Pernette Du Guillet

Il y a deux écoles poétiques au XVIe siècle : - L’Ecole lyonnaise (1530) : au début du XVIe se développe, à Lyon, un actif foyer de poésie se regroupe autour de Maurice Scève. La poésie y est essentiellement féminine, avec Louise Labé et Pernette du Guillet. La poésie de Louise Labé, inspirée par Pétrarque, évoque principalement - La Pléiade (née en 1549) , est un groupe de sept poètes, dont . Le nom « Pléiade », qui signifie « Constellation de sept étoiles », est en hommage aux sept poètes

XVIeme siècle Lyon est une capitale économique et intellectuelle cosmopolite. Les plus grands humanistes de l’époque font de fréquents et longs séjours à Lyon. Parmi les humanistes lyonnais on distingue le poète Maurice Scève et les poétesses Pernette du Guillet et Louise Labé. L’importance des femmes dans le milieu intellectuel lyonnais est à mettre au compte de l’éducation italienne qu’elles reçoivent, caractérisée par la liberté et l’ouverture. La Pléiade Le collège de Coqueret réunit un

Thème de l’amour Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) Ô vraie amour, dont je suis prise Ô vraie amour, dont je suis prise, Comment m'as-tu si bien apprise, Que de mon jour tant me contente, Que je n'en espère autre attente, Que celle de ce doux amer, Pour me guérir du mal d'aimer ? Du bien j'ai eu la jouissance, Dont il m'a donné connaissance Pour m'assurer de l'amitié, De laquelle il tient la moitié : Doncques est-il plus doux qu'amer, Pour me guérir du

un grand travail= poème à forme carrée: dizain (10 vers) composé de décasyllabes (10 vers) = perfection formelle. d. Travail sur les rimes et le rythme du poème. e. L’amour devient un prétexte pour montrer son amour à la poésie. 2 - PERNETTE DE GUILLET: « Heureuse est la peine » Heureuse est la peine De qui le plaisir À sur foi certaine Assis son désir. L'on peut assez en servant requérir, Sans toutefois par souffrir acquérir Ce que l'on pourchasse Par trop désirer, Dont en male

indépendance, sa liberté d'écriture : l'alliance du platonisme et du pétrarquisme dans le motif de l'amoureux souffrant, ne l'empêche pas de donner corps à une voix personnelle, y compris féminine. Les principaux poètes sont : Maurice Scève, Pernette du Guillet, Louise Labé, Antoine Héroët, Guillaume des Autels et Pontus de Tyard. Platonisme : L'Amour platonique est une expression et une conception des relations amoureuses qui date de la renaissance [1]. Il s'agit d'un amour en dehors de toute sensualité

vocabulaire correct mais usuel Aux lignes rythmiques discrètes Il préfigure l’esthétique classique L’« École lyonnaise » est le nom que l’on a donné à un groupe de poètes qui forment un cénacle de beaux esprits : Maurice de Scève, Louise Labé, Pernette du Guillet, Olivier de Magny Ils ne forment pas une école à proprement parler (ils n’ont pas de doctrine commune) mais un milieu culturel qui se caractérise par son ouverture d’esprit : ils apprécient tout ce qui enrichit leur formation Le talent des

signale par sa liberté d'écriture : l'alliance du platonisme et du pétrarquisme dans le motif de l'amoureux souffrant, ne l'empêche pas de donner corps à une voix personnelle, y compris féminine. Les principaux poètes sont : Maurice Scève, Pernette du Guillet, Louise Labé, Antoine Héroët, Guillaume des Autels et Pontus de Tyard. Les poètes lyonnais, de quelque façon qu'on cherche à les définir, ne forment pas une école proprement dite, mais un groupe d’ humanistes liés les uns aux autres

* Les poètes lyonnais : Lyon est une ville aussi réputée que Paris, c’est un grand centre marchand et intellectuel, très ouvert aux idées nouvelles. Un groupe d’humanistes se constituent autour de Maurice Scève avec quelques femmes dont Pernette du Guillet, Louise Labé. * Francesco Pétrarque (1304–1374) Poète et humaniste italien qui est célèbre pour ses poèmes (sonnets) dédiés à Laure dont il est amoureux. Le pétrarquisme consiste à imiter cette façon de chanter l'amour. C’est le modèle

Les poètes lyonnais : Lyon est une ville aussi réputée que Paris, c’est un grand centre marchand et intellectuel, très ouvert aux idées nouvelles. Un groupe d’humanistes se constituent autour de Maurice Scève avec quelques femmes dont Pernette du Guillet, Louise Labé. Francesco Pétrarque (1304 – 1374) : Poète et humaniste italien qui est célèbre pour ses poèmes (sonnets) dédiés à Laure dont il est amoureux. Le pétrarquisme consiste à imiter cette façon de chanter l'amour. C’est le modèle

faveur de la poésie structurée en alexandrins et en sonnets. Les poètes lyonnais étaient un groupe appelé l’Ecole de poésie Lyonnaise. C’était un groupe de poètes humanistes regroupant Maurice Scève (1500-1564), Louise Labbé (1525-1566), Pernette du Guillet (1520- 1545), Antoine Heroët (1492-1568), Guillaume des Autels et Pontus de Tyard. Ils sont dotés d’une indépendance et d’une liberté concernant l’écriture et donne naissance a un style nouveau c’est l’alliance entre le pétrarquisme et le style