Philo Peut On Tout Désirer

membre d'une société” Des caractères généraux pas toujours observable ex: les pensées, représentation de dieux... Attention, on a tendance a valoriser les éléments spirituels au détriment des éléments matériels et outils or dans la culture tout agit et interagit ensemble donc pas de dévalorisation • Au sens restreint => la culture est envisagée comme un mouvement, un dynamisme • Au sens philosophie => processus dans lequel l’homme se forme et se transforme, toujours de

Philo: devoir n°1 La connaissance de soi étant utopique doit on pour autant y renoncer? Intro Chacun à la question « qui es-tu? » pourrait sans doute trouver une réponse qui lui semblerait tout à fait pertinente mais en y réfléchissant d'avantge il pourrait se rendre compte de la complexité cette question et de l'idealisme qu'elle sous entend. En effet La connaissance est définie comme étant une manière de comprendre, comme le fait de connaître mais cette définition peut s'appliquer peut-elle

Le positivisme modéré d’Emile Durkheim Durkheim est le disciple de Comte sur 3 points : - observer les faits sociaux - énoncer des lois, dans le sens de régularité de société - idée que l’on peut appliquer à la société un modèle de pensée des sciences naturelles. Les sciences sociales naissent au moment des crises politiques (ex : Machiavel avec le Prince). Dans l’antiquité, Platon, Aristote > deux courants de pensée Platon : rationnel, il ne prêche pas l’analyse empirique

Plotin 205-270 ap. J-C en est à l'origine. Mouvement philo dominant pendant le Renaissance Italienne & surtout à Florence. Plotin compose les Ennéades (= neuf), composées de 54 traités divisés en 6 livres. Question de la place et d'une pratique de l'Art écarté de la vision du Beau. Rupture de l'ascension car l'Art ne peut nous faire accéder au monde des idées. Dans quelle mesure cette ascension peut-elle être rétablie du côté de l'Art tout en conservant une théorie du Beau idéal ? L'Art est-il

siècle, au siècle des Lumières où l’Europe connait une révolution intellectuelle remettant en cause tout son système, cherchant à renouveler ses réflexions sur sa société. La chine fait l’objet de toutes les curiosités. Contrairement à d’autres territoires découverts, la Chine connait déjà une grande civilisation aux mœurs raffinés qui attisent l’admiration des français et des anglais. C’est tout d’abord une vague de sinophilie que va connaitre les européens avec une influence forte dans les idées

esclavage, on ne peut pas faire ce que l’on veut du coup, quand on manque de liberté on ne fait pas ce qu’on veut. L’indépendance c’est celui qui est contraint par rien, celui qui est entravé par rien. L’esclave est la propriété d’un autre homme, il n’est pas libre de faire ce qu’il veut. La liberté comme indépendance est le plus bas degré de la liberté, à

sujet va devenir central, un certain anthropomorphisme va naitre : « l'homme peut devenir comme maitre et possesseur de la nature » Descartes. On passe d'un monde clos à un monde infini. Plus la science se developpe plus elle se divise en differentes branches Confiance en l'homme va être brisée vers la fin du XIXème siècle avec l'émergence de nouvelles sciences et le remaniement d'autres (psychologie, psychanalise) toutes les sciences vont miner l'idée l'idée que l'homme se faisait de lui-même. Il

vecteurs -avant la lecture de hobbes, revenir aux propos essentiel du cours, l’axe de la modernité politique véhiculé par trois principaux vecteurs pol droit et histoire -modernité conçu comme basculement dans l'autonomie -le premier vecteur : pol : c’est tout ce qui tourne autour de la question de la naissance de l’état moderne et de l’autonomisation de la catégorie pol qui s’accomplit notamment par rapport à la religion, première étape décisive qui est marqué" par la naissance de l’état moderne , quand

| | |Leur jeune âge leur permet-il d’aborder des questions abstraites et complexes ? | | |Est-ce un âge où on peut déjà raisonner ? | | |Est-ce qu’ils sont capables d’écouter les autres ?

puis en 1992 son livre La Fin de l’histoire et le der- nier homme1. Livre étrange, foisonnante justification du modèle de la démo- cratie libérale et du capitalisme saturée d’explications historiques, anthropolo- giques, économiques et, surtout, philo- sophiques. Dans le feu de la polémique, le thème s’est transformé en slogan et en étiquette pour tous ceux qui, de près ou de loin, semblaient « profiter » de l’effondrement –  fin bien réelle celle- là  – des régimes communistes en Union soviétique