Philo Hume

(Critique de la philosophie kantienne). La critique de Jacobi[modifier] Jacobi, dans son Appendice sur l'idéalisme transcendantal, dénonce la chose en soi comme contradictoire dans la philosophie de Kant, et renouvelle sa critique dans son David Hume (1815) : [La doctrine kantienne] a incontestablement son point de départ dans la croyance naturelle en un monde matériel existant indépendamment de nos représentations, et ce n'est qu'après coup qu'elle l'élimine par la théorie de l'idéalité absolue

Sujet : La politique peut-elle se passer de la morale ? La politique désigne la science ou l’art de gouverner, ou encore l’action politique elle-même, qui vise à l’exercice ou la conquête du pouvoir. Cela sous entends la mise en place de règles, de lois et se rapproche de ce fait assez de la définition de la moral qui elle désigne la science ou théorie du bien et du mal aboutissant à des énoncés normatifs, des règles de conduites considérées comme universellement valable. Pourtant cette définition

affirme ici l'existence de trois âges de la raison pure. Le premier est celui du dogmatisme métaphysique; il correspond aux quatre thèses des antinomies. Il s'agit ici de l'enfance de la raison. Le deuxième est constitué par l'empirisme, et notamment par Hume et Locke. Il correspond aux quatre antithèses des antinomies. On entre avec eux dans l'adolescence de la raison, dans une période d'errance et de nomadisme, car il n'y a plus de connaissances qui soient assurées, définitives. Le troisième âge correspond

Doit-on respecter l'opinion d'autrui? Prêtez bien attention au sujet: Doit-on = est-ce notre devoir de. Cela renvoie à la morale. Voir Kant l'impératif catégorique Respecter renforce l'idée de devoir, en effet le respect est un sentiment éprouvé devant la loi morale présente dans nos semblables: voilà pourquoi parce que nous respectons la loi morale nous devons respecter autrui comme personne. Mais, respecter n'a pas pour complément d'objet autrui: c'est l'opinion. Alors vous pouvez vous

entre les idées, il s’ensuit que les notions que nous avons de l’identité personnelle proviennent entièrement du progrès sans heurts et ininterrompu de la pensée le long d’une suite d’idées reliées, suivant les principes expliqués plus haut. David Hume, Traité de la nature humaine, livre I, De l’entendement, Quatrième partie, Du système sceptique et autres systèmes philosophiques, section VI, De l’identité personnelle (1739)

Dilemme 1 Dans ce dilemme, le problème éthique est qu’un médecin doit opérer un enfant afin de sauver sa vie, mais ses parents refusent que leur enfant soit opéré à cause de leur religion. Le médecin qui croit devoir sauver l’enfant, même si cela va à l’encontre du désir des parents, présente la situation devant un juge. Pour résoudre se dilemme d’ordre éthique, il faut se demander si on doit laisser l’enfant mourir afin de respecter la religion des parents et ainsi brimer leur droits parentales

occasion dans la réflexion philosophique puisque c’est lui qui amène les questions métaphysiques, les interrogations profondes de l’homme (et de sa place). Car l’absence de certitude n’est pas synonyme d’obscurantisme, bien au contraire. David Hume (XVIIIe siècle) nous conseille à ne pas prendre nos croyances, même les plus crédibles, pour des certitudes, et à se défendre contre l’enthousiasme des passions et contre le dogmatisme. Il préconise donc une attitude réfléchie, volontaire et critique

 » Para 2 : Identité personnelle → est ce la même substance qui pense toujours dans la même personne ? Il peut y avoir deux substances, dans un même corps (succession. Expl : Un amnésique) Texte 5 : Traité de la nature Humaine l. 1. - David Hume (p 30 – 31) → Qu'est ce que le « moi » ? Para 1 : → Conscient à chaque instant de ce qu'on appelle « le moi » → Certitude de notre existence. (Cf Le Cogito de Descartes). → « On ne peut tirer aucune preuve d'un fait que nous sommes si intimement

Imiter est naturel aux hommes et se manifeste dès leur enfance (lhomme diftre des autres animaux en ce qu'il est tès apte à I'imitation et c'est au moyen de celle-ci qu'il acquiert ses premières connaissances). Et tous les hommes prerrnent plaisir aux imitations. Un indice est ce qui se passe dans la réalité: des êtres dont I'original fait peine à la vue, nous aimons à en contempler I'image exécutée avec la plus grande exactitude ; par exemple les fomres des animaux les plus vils et des cadavres

long du XVIIIe siècle[réf. nécessaire]. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique[2]. Il se démarqua pourtant de son