Péroraison

été bien sélectionnés et classées, il reste à décider du type de schéma dans lequel on va les inscrire : Le plan rhétorique : la disposition des idées comprend quatre phases dont les objectifs sont bien fixés (exorde, narration, récapitulation, péroraison). Ce plan se fonde sur une démarche d’argumentation rationnelle, mais il ne néglige pas pour autant la dimension relationnelle. Le plan dialectique : après l’introduction, on expose la thèse, l’antithèse et la synthèse. Le plan problème-solution :

Narration (développement) : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (« Préambule » et articles) · Confirmation (argumentation) : « Postambule » et « Forme du contrat social de l’homme et de la femme »· Péroraison (conclusion) : anecdote du « contrat social » qui fait appel aux sentiments (« captatio benevolentiae »)Les problématiques vues en cours La première lecture linéaire que nous avons étudiée était située au début de la Déclaration

vers de cinq syllabes. Périphrase : figure qui remplace un mot par une expression équivalente, mais formée de plusieurs mots. « Le Roi des Dieux » (pour : Jupiter), « La Ville Lumière » (pour : Paris), « l’astre de la nuit » (pour : la Lune)… Péroraison : en rhétorique, dernière partie d’un discours, qui fait souvent appel à la pitié ou à la clémence. Personnification : figure qui représente un objet, une notion ou une idée sous les traits d’une personne ou d’un être vivant. « O Mort, vieux capitaine

plusieurs reprises dans l’énumération de ses certificats et ses diplômes et ses acquis sur l’éducation, chantant ses propres louanges et se vantant de ses années passées à redresser les bâtards et les abandonnés. Toujours était–il, cependant, que cette péroraison trouvait chez Amal une oreille sourde et un sourire fade et moqueur qui mettait la militaire en bouillie. Docile comme j’étais devenu, je mangeais et buvais, regardais tantôt et méditais tantôt comme un messie qui s’apprêtais à une nouvelle

apercevait, dans une forêt de poils, un outil qui, dans l'état d'érection, pouvait avoir environ huit pouces de long sur sept de pourtour; mais cet état n'était plus que fort rare, et il fallait une furieuse suite de choses pour le déterminer.(...) Péroraison (amplification après une succession de confirmations de l'idée du texte) Durcet est âgé de cinquante-trois ans, il est petit, court, gros, fort épais, une figure agréable et fraîche, la peau très blanche, tout le corps, et principalement les

temps d’arrêt extrêmement scénique, proche d’une didascalie. C’est l’étape finale du discours qui reformule avec emphase, en l’illustrant de façon frappante et avec force procédés oratoire l’idée développée précédemment. C’est l’équivalent de la péroraison. Ainsi la différence l’insertion du récit dans une argumentation permet à celle-ci d’avoir encore davantage d’efficacité sur le lecteur, parce qu’elle fait sentir plus qu’elle ne persuade. 2) Des personnages garants ou non des discours qu’ils

«créatures» , «perdues» «imperceptibles» . *Sa continue par une roquête = demande. Deuxième partie : Voltaire demande à Dieu de faire en sorte que les hommes soient tolérants les uns par rapport aux autres,qu'ils s'aiment * Sa se finit par une péroraison = c'est la conclusion d'une prière ou d'un discours qui fait la synthèse d'une argumentation et fait appel au bon sentiment du destinataire. On a bien une prière car le texte est construit comme le sont les prières. Cette forme de la prière

d'un témoin valable » [1970, p 415] Mais on n'oubliera toutefois pas que l'argument d'autorité, tel que nous le concevons ici, reste un argument et ne concerne pas ce qui est périphérique à l'argumentation et qui se concentre dans l'exorde ou la péroraison, destinée à « préparer l'auditoire » plus qu'à raisonner, en utilisant par exemple le prestige réel ou supposé de l'orateur ou de l'autorité convoquée On distinguera donc ici trois types de raisonnement d'autorité par la compétence, par l'expérience

en tragédie.   b. le duel   Etude de la scène qui oppose Créon et Médée. Scène construite avec un discours très codifie. Ce discours obéit a 4 grandes directions. Les composantes d'un discours (chez les romains): Exorde, Narration, Réfutation, Péroraison.   On constate que le discours que Médée prononce devant Créon obéit a ces lois, et font de Médée quelqu'un de très habile, qui utilise pour progresser vers son inhumanité des moyens très humains.   Cf discours p 26/27/28. Dans ce discours, Médée

* C’est Cicéron qui va fixer les règles. 4 parties : Un exorde (intro) proemium. « Capatio benenolentiae » séduire l’auditoire, l’intéresser Annoncer le plan La « narratio » : le récit des faits La « confirmatio » : l’argumentation La péroraison recours au pathétique plus adhésion du lecteur. 3 – Les « 5  parties » de l’art oratoire * L’inventio, invention, rechercher tous les éléments dont on va avoir besoin pour son discours. * La dispositio, la disposition, mise en bon