Philo La Spécificité Humaine

apporte en nous accueillant à l’Université. Nous remercions l’Agence Universitaire de la Francophonie qui a financé notre formation. Nous adressons des remerciements spéciaux à M. Jonel DORVIL, Assistant Directeur à la Direction des Ressources Humaines au MENFP, notre directeur de stage pour son support et ses recommandations. Nous remercions aussi d’une manière spéciale M. Réginald PAUL, M. Emmanuel ANDRE JEAN et M. Creutzer MATHURIN respectivement coordonnateur du Projet Education Pour Tous,

Histoire des idées politiques Aristote Aristote nous apparaissait comme un philosophe paradoxale, car d’un coté c’est un homme qui a un fort souci avec la réalité, d’un autre coté du point de vue de sa philo politique, tout son discours demeure centré autour de la cité. Aristote a aussi été le précepteur d’Alexandre le Grand, çà veut dire qu’Aristote est un philosophe contemporain de la disparition de la cité en tant qu’institution politique indépendante. Les cités grecques existent toujours

jugement critique= connaissance de l'ensemble des lois qui régissent le genre - Chapelain « plus le poème approche de ces règles, plus il est poème, plus il va près de la perfection » - l’originalité est exclue des critères critiques, toute création humaine suppose une rationalité qu'il suffit de maîtriser pour atteindre son but - aristotélicien= champion de rationalisme (contre l'obscurantisme) -Chapelain « le bon sens est le père des règles » - génération de 1640= les « règles » constituent un

Naissance de la science politique en France 1870-1914]. * Au cours de ce congrès, E. Boutmy a défendu l’idée selon laquelle la science politique est une science expérimentale et inductive, selon lui, la science politique est plus proche des sciences humaines qu’elle ne l’est du droit. * C’est une discipline principalement déductive. Il y a donc un conflit intellectuel autour de ce qu’est la science politique comme discipline et cette opposition reste d’actualité. * Cette opposition met aux prises

l’engagement », « L’adolescent autonome / L’adolescent citoyen / L’adolescent et soncorps / L’adolescent et la culture ». SOMMAIRE Préambule 3 I Historique 4 II Présentation générale 5 A – La spécificité du service B – Le public C – Les enjeux éducatifs D – La démarche pédagogique E – Le cadre juridique III Les orientations générales du document cadre et rétrospective 12 A – Orientations générales B – Rétrospective depuis 2009 IV

contradiction entre la vérité philosophique et la vérité religieuse. La vérité religieuse doit se rationaliser. Ainsi, on admet (comme Leibniz) que le principe de rai- son (qui est un principe d’intelligibilité totale) a une portée universelle. Ainsi, un philo- sophe dogmatique comme Wolff réduit le principe de raison suffisante au principe de non-contradiction. La méthode de la philosophie doit être aussi synthético-déductive que celle des mathématiques. Enfin, entre les vérités intellectuelles et religieuses

utilitariste de l’acteur rationnel, mais pour revaloriser la part de liberté, d’inventivité et de capacité de jugement des acteurs dans tel ou tel système de contraintes et de déterminations objectives. La vision de l’acteur développée par les sciences humaines est désormais celle d’un individu pluriel, appelé à se mouvoir dans différentes scènes de la vie quotidienne, à recourir à des expériences multiples. Pendant plus d’un demi-siècle et à l’image de la sociologie, la discipline historique telle

liberté). Mais cette évidence tombe dès lors que l’on songe à la dimension d’acte ou de choix volontaire de l’obéissance… renvoie au problème, c’est la contradiction entre la condition essentielle de la liberté humaine (l’autonomie de la volonté) et la condition essentielle de l’existence humaine (la soumission aux lois de la société). La problématique qui s’ensuit, c’est le parcours qui nous mène à une 3e partie dans laquelle l’on va essayer de dépasser la tension interne du sujet, en l’occurrence

délinquance et la maladie. Cette exigence de normes préalables permet de distinguer le fait délinquant du fait pathologique naturel. La maladie est un fait naturel en ce sens qu'elle est une affection résultant de l'organisation biologique de l'être humain plongée dans le milieu physico-chimique dans lequel il se meut. La maladie est inscrite dans la nature, elle préexiste à toute vie sociale et culturelle. Certes la société prend en compte la maladie, cependant, elle préexiste. A l'inverse, le fait

Le baccalauréat technologique hôtellerie : quelle légitimité et quel avenir ? C’est dans ce cadre que ce rapport se donne l’objectif d’apprécier le caractère technologique du baccalauréat hôtellerie en s’interrogeant sur sa légitimité, sa spécificité et la pertinence de sa rénovation. Pour ce faire, il aborde successivement : I. la présentation du bilan de cette série au travers de son positionnement actuel au sein de la carte des formations en hôtellerie, en restauration et en tourisme ; II