Philosophie Science Et Religion

APPRENDRE À VIVRE Chapitre 1 : Qu’est-ce que la philosophie ? - « Finitude humaine » ? C’est le fait que l’homme ait conscience de ses limites et qu’il sache qu’il va mourir. Cela génère une angoisse pour l’homme. Pour se libérer de cette dernière, il va tenter de trouver le salut. - En quoi les questions de la finitude humaine et du salut trouvent réponse différente dans la philosophie que dans les religions ? Pour les religions, on arrive à vaincre cette peur de la mort et donc

La philosophie doit, selon Feuerbach, entreprendre la « critique de la déraison pure », c'est-à-dire du christianisme ; en cela, il s'oppose à Kant, qui envisage la possibilité d'une religion rationnelle. Si la Critique de la raison pure a bien montré qu'aucune preuve de l'existence de Dieu n'était recevable, Kant y explique également que l'existence de Dieu est un postulat nécessaire de la raison pratique. Le devoir en effet semble aller à rencontre de notre bonheur personnel : dans ce monde, il

orientale, dans un milieu modeste et particulièrement pieux; et y est mort le 12 février 1804. Il fréquente tout d’abord un collège dirigé par un pasteur piétiste puis entame des études universitaires. Il étudie la physique, les sciences naturelles, les mathématiques et la philosophie. En 1747, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour s’engager comme précepteur. Dès 1755, il commence à enseigner à l’université de Königsberg, tout d’abord en tant que « Privatdozent » (enseignant payé

La religion apparaît comme un phénomène très ancien, nous pourrions dire universel. En effet, elle est présente dans presque toutes les sociétés humaines, quelque soit la culture. On observe une sorte de «mode» de telle ou telle religion suivant les époques et les lieux. L'homme aspire au divin et recherche naturellement d'où il vient et quel est la raison de son existence. Mais l'homme devient religieux par expérience et selon son libre choix. Alors, l'homme est-il est un être religieux par nature 

droits humains ou encore droits de la Personne sont un concept selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou d'autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité ou la religion. Selon cette doctrine, combattue ou éclipsée aux xix e siècle, xx e siècle et xxi e siècle par d’autres doctrines, tout être humain – en tant que tel et indépendamment de sa condition sociale – a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables

La religion a été définie pour la première fois par Cicéron comme « le fait de s'occuper d'une nature supérieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte »[1]. Dans les langues où le terme est issu du latin religio, la religion est le plus souvent envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. Dans le Coran, le terme dîn, qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu[2]. En chinois, le terme zōng jiào (宗教)

Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? La mort Y a-t-il d’autres mondes ? La justice signifie obéir aux lois ? Philosophie – science ou art? Ces questions traversent l’histoire de l’humanité Nous n’y avons pas de réponse absolue aujourd’hui La philosophie ne se présente pas comme une science Ni comme un ensemble de vérités définitives La philosophie = philo (aimer) + sophia D’autres formes de savoir prérationnel Le mythe et l’épopée Ils sont présents dans les traditions

« La Renaissance est le réveil des lettres, des Sciences et des arts.» Nous pouvons affirmer que la Renaissance est bien le réveil des lettres, des Sciences et des arts puisque l’époque précédente celle-ci était le Moyen-âge et qu’à cette époque les lettres, les Sciences et les arts n’étaient pas mis en valeur car elles étaient une remise en question des institutions dominantes au Moyen Âge, c'est-à-dire la religion et le clergé. L'Église a exercé une grande autorité qui a entraîné la dégénérescence

XVIIIe siècle par science du beau ou critique du goût, et devient depuis le XIXe siècle la philosophie de l'art. L'esthétique se rapporte, par exemple, aux émotions provoquées par une œuvre d'art (ou certains gestes, attitudes, choses), aux jugements de l'œuvre, que ce qui est spécifique ou singulier à une expression (artistique, littéraire, poétique, etc.), à ce qui pourrait se définir comme beau par opposition à l'utile et au fonctionnel. L'esthétique est plus généralement, dans la philosophie de la connaissance

suite Histoire de la guerre de 1741, Histoire du parlement de Paris, Le siècle de Louis XIV, Histoire de la Russie sous Pierre Le Grand et Lettres philosophiques, recueil de 25 audacieux écrits traitant sur divers sujets comme la religion, la politique et la philosophie. Cependant, les titres les plus importants sont Nouvelles considérations sur l’histoire et Histoire générale depuis Charlemagne jusqu’à nos jour (Essai sur les moeurs). C’est dans ces oeuvres que nous pouvons déceler d’avantage les