Philo Qu Est Ce Que Agir Moralement

qu’on dégagera, articulera pour être capable après un retour réflectif de porter un jugement éthique. Chapitre 1 : Qu’est-ce que l’éthique ? L’éthique répond à la question « Que dois-je faire ? » et est un SN. Mais encore ? C’est une branche de la philo (axe pratique). L’éthique se déploie en trois branches : Déontologisme (éthique déontologiste) : affirmer qu’une action est bonne/ mauvaise si elle répond à des principes a priori (avt expérience qui s’impose à moi avant que je n’agisse. Principe

pourquoi (philosopher), ce peut être psychologiquement poser la question des mobiles et des causes. On pourrait alors par exemple dire qu'on philosophe par utilité vitale (donner de l'oxygène au cerveau et " muscler les neurones ", réfléchir pour mieux agir), par besoin psychique, par intérêt individuel ou social de savoir qui nous sommes, d'où nous venons, où nous allons. Il y aurait dans l'acte de philosopher deux motivations sous-jacentes : le désir de connaître (" que puis-je savoir ? " Kant), la

conduite - ensemble des règles de conduite propres à une société, à un groupe. * A quoi ça sert ? - permettre de mieux vivre en société, en nous respectant et en respectant les autres - ê en accord avec des principes réfléchis, des raisonnements moralement acceptés. * éthique appliquée aux soins inf. - traite de ce qu’il nous faut faire ou ne pas faire dans une situation de soins. - procède par raisonnements afin de déterminer nos choix de conduite devant une décision ou une difficulté aux implications

corps est passif. Il y a donc une double nature de l’homme. L’homme est constitué de deux substances hétérogènes. R. va utiliser ce dualisme pour terminer sa bataille contre le matérialisme, et il va s’inspirer d’une argument opposé par Descartes au Philo anglais Locke. Locke dans l’une de ses œuvre a émis une hypothèse, dans L’essai sur l’entendement humain, que Dieu à créé la matière en lui donnant la capacité de pensée sans avoir besoin de lui adjoindre l’âme pour que la pensée existe : *Il voulait

qu’un comportement est moralement bien. Il y a plusieurs définitions différentes pour « la morale ». En générale on peut dire que la morale est l’action humaine, c’est-à-dire que ce sont des modèles, conventions, règles, mœurs ou coutumes de comportement qu’on peut associer à certains individus, cultures ou groupes sociales. La morale oblige aux actions qui permettent d’atteindre le bonheur, la perfection ou la vertu. Elle définit ce qu’il faut faire et comment il faut agir. La morale est la valeur

Philo : La conscience morale Le devoir moral est-il une entrave à la liberté ? Morale : latin mos, mores, manière d'être, manière de se conduire, moeurs. Ethique : grec ethos, manière d'être, manière de se conduire, moeurs. Distinction moeurs, morale, éthique : Il est question, dans les trois cas de figure, de prescrire des règles qui définissent ce qui est bien ou mal en matière de conduite humaine. Les moeurs définissent le comportement au quotidien au sein d'une société. Ex ; règles de bien-séance

PHILOSOPHIE -Mot grec composé de deux termes : « philia » (amitié) et de « sophia » (la sagesse, le savoir). La philo est l’amour de la sagesse, l’amour du savoir NECESSAIRE - Logique et métaphysique : notion intellectuelle fondamentale, opposée à contingent et corrélative de la notion de possible. Est nécessaire ce qui ne peut être autrement. - Morale : moralement obligatoire (pour bien agir, pour réaliser sa nature idéale...). UTILE - Ce qui a sa valeur, non pas en soi-même, mais comme moyen d'une

Philo Exercice de vie Être philosophe. Difficile ou non ? En fait, il s’agit d’adopter un mode de vie différent de ce que la plupart des gens vivent pour pouvoir s’y comparer. Aimant les expériences j’ai donc décidé de me placer, dans deux différentes journées pour deux différents exercices, dans la peau d’un philosophe. Pour ma part, j’ai choisi d’exercer l’ascèse des désirs et d’apprivoiser la mort. Respectivement des courants épicuriens et stoïciens. Premièrement, j’ai décidé d’adopter l’ascèse

Dissertation de philo Faire son devoir, est-ce là toute la morale ?   Face à l'idée de préconiser un avortement thérapeutique à une femme enceinte, le médecin peut se trouver hésitant. D'une part, il est de son devoir de respecter la volonté du patient. D'autre part, sa conscience peut lui manifester une gêne: "Est-ce toutefois bien moral ?". Faire son devoir, est-ce alors là toute la morale ? Contrairement au droit et à la politique qui déterminent le comportement correct à adopter en société

DM philo, Konté, Néné, Tle NacreIntroduction : Ce texte, extrait des Essais de Montaigne, aborde le thème de la vertu et traite de la question de savoir ce qui la distingue cette valeur de la bonté ; en effet, généralement, l’opinion commune assimile « vertu » et « bonté », en ce sens que ces deux qualités morales renvoient à une conduite moralement bonne, irréprochable qui implique de faire le bien et à être bon envers autrui. Ainsi, un homme généreux, bienveillant