Peinture sur le motif

antérieure. Picasso exécuta cette toile en se souvenant de l’habitude qu’avait son père d’attacher à sa toile des morceaux d’autres peintures afin de susciter des idées ou des effets nouveaux. Il réalise une nature morte qu’il situe dans un café, et composée d’un citron, d’un verre, d’une huître, d’un journal et d’une pipe, puis il applique un bout de toile cirée à motif de cannage, destiné à évoquer de manière insolite la présence de chaises. Cette composition est le résultat de diverses techniques

beauté, née de l'écume de la mer d'après la mythologie. Cette peinture est une allégorie de la Vénus mythologique, dans sa forme anadyomène, c'est-à-dire qui sort des eaux (la Vénus est donc entièrement tournée vers le l’idée du liquide). Le modèle de la Vénus est Simonetta Vespucci qui était la femme de Julien de Médicis et considérée comme la plus belle femme de son époque et que le peintre a représentée déjà plusieurs fois dans ses peintures. Le portrait de la Vénus est aujourd’hui sur la pièce de

Chapiteaux et pilastre (Fausse colonne qui sont intégrés dans le mur, élément en relief par rapport au mur) qui représentent des végétaux et animaux, intérieur richement décoré de chapiteaux et de colonnes de marbre, et des oculus (fenêtres ronde). Peinture qui provient du style carolingien. Une salle appelé cela, qui fait environ 8m sur 12m grande salle pentagonale, un vestibule qui est le hall d'entrée. Style pré roman. Le baptistère actuel est le résultat de plusieurs période de restaurations. Monument

espace virtuelle de l'image Exemple : Ecole d'Athène de Raphael 1510 peinture sincère dans une espèce d'arc en plein cintre, quand on rentre dans l'espace on a l'imprécision que l'espace est prolongé → trompe l'œil impressionné le spectateur opposition entre réalité et l'essence !, perspective central point de fuite, intégration entre personnage peint … l'annonciation léonard de vinci 1470-1480 peinture à huile detrempe sur bois, perspective atmosphérique entre les deux personnage

singularité et surtout de sa capacité à comprendre et à transformer le monde qui l'entoure. Parallèlement, un vif intérêt pour la culture antique se développe : on y cherche une forme de sagesse qui aurait disparu, et qu'il s'agirait de réhabiliter. Les peintures reprennent des thèmes très allégoriques en personnifiant ou symbolisant par exemple une idée abstraite. Des décors mythologiques peuvent y être introduits. L’art du Portrait se développe également avec une représentation souvent étiré et souple.

Dans son sonnet intitulé « Vénus anadyomène » (1870 extrait du recueil des Cahiers de Douai), Rimbaud propose une vision très personnelle du motif mythologique de la Vénus. S’il donne de Vénus une image encore conventionnelle dans ses deux premiers poèmes « Invocation à Vénus » et « Soleil et chair », c’est une toute autre image qui apparaît dans cette « Vénus Anadyomène ». A une belle Vénus incarnant l’amour et la fécondité des premiers poèmes, cette Vénus anadyomène a les traits d’une femme laide

distingue 2 parties: une lente avec une écriture en accords et une plus rapide avec des motifs répétitifs. L'INSTRUMENTATION: L'oeuvre est écrite pour 2 claviers échantillonneurs, 2 flûtes traversières, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 pianos et cordes frottées. PROCEDES DE COMPOSITION: Il existe un motif repérable: sol-si-do,sol-si-do-mi,sol-fa-ré,sol-si-do-mi-fa-sol-fa-ré. On remarque que ce motif "bégaye": il part une fois sur le temps, une fois sur un contretemps. De ce fait la mise

mural avec pierres de taille disposées en série de pointes perpendiculaires au plan de la façade Dents de scie Décor mural avec bandeau de pierres à zigzags placées dans le plan de la façade Détrempe Technique de peinture avec adjonction de liants organiques, utilisée pour les peintures murales Diocèse Voir évêché Dôme Partie ronde surmontant un clocher ou une coupole Dortoir des convers Grande salle à l'étage du bâtiment des convers d'une abbaye, souvent à deux nefs divisée par une rangée de

Renaissance = un retour à l’antiquité : inspiration des arts de l’antiquité (art gréco romain)mais aussi des arts philosophiques, la théorie prend une place nouvelle dans l’art. Alberti a dit qu’il n’y avait pas d’art sans théorie. Il fait un traité sur la peinture et l’architecture. Il les écrit en italien et non en latin. On utilise de plus en plus les langues vulgaires. Beaucoup d’artistes en écriront aussi. On y défini la conception du beau, inspiré de l’antiquité comme promulgué par Platon et Aristote

théorie de la Révélation : toute connaissance est acquise par la raison. Basculement du transcendant vers l’observable, du sacré vers le profane. Au centre des questionnements des artistes, qui cherchent réalité dans portrait, paysage, et peinture documentaire. Peinture sensible aux événements scientifiques. Changement lent commencé au XVI° s. qui trouve accélération au XVIII° s. pas de rupture radicale, mais évolution, tendance générale avec notables exceptions. Trois maîtres à penser : Locke, Spinoza