Phèdre 3 Unités

en sont des dramaturges célèbres. Le XVIIème siècle est l’âge d’or du théâtre, qui à cette époque appartient au mouvement du Classicisme, un mouvement qui établit des règles strictes qui dirigeront les représentations (bienséance, vraisemblance, 3 unités), et dont Molière est un représentant. Le théâtre ne cessera alors de connaître des bouleversements et des nouveaux genres, au fil des siècles. Pour en revenir à Molière il faut se rappeler que cet auteur français célèbre, tout en faisant rire les

au mot « Cornélien »= opposition entre 2 points de vue . RACINE : 22 décembre 1639 -21 avril 1699 à Paris. Considéré comme le plus grand auteur de tragédies classiques. Il montre que les passions de chacun sont des éléments du destin. Ex :Phedres, Andromaque et Britannicus. JEAN DE LA FONTAINE : 8 juillet 1621-13 avril 1695 à Paris. Pas dans un mouvement littéraire particuliers . Ecrit fables et contes : le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue, … LES LUMIERES MONTESQUIEU :Jean-Charles

religieuse, il ne faut pas oublier de séduire le public. Il faut utiliser une langue claire, les mots justes, avec une grande économie de moyens. Au théâtre, il faut respecter les règles posées par Aristote (philosophe grec, 387 av j.-c.) : règles de trois unités (un seul jour, un seul lieu, une seule action) et respect de la vraisemblance et des bienséances (pas de mort sur scène, par exemple). Il faut noter cependant qu’Aristote est largement réinterprété par les classiques qui forcent le trait de sa doctrine

contextualisation (histoire littéraire) : Le Cid est la neuvième pièce de théâtre de Corneille et sa seconde tragi-comédie. Elle connaît un grand succès mais est attaquée car elle ne respecte pas les règles du théâtre classique, entre autres la règle des trois unités. Cela donnera lieu à ‘’La Querelle du Cid’’. Problématique et objectifs : Le but de ce travail est d’étudier ce que représente le dilemme cornélien pour les divers personnages du Cid, comment ils le ressentent et les issues ou solutions qu’ils

* mise en forme graphique * reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles | Genres : | poème (et ses multiples formes), prose poétique, chanson, comptine, slogan publicitaire, proverbe, dicton, certains textes d'humour... | 3. Textes injonctifs Caractéristiques : | * Formes verbales de base : impératif, infinitif, futur simple ou indicatif présent (2e pers.) * Organisateurs textuels chronologiques. * Supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur. | Genres : |

alors qu'on l'exprime vraiment. Ex. : « Qu'est-il besoin de parler ici de la Très Chrétienne maison de France, qui par sa noble constitution (...). »  (Jacques Bossuet, « Oraison funèbre de Marie-Thérèse d'Autriche », Oraisons funèbres, 1656-1691.) 3. Les figures d'atténuation a. La litote La litote consiste à exprimer une idée ou un sentiment fort sous une forme atténuée : elle fait comprendre plus en disant moins. Souvent elle fonctionne en utilisant la négation de l'idée contraire (il n'est pas laid pour

Des auteurs comme Racine, La Fontaine, Sénèque serviront d’inspiration à Molière. La perfection va donc être le fil conducteur du mouvement. Pour atteindre cette perfection, de nombreuses règles seront imposées. En littérature, la règle des trois unités devra être respectée. Ces règles mettent en évidence, une certaine rigueur et un travail laborieux. En revanche, le public ne doit pas ressentir ces efforts, l’œuvre ne doit pas être emprunte de ces règles. L’utilisation d’une écriture brève comme

sans entrer dans des excès, et c’est elle qui sort gagnante à la fin de la pièce. Dans Phèdre, on retrouve également la force du coup de théâtre tragique. Le personnage éponyme est victime de la vengeance d’un dieu, qui prend la forme d’un amour passionnel interdit : « Vaines précautions ! Cruelle destinée ! […] Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachées ; c’est Vénus toute entière à sa proie attachée » (I, 3), et ce pathétisme provoque la pitié. Ainsi, la tragédie se propose comme visée de

théâtre permet de dévoiler la vérité, c’est un lieu de magie qui ouvre sur le réel. Classicisme : deuxième moitié du XVIIème Richelieu : Mécénat, Académie française, Mesure, esthétisme, honnête homme et l’Art Poétique de Boileau : Règle des 3 unités (Qu’en 1 jour,qu’en 1 lieu,1 seul fait accompli/Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli) + Présentat° act° ds 1er acte (Que dès les 1ers vers, l’act° préparée / Sans peine du sujet aplanisse l’entrée) + Vraisemblance (Jamais au specta n’offrez rien

instable où tout n’est qu’illusion, le classicisme impose l’idée d’un monde gouverné par la raison où les règles sont de rigueur. Ainsi, L’Illusion comique de Corneille ou Hamlet de Shakespeare sont des œuvres baroques tandis que la tragédie de Racine Phèdre ou encore Tartuffe de Molière appartiennent au mouvement classique. Molière écrit en 1665, Dom Juan ou Le Festin de Pierre. Cette pièce relate du « quotidien » d’un homme libertin invétéré et blasphémateur : Dom Juan, dont l’art de vivre réside dans