Philosophie Les échanges

Le 18ème siècle est le Siècle de la philosophie, mais aussi celui de la critique. Il y a entre les deux domaines une unité profonde, originaire, substantielle, une unité de nature. De là est née l'esthétique théorique. La poétique, la rhétorique, la théorie des arts plastiques, la théorie de la connaissance y convergent. L'origine commune des arts et des sciences est expliquée par le pouvoir souverain de la raison (ou de la nature). La beauté et la vérité ont le même fondement : Rien n'est beau

des clubs ou des salons. Le XVIIIe siècle est, en effet, une époque de la diffusion des idées, des Lumières et de la culture, une période qui célèbre les idées et le savoir. Les cafés et salons se développent au XVIIIe siècle, devenant ainsi des échanges d'idées, d'informations mais aussi un lieu où l'art de la conversation et de la causerie naîtra. Ces deux documents nous offrent deux visions de salons parisiens tenus par deux femmes : Madame Geoffrin et Madame de Lespinasse. L'auteur étant encyclopédiste

 Top of Form                    Bottom of Form Comment la philosophie si situe-t-elle par rapport aux diverses disciplines scientifiques ? Représent-elles des démarches contradictoires, concurrentes, complémentaires ? Essayons d'abord de voir comment et pourquoi le problème se pose. On peut d'abors souligner le caractère souvent polémique de la distinction de la science et de la philosophie. Cette distinction est souvent interprétée comme la distinction non pas de deux disciplines, ou de deux

une recherche sur cette question : en quoi la méthodologie inversée peut-elle motiver les élèves du deuxième degré ? Qu’est-ce-que la méthodologie inversée ? La méthodologie inversée ou classe inversée est plus qu’une méthode, c’est une philosophie. Le principe de celle-ci est le suivant : les élèves reçoivent diverses ressources numériques (capsules vidéo, de lectures, de visites virtuelles, etc.), qu’ils doivent visionner et analyser à domicile. Ce travail est réalisé à la place des devoirs

LA MONTÉE DE LA PHILOSOPHIE ANALYTIQUE EN FRANCE On ne pourrait comparer la querelle qui a pris jour en juin 2011, dans Le Nouvel Observateur, autour de Claudine Tiercelin suite à son élection au Collège de France, qu’avec celui, plus traditionnel, des trois F (Faye-Fédier-Farias) qu’on associe avec Heidegger, ou encore avec la surexcitation intellectuelle autour d’un physicien de New York University (Alan Sokal) et d’un physicien français (Jean Bricmont) qui, non sans un certain Schadenfreude, prétendaient

commun entre tous). La liberté se définit alors comme étant la disposition à se soumettre à des lois que l’on a préalablement choisies. * Valorisation du plaisir : autrefois considérés comme secondaires, voire néfastes par le christianisme et la philosophie classique, les éléments pouvant procurer un état de plaisir sont maintenant valorisés. Il peut s’agir de plaisirs corporels (sexuels, hygiène, santé,…) ou de la possession de biens matériels. * Naissance d’un matérialisme caractérisé par l’hédonisme

Pierre Macherey : “Canguilhem et la philosophie” La réserve était, chez Canguilhem, davantage encore qu’un trait de caractère, une attitude d’esprit, une position assumée en conscience, sans concession. C’est ce qui explique que, en considérant que cela ne concernait au fond que lui, il se soit ingénié à rendre quasiment invisibles les traces du cheminement qui l’avait amené à devenir, dans le courant des années cinquante, celui que le colloque qui lui avait été consacré en 1990 avait désigné sous

Compréhension -sujet : un enseignement permanent guidé par la philosophie et qui ne néglige rien dans la mesure où elle exploite le corps et l’esprit. -Registre : didactique et polémique -visée : définition de l’éducation selon Montaigne. Problématique : Plan : Comment Montaigne définit il l’éducation sur l’idée d’équilibre ? I/ L’équilibre comme principe de vie et d’éducation II/ Le balancement comme mécanique d’argumentation III/ La philosophie comme « principale leçon » Conclusion : Nous observons

d’universitaire de première génération constituait un tel impetus que sa trajectoire, au sein de l’espace des possibles de l’époque, l’amena à proposer une « révolution conservatrice » en philosophie (1988). Cette critique de l’illusion de la toute puissance de la pensée a amené Bourdieu a régulièrement prendre à parti une philosophie par trop imbue d’universel, jusqu’à ses incontournables Méditations pascaliennes (1997). Vers la fin de sa vie, son questionnement s’orienta de plus en plus vers l’élaboration

La valeur travail chez Méda I- Présentation de l’auteur Dominique Méda est une ancienne élève de l’école Normale supérieure et de l’école nationale d’administration, agrégée de philosophie, a été professeur à l’Institut d’études politiques de Paris. Aujourd’hui, elle est inspectrice générale des affaires sociales (IGAS) et directrice de recherches au Centre d’Etudes de l’emploi (CEE) où elle dirige l’unité de recherche «Trajectoires, Institutions et Politiques de l’emploi ». Dominique