Philosophie Souriane

Pour une lecture littéraire, tome 2, Bilan et confrontations, dir. J.-L. Defays, L. Gemenne, D. Ledur, Fomation continuée, De Boeck et Larcier, Bruxelles, 1996. « Il faut d’une façon ou d’une autre réduire la tension entre lecture courante et lecture esthétisante ou du moins la transformer pour qu’elle n’apparaisse pas en tant que telle. » 39 Yves Reuter (la lecture littéraire, éléments de définition). Le problème concernant le comique en classe tient au fait qu’il se prête difficilement à l’exploitation

notre alliée, non notre ennemie. Loin d’être une source de crainte, la pensée de la mort peut être considérée comme une exhortation à mieux vivre. Heidegger nous montre en effet que l’oubli de la mort est synonyme d’ignorance et de frivolité. La philosophie, qu’il présente comme la découverte de la réalité humaine comme temporalité, ne peut jamais en aucun cas exclure la méditation sur la mort. Cette dernières se confond donc avec une invitation à construire pour autrui et pour soi-même l’existence

te deum est utilis pour accompagner la prparation la guerre et donc pour lgitimer en quelque sorte l'acte guerrier ( ligne 13 ). Justification philosophiques : le raisonnement accrdite la guerre comme l'indique la reprise d'un terme de philosophie de Leibniz la raison est suffisante ( ligne 7 ), des effets et des causes ( ligne 14 ), meilleur des mondes = formule de Pangloss. Justification d'ordre lgal : droit public ( ligne 17 ) = l'acte guerrier est une fois de plus lgitim

Traitant ici uniquement des problèmes qui concernent la philosophie, c'est-à-dire des problèmes de sens et de vérité, on laissera de côté les discussions contemporaines sur le mythe en anthropologie et en histoire comparée des religions, ainsi que les questions d'origine, d'évolution, de fonction sociale. Il ne s'agira donc pas de placer le mythe sur le trajet supposé suivi par la religion depuis ses formes les plus primitives jusqu'aux religions supérieures, ni de se demander comment le mythe, considéré

Quel est selon moi le sens de la vie ? L'expression « sens de la vie » désigne l'interrogation de chaque être humain sur la finalité de l'existence. Depuis la nuit des temps les hommes et les femmes cherchent un sens à leur vie sans jamais vraiment trouver de réponse. Cette question du sens de la vie reste un des grands mystères de l’humanité. Pour moi, il y a deux idées qui pourraient permettre de lever le mystère de cette question fondamentale. Tout d’abord, une réflexion sur la vie et la

On vient d’apprendre que Rieux était le narrateur. La scène se situe en ville (similaire à la première page du roman), avec une situation particulière du narrateur, parce qu’il est en recul par rapport à la foule. Il s’est mis en hauteur donc il domine la situation et c’est pour cela qu’il peut réfléchir. Il y a une très nette opposition entre le bruit de la foule et le silence du narrateur. D’une part la vision d’une foule en liesse et d’autre part la solitude du personnage. Celle de Rieux tout

suicide ; le second sur le problème du meurtre. Puisque sa philosophie est morale, Camus cherche des solutions spirituelles et métaphysiques qui remettent en question « les fondements des choses et des valeurs ». Dans Le Mythe de Sisyphe il affirme dès le début : «  Il n’y a qu’un seul problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger si sa vie vaut ou ne vaut pas d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie ». Le sentiment de l’absurde qu’il avait transposé déjà

« Le jeu de l’amour et du hasard », Acte I, scène 1. De « Quoi vous n’épouserez…. » à « …. qui a vécu avec lui ? ». Introduction Ce dialogue se situe au centre de la 1ère scène de « Le Jeu de l’amour et du hasard », la femme de chambre de Silvia, Lisette, vient raconter à sa maîtresse l’entretien qu’elle a eu avec le vieux gentilhomme, Mr Orgon : elle est vouée à être mariée par son père à un prétendant qu’elle n’a jamais vu. Orgon a demandé à Lisette si ce projet de mariage plaisait à sa

La conscience rend-t-elle libre ? Introduction Si nous prenons l’exemple d’un enfant, étant encore jeune, il ne peut absolument pas se douter des problèmes existants sur Terre et plus généralement ce qui pourrait se passer dans sa vie future. Cette inconscience le rend libre au sens qu’il ne sait pas ce qui l’entoure. Il échappe ainsi à tous les problèmes de la vie du quotidien. Cependant, si nous prenons l’exemple d’une femme musulmane, née sous le régime d’extrémistes musulmans

un acte de violence, mais comme un acte de reconnaissance. C’est bien sûr à Hegel que l’on doit cette idée. Chez Hegel, « c’est au châtiment – et non à la vengeance – qu’il appartient de restaurer la reconnaissance » (Taminiaux, Naissance de la philosophie hégélienne de l’Etat, p.46), parce que, contrairement à la vengeance, le châtiment est reconnaissance réciproque, c’est-àdire reconnaissance à la fois de la victime et du criminel. Malheureusement, comme l’ont souligné à plusieurs reprises nos orateurs