Philippe III de Macédoine

temps et lieux explicites "Athènes autrefois". * Personnages : l'orateur et le peuple d'Athènes (périphrase v.11 qui les qualifie) * Implication directe de LF (v.32 à 37) "je" "nous" * Sujet : "patrie en danger" car attaque de Philippe de Macédoine (v2 à 27), l'orateur alerte son peuple d'un contexte politique grave. Pour cela, il utilise d'abord un discours fort, violent mais il subit un echec : personne ne l'écoute (v12 - 13). D'où rupture au v.15 -> il décide d'utiliser une autre

dénonce ainsi leur goût pour les fables alors qu’ils ne s’intéressaient pas du tout à son discours auparavant et les met en garde contre la menace qui pèse sur eux, à cause de Philippe de Macédoine, qui est leur ennemi : « Et du péril qui le menace / Lui seul entre les Grecs il néglige l’effet/ Que ne demandez-vous ce que Philippe fait ? » (v.25-27). Ici, l’orateur utilise des questions rhétoriques pour dénoncer le comportement enfantin et naïf de son peuple. Ainsi, par la morale qui suit, le titre de

dénonce ainsi leur goût pour les fables alors qu’ils ne s’intéressaient pas du tout à son discours auparavant et les met en garde contre la menace qui pèse sur eux, à cause de Philippe de Macédoine, qui est leur ennemi : « Et du péril qui le menace / Lui seul entre les Grecs il néglige l’effet/ Que ne demandez-vous ce que Philippe fait ? » (v.25-27). Ici, l’orateur utilise des questions rhétoriques pour dénoncer le comportement enfantin et naïf de son peuple. Ainsi, par la morale qui suit, le titre de


Euh
…
quelque
part
à
l’est.
Oui
mais

pas
en
Russie
!
 Eté
2008,
désireux
de
changer
le
cap
de
notre
GPS,
nous
déplions
les
cartes
d’Europe
et
 là,
voilà,
les
Balkans
s’étalent
devant
nous
!
 Les
noms
prennent
enfin
une
place
sur
la
carte
:
Macédoine
connue
pour
sa
…
ben
non
…
 pas
connue
en
fait
!
Serbie
dont
on
ne
sait
pas
trop
ce
qu’il
faut
penser.
Croatie
la
bien
 touristique.
Slovénie
l’européenne.
Bosnie
dont
on
ne
sait
plus
si
la
guerre
continue.
 Albanie,
la
mystérieuse.
Monténégro
au
nom
rigolo

de cargaison (archéologie sous-marine). - L’épigraphie. Ecrits sur un support dur (tuile, pierre, amphore, stèle funéraire [biographie du mort]). On retrouve la destination, l’expéditeur (amphore). - La numismatique : sous-produit de l’archéologie. III Héritages et civilisations dans la péninsule italienne au VIIIe s av. JC. - Les héritages villanoviens. = tout ce qui est lié à la protohistoire, à travers cette archéologie funéraire. Par les traditions funéraires qui datent du IIe millénaire avant

la Grèce s’affronte à l’intérieur d’elle-même (guerre interne, civile) techniquement, une victoire Sparte affaiblissement général de la Grèce Philippe II, roi de Macédoine, conquiert la Grèce Profite de cet affaiblissement pour imposer son autorité Fin de l’autonomie de cités grecques Elles sont unifiées par une autorité étrangère (la Macédoine) Alexandre le Grand reprend ce que son père avait entamé, vastes conquêtes vers l’est fonde des dizaines de nouvelles villes (deviendront des

avec la Ligue de Délos Présentation de Sparte en tant qu'oligarchie avec la Ligue du Péloponnèse II. Causes de la guerre de Péloponnèse Tensions entre Athènes et Sparte, ainsi que leurs alliances respectives. Différends entre Athènes et Corinthe. III. Événements clés de la guerre de Péloponnèse Phases du conflit, batailles terrestres et navales, alliances changeantes. Exemples de batailles majeures, comme la bataille de Syracuse et la bataille de Leuctres. IV. Conséquences de la guerre de Péloponnèse

Sud-Est. Devant l'échec de ses espoirs, Hannibal tente d'élargir ses plans en entraînant le monde grec dans la lutte contre Rome. Il obtient dès 216 l'alliance du roi de Macédoine Philippe V, qui dispose de la meilleure armée hellénique. Mais ce succès diplomatique demeure sans effet sur l'évolution de la guerre : Philippe est retenu par les affaires grecques et Rome conserve la maîtrise de la mer. La reprise de Capoue et de Syracuse en 211 ruine toute possibilité de débarquement grec ou punique

J.-C. pour le remercier de ce miracleII) Une importance accordée à l’interprétation des rêvesA) Les rêves de ses proches· L.5-6-8 : « Bataille de Philippes » = guerre civile avec 2 affrontements successifs en septembre/octobre 42 av. J.-C. entre triumvirs Octave + Antoine et républicains Brutus et Cassius (vaincus) à côté de Philippes (cité en Macédoine orientale) > Brutus a battu les légions d’Auguste et a réussit à capturer son camp > heureusement Auguste malade se réfugie dans les marais

dénonce ainsi leur goût pour les fables alors qu’ils ne s’intéressaient pas du tout à son discours auparavant et les met en garde contre la menace qui pèse sur eux, à cause de Philippe de Macédoine, qui est leur ennemi : « Et du péril qui le menace / Lui seul entre les Grecs il néglige l’effet/ Que ne demandez-vous ce que Philippe fait ? » (v.25-27). Ici, l’orateur utilise des questions rhétoriques pour dénoncer le comportement enfantin et naïf de son peuple. Ainsi, par la morale qui suit, le titre de