Péroraison

Interprétation/ effets produits Une main divine semble répandre partout l’apanage de l’homme, la liberté ; la loi seule a le droit de réprimer cette liberté, si elle dégénère en Forme de conclusion : le rythme suit les préconisation rhétorique / de la péroraison 20 licence ; mais elle doit être égale pour tous, c’est elle surtout qui doit renfermer l’Assemblée nationale dans son décret, dicté par la prudence et par la justice. Une main divine + répandre partout → synecdoque / voc religieux la

exorde : julien défend son honneur par un autre moyen que sa classe social. Mouvement 2 : Julien plaide coupable pour son crime envers Mme de Rénal . Mouvement 3 : Julien plaide non coupable face à l’accusation implicite des bourgeois. Mouvement 4 : péroraison : réquisitoire contre ce procès inique (inéquitable)· · Mouvement 1 :  « messieurs les jurées » = apostrophes polie-> J maitre des codes oratoires + « l’horreur du mépris me fait prendre la parole » = prise de parole = fierté de J (affirme valeurs

DEPS-DépliantLa bonne parole de Barack Obama Sylvie Laurent* L’ART du langage de celui qui n’était encore il y a peu qu’un candi- dat en campagne a charmé ses auditeurs jusqu’à la victoire. Obama a conquis le pays par sa parole et, au soir du 4 novembre, son “Yes we can!” («Oui, nous pouvons ») a vibré avec une telle intensité que l’homme et le moment historique se sont alors confondus dans un même souffle. La foule de Chicago et le pays démocrate tout entier ont scandé ces mots qui symbolisent

oppositions et antithèses ( « honneur/ déshonneur… déshonneur/ gloire ») Le langage métaphorique : la gloire = flambeau, qui concrétise l’idée abstraite Le champ lexical de la lumière ( flambeau, éclat, gloire). La dernière étape du sermon (La péroraison) apparaît comme une leçon de portée générale comme le montre l’impératif « Apprenez enfin…) Le rythme s’accélère, les accumulations (que…que…que…), le retour au « je » traduisent la colère. La comparaison finale peut d’ailleurs apparaître comme

des banques a été profondément remaniée. Au cours de ces dernières années, les modifications apportées tiennent compte, bien évidemment, de caractéristiques propres à chaque établissement, à sa taille, à sa clientèle, à son histoire. En péroraison, les orientations nouvelles devaient viser en priorité : • L’intensification des relations avec les entreprises par le biais de l’ingénierie financière et de l’intervention en fonds propres, de la simplification des procédures des techniques

glissement de sens, la terre qui va les recouvrir et qui doit leur assurer « un dernier silence ». Dès lors, la mort de ces « grands vainqueurs » devient non seulement « juste », mais cohérente. Le dernier vers du poème prend alors la forme d'une péroraison : mourir pour sa terre, c'est boucler le cycle de l'existence humaine ; né de la terre – « C'est là son origine » –, ayant vécu pour elle, le combattant conquiert, par la mort et l'inhumation, sa noblesse, symbolisée par une « pauvre couronne »

reprend le terme « offenser » du vers 38. Il envisage une autre réaction que celle de la colère. Conclusion : 1er hémistiche du v.48 : « Quoiqu’il en soit parlons ». Après cette nouvelle évaluation, il revient sur sa décision des vers 32, 33,34. 4-Péroraison ( 2 ème hémistische du vers 48 vers 49 et 50) (sorte de synthèse) : Cette conclusion synthétise les arguments évalués précédemment. Le mot « contraindre » renvoie aux vers 35 et 36 dans lesquels il est question de la durée de la souffrance d’Antiochus :

Montchrestien. L’étude de la disposition est influencée par la progression des passions qui fait appel à l’utilisation du schéma dolor, furor, nefas, mais la composition tragique reste influencée par les étapes du discours rhétorique et place la péroraison au moment du récit, très rarement à l’avant-dernier acte et principalement au dernier acte de la tragédie. Les chœurs jouent également un rôle important dans la progression rhétorique des passions, et le chant choral permet la maîtrise des passions

esclaves en Algérie : les » îles » n’étaient en effet pas les seules terres à porter ce fléau. En avril 1847, elle reçut 11 000 signatures. La plus marquante d’entre ces pétitions a été initiée par Victor Schœlcher en août 1847 : en voici la péroraison. Nous demandons, Messieurs, l’abolition immédiate et complète de l’esclavage dans les colonies françaises ; Parce que la propriété de l’homme sur l’homme est un crime ; Parce que l’épreuve des lois des 18 et 19 juillet 1845 a rendu plus manifestes

public. - La narration des faits pour donner le contexte : fonction référentielle. - La confirmation de la thèse de l’orateur : il dit ce qu’il pense avec des arguments. - La réfutation de la thèse adverse avec des arguments. - La péroraison : jouer sur les émotions. Problème de la vérité par rapport à l’efficacité. I. Argumentation et communication. A) Pluralité des personnes et place du public. a) La dyade. Émetteur/Récepteur. b) Groupes : émetteur + un