Personnage Parfait

forces extérieures de pression. Exercice 1 : cas d’un gaz. Soit une mole de gaz subissant une compression quasi statique et isotherme de ( P0 , T0 ) à ( 2 P0 , T0 ) . Donner l’expression du travail reçu par le gaz selon qu’il s’agit : 1. d’un gaz parfait (on exprimera W en fonction de T0 ); 2. d’un gaz de Van der Waals : ( P + a / V2 ) ( V - b ) = R T (on exprimera W en fonction de Vi et Vf les volumes dans l’état initial et l’état final). Exercice 2 : cas d’un liquide. De l’eau liquide dans les conditions

Où se trouve le diazote ? But : Reconnaître le diazote parmi trois gaz de nature non identifiée. Perception du problème : Nous devrons utiliser des formules soit, PV=nRT et n=m/M, afin de déterminer la masse molaire de chacun des trois gaz et ainsi ce qui nous permettra de trouver celui qui s’approche le plus de la masse du diazote soit de 28 g/mol et qui nous dira quel gaz est le diazote. Hypothèse : Si nous exécutons nos manipulations avec minuties, ceci nous permettra de bien

de l'Univers. L'hélium est un gaz incolore, inodore et non toxique. Il est pratiquement inerte chimiquement, monoatomique en toute circonstance. Dans un vaste domaine de températures et de pressions, il se comporte expérimentalement comme un gaz parfait, ce qui en fait une substance privilégiée pour l'expérimentation des théories physico-chimiques. On connait huit isotopes de l'hélium, mais seuls l'hélium 3 et l'hélium 4 sont stables, tous les autres sont extrêmement instables L'hélium, neutre, dans

| |Expression du potentiel chimique : |L’expression du potentiel chimique n’est établie que dans le cas du| |- pour un gaz parfait ; |gaz parfait. Dans les autres cas, les expressions sont admises. | |- pour les constituants d'un mélange idéal de gaz parfaits ; | | |- pour un corps pur condensé ; |On néglige

naturel n tel que p = 6n − 1 et q = 6n + 1. 3. Montrer que p ≡ 2[3]. 4. Montrer que p + 4 n'est pas un nombre premier. Nombres parfaits, nombres de Mersenne(1588-1648) Un nombre parfait est un entier naturel égal à la somme de tous ses diviseurs positifs autres que lui même. Si l'on note σ(N ) la somme des diviseurs positifs de l'entier naturel N , N est donc parfait si et seulement si σ(N ) = 2N . 1. Soit p un nombre premier, et N = pα . Ecrire tous les diviseurs de N , et montrer p1+α − 1 que

Etude théorique simplifiée de la Clepsydre d’après F. Geniet, LPTA-UM2 http://www.lpta.univ-montp2.fr/users/geniet/ 1. Clepsydre à bords droits On note S la section de la clepsydre et s la section de l’ajutage. Le paramètre décrivant l’écoulement est la hauteur de la colonne d’eau H ( t ) dont on veut décrire l’évolution au cours du temps. a. Relation de conservation de la masse (débit) Le débit volumétrique d’eau est donné par (1) : Q ( t ) = −S V ( t ) est la vitesse (moyenne1) de

K-1 (eau + récipient + accessoires). On y introduit 0,75 g de glucose et on mesure la température avant la combustion soit Ti = 20,12°C et après Tf = 21,16°C. Calculer l'enthalpie molaire de combustion du glucose à 20,12°C en supposant les gaz parfaits dans le calorimètre. Données en J.K-1mol-1: • Cv (CO2g) = 31,77; • Cv (H2Ol) = 75,24; • Cv (O2g) = 18,39. Page 1 Claude ANIES  EduKlub S.A. Tous droits de l’auteur des œuvres réservés. Sauf autorisation, la reproduction

fr/ Lyc´e J. Dautet e MPSI 2010/2011 2 Ph. Ribi`re e Table des mati`res e 1 Syst`me ferm´ et r´action chimique e e e 1.1 Questions de cours. . . . . . . . . . 1.2 Vrai-Faux de cours. . . . . . . . . . 1.3 L’air comme un gaz parfait. . . . . 1.4 Oxydation du dioxyde de soufre. . . 1.5 Pr´diction du sens de la r´action . e e . . . . . 5 5 5 6 6 6 2 L’eau solvant 2.1 Questions de cours. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

les trois grandeurs « vitesse », « pression » et « altitude ». Le théorème de Bernoulli prend la forme suivante, dans le cas d’un fluide parfait : 1 .v ² + ρ .g.z = C 2. ρ ( en pression ! ) ets p+ La vitesse « v » représente alors aussi bien la vitesse moyenne, que la vitesse locale puisque la distinction ne s’impose pas pour un fluide parfait. Qu’en est-il pour un fluide réel ? Nous avons rappelé ci-dessus que le débit ( volumique ou massique ) est défini grâce à la vitesse

sens lui-même n’est pas immédiatement accessible. » (Martin, 2001 : 18) p est la pression du gaz (en pascal) ; V est le volume occupé par le gaz (en mètre cube) ; n est la quantité de matière (en mole) ; R est la constante universelle des gaz parfaits ; T est la température absolue (en kelvin) ; 1.2 Le sens linguistique « La sémantique est traditionnellement définie, depuis Bréal, comme la science ou a théorie des significations. Il serait toujours prudent d’ajouter : des significations