Peut N Aimer Sans Souffrir

Prologue- Consentir à sa liberté Y-a-il cruauté à offrir la liberté de l’amour quand aimer signifie donner sa vie ? Si le Père connaissait la destinée de son Fils, la Croix est-elle une barbarie divine ? Car c’est Jésus, « c’est lui qui, aux jours de sa chair, ayant présenté, avec une violente clameur et des larmes, des implorations et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant exaucé en raison de sa piété, tout Fils qu’il était, apprit, de ce qu’il souffrit, l’obéissance

miettes. J'ai l'impression qu'en me laissant tu as emporté la moitié de moi. Tu me manques, tu me manques, tu me manques. Te le dire trois fois ne suffirait pas. Il n'y a pas de mot pour exprimer ce que je ressens. Mais de toute façon, qu'est-ce que ça peut te faire ? Tu es libre, et heureux. Tant mieux pour toi. Mais s'il-te-plaît, je t'en supplie, essaye seulement de te souvenir... « Y'a des gens comme ça, qui nous donnent le sourire sans le faire exprès. Des gens dont vous ne connaissez pas spécialement

interrogatives qui trahissent son incompréhension et le sentiment d’injustice. De même très souvent il utilise le “tu” (v.4- V.5) comme s’il s’adressait à sa mère alors qu’elle n’est pas présente. C’est un peu comme s’il s’en prenait à elle parce qu’il ne peut pas contenir son émotion. Enfin, cette colère se transforme en indignation dans le vers “qu’ose exiger de nous la haine d’une femme” où il ne désigne plus directement sa mère, comme si elle n’existait plus pour lui : elle est devenue une étrangère

soir je m'endors en me disant qu'une fois de plus aujourd'hui je n'ai pas eu de tes nouvelles et que ce n'est pas aujourd'hui que tout va recommencer. Oui, j'ai envie que tout recommencer, nous, notre histoire, et même si je sais que je vais encore souffrir, je m'en fou, je veux juste être avec toi, j'ai trop besoin d'être dans tes bras, il n'y a que là que je suis bien... Ne laissez pas le monde changer votre sourire, laissez votre sourire changer le monde. « On est seul responsable de sa vie

ce que laissaient penser ses sentiments envers elle, il est plutôt affecté par sa mort d’autant plus qu’elle ne saura jamais qui il était vraiment. Il finit par regretter d’être passé à coté de ses proches disparus, de ne pas avoir su les aimer, se faire aimer d’eux. A la fin de sa vie, il veut rattraper le temps perdu avec ses enfants. Mais ceux-ci se méfient de lui et ne viennent que rarement le voir. Il meurt dans une certaine solitude, alors qu’il ne serait plus totalement hostile au sentiment

fille mène le jeu en posant questions sur question à son cousin. Cette démarche relativement agressive, digne d'un interrogatoire, pousse Perdican dans ses derniers retranchements. Une des phrases significatives justifiant que Camille mène la danse peut être la suivante : "Depuis près de dix ans que nous avons vécu éloignés l'un de l'autre, vous avez commencé l'expérience de la vie. Je sais quel homme vous êtes, et vous devez avoir beaucoup appris en peu de temps avec un coeur et un esprit comme

séparer de ce que l'on aime tant, et pourtant ma vie à V. comme maintenant est une vie misérable. Ton amour fait de moi le plus heureux et le plus malheureux à la fois. A mon âge j'aurais maintenant besoin d'une uniformité d'une égalité de vie. Cela se peut-il étant donné notre liaison ? Ange, à l'instant j'apprends que la poste part tous les jours et je dois par conséquent arrêter pour que tu reçoives la lettre tout de suite. Sois calme, c'est seulement en considérant notre existence à travers le calme

Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie. J’aime l’araignée et j’aime l’ortie est écrit en Juillet 1842. Ce texte montre l’attachement d’Hugo pour la Nature et son attachement à aimer ce que personne n’aime. En l’occurrence, se sont les araignées et les orties. L’auteur exprime leur laideur, et notre dégoût pour ces bêtes tout en essayant de nous convaincre de faire comme lui, de voir leur beauté. Nous pouvons donc nous demander

de choses à admirer que de choses à mépriser. » ( La Peste). Démontrez cette affirmation de Camus.Déterminer le comportement ou la nature générale de l’homme peut faire l’objet de nombreuses réflexions. D’ailleurs, au XX ème siècle, Albert Camus disait : « Il y a, dans les hommes, plus de choses à admirer que de choses à mépriser. » Or, on peut se demander quelles sont ces choses à admirer qui sont majoritaires chez l’homme. Nous montrerons que l’abnégation est une grande qualité humaine. Ensuite,

COMPOSE INTRODUCTION « Chacun de mes poèmes est la commémoration d’un évènement de ma vie » a écrit Apollinaire. Et il ajoutait : « et le plus souvent il s’agit de tristesse ». Le poème : MARIE (anagramme du verbe aimer) n’échappe pas à la règle. Ecrit en 1912 à la suite de sa rupture avec le peintre Marie Laurencin que lui avait présenté Picasso, « Marie » est un poème d’amour, mais de fin d’amour, comme la plupart des œuvres consacrées aux femmes