indique que ce n'est pas "le Parlement ou l'autorité qui doit définir la vérité historique". Pourtant, il ne faut pas se limiter à une simple opposition entre mémoire et histoire

le plus tôt dans les sources textuelles et iconographiques[32] . Cette variante du combat est également représentée sur des vases apuliens à partir du début du IVe siècle av. J.-C., puis sur des objets étrusques, vases, miroir, urnes funéraires, pierres taillées et pâtes de verre, du début du IVe siècle au Ier siècle après J.-C.[33] Amphore lucanienne (vers 280-270 av. J.C.) représentant un monument consacré à Œdipe. Musée du Louvre. tique et d'un éventuel Œdipe religieux, auquel aurait été

sein de la CEE : 40% d'abstentions, 7% de blancs, 67,7 % de oui. 27 juin : Programme Commun de gouvernement signé entre le PS, le PCF et le MRG en France. 5 juillet : Démission du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas 6 juillet : nomination de Pierre Messmer au poste de Premier ministre 14 juillet : manifestation de 20 000 personnes à Rodez contre l'extension du camp militaire du Larzac 6 septembre : Le gouvernement rend public son plan social. 5 octobre : Fondation par Jean-Marie Le Pen du

1954. Ouvrage: Marie-Claire AMOURETTI, Françoise RUZE, Le monde grec antique, Paris, Hachette, 2011. AVRAM,BASLEZ,MARCELLESI,PERNIN,PERRIN-SAMINADAYAR, Economies et sociétés Grèce ancienne 478-88,Neuilly,Atlande,2007. Michel AUSTIN, Pierre VIDAL-NAQUET, Economies et sociétés en Grèce ancienne,Paris, Armand Colin, 2007. Alain BRESSON, L'économie de la Grèce des cités II. Les espaces de l'échange, Paris, Armand Colin,2008. Alain BRESSON, La cité marchande, Bordeaux,Ausonius,2000.

réconcilier les français et ne pas revenir sur les causes de ces déportations et/ou exil en Allemagne (collaboration/déportés) afin d’éviter toute division. On veut unir les gens pour une paix française mais aussi pour des enjeux politiques (discours de Pierre Mendès France en 1954) -> les maquis se sont battus le 20 septembre 1944 contre les allemands, 10 ans après, le président du Conseil cherche à rétablir les liens entre la France et la RFA avec la création de l’Europe. (mise en place de la CECA) +

il condamne cette révolte et précise qu’aucune indépendance de l’Algérie n’est envisagée. Le 7 novembre, François Mitterrand, alors ministre de l’Intérieur, déclare « l’Algérie c’est la France ». Quelques jours plus tard, le Président du Conseil, Pierre Mendès-France s’exprime à son tour à propos de ces attentats « Entre l’Algérie et la métropole, il n’y a pas de sécession concevable ». Ce sentiment du gouvernement français est le même pour tous les partis politiques, à l’exception du parti communiste