Pauvre Petit Garçon

sa vielle pauvre mère pour aller travailler ailleurs pour assurer la survie son petit foyer. L’emploi de la métonymie dans la citation : « il faut bien qu’elle fasse comme les autres, qu’elle gagne son pain et qu’elle aide sa pauvre mère. » (l. 47-48) met en relief le courage de Marie lorsque la responsabilité et l’instinct de survie lui forcent à quitter son village natal pour aller travailler loin de chez-soi pour être capable de prendre soin de sa pauvre famille, Cette

Aux champs Dans un petit hameau, vivent les Vallin et les Tuvache, les deux familles de paysan sont amies mais également très pauvre. Les Tuvache ont quatre enfants, tous des garçons ;les Vallin on également quatre enfants mais trois filles et un garçons .Tout les jours ils travaillent dans les champs de très tôt le matin a très tard le soir. Un jour la voiture d’un riche couple s’enlise dans la boue juste devant la maison des Tuvache. Le père des Tuvache et le père des Vallin se proposent

.................. 5 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Happy Meal ............................................................................. Pauvre petit garçon ! ........................................................ Continuité des parcs ........................................................ Lucien ......................................................................................... Iceberg

HDA : La petite fille brulé au napalm Je vais commencé par vous présentés le photographe Nick Ut :  Nick Ut ou plutôt Huỳnh Công Út, est né le 29 mars 1951 à Long an qui se trouve en Indochine. C'est un Vietnamien et il est photographe reporter et journaliste.  Nick Ut travaille pour une agence de presse qui s'appelle l'Associated Press.  A 16 ans , il succède au poste de son frere de 27 ans, tué dans une opération au Mékong La photo a été prise dans le village de Tran Bang dans le sud-est du

N’est-il 5 point là ? n’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête ! (Il se prend lui-même le bras.) Rendsmoi mon argent, coquin !... Ah ! c’est moi. Mon esprit est troublé, et j’ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m’a privé de toi ! et, puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire au monde ! sans toi, il 10 m’est impossible de vivre. C’en est

finissent par devenir amis. III. Les personnages A- Julien ( à droite sur la photo) Issu d’une famille d’industriels de Lille, élevé dans un milieu à l’abri de tout souci matériel, habitué à être toujours le premier de la classe, Julien Quentin est un garçon sûr de lui qui a une certaine autorité sur ses camarades. Mais cette position l’isole des autres. Il souffre de l’éloignement de sa mère, et peut-être encore plus de celui son père. Il est très intrigué par un des nouveaux élèves, Bonnet, pas seulement

professeur s'apprête a sortir quand soudainement il fait demi tour et prend peur..en effet un énorme bouquet de fleurs fait irruption dans la pièce. L'énormité du bouquet est renforcé par le petit garçon qui le porte.. Raccord par le regard de la femme sur l'enfant suivi d'un Gros plan sur le visage du garçon submergé par les fleurs,puis retour sur un plan Moyen reprenant la scène précédente de l'entrée de l'enfant. Retour sur un plan rapproché l'homme qui fait un regard caméra subjugué lui même

passé La belle au bois dormant Il était une fois un roi et une reine qui étaient si fâchés de n’avoir point d’enfants, si fâchés qu’on ne saurait dire. Enfin, pourtant il leur naquit une fille. On fit un beau baptême ; on donna pour marraine à la petite princesse toutes les fées qu’on put trouver dans le pays (il s’en trouva sept), afin que, chacune d’elles lui faisant un don, comme c’était la coutume des fées en ce temps-là, la princesse eût, par ce moyen, toutes les perfections imaginables. Après

mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : - comme il est blanc ! approchez donc la lampe. Dieu ! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe ! - Et quand ce fut fini, le prit sur ses genoux. La nuit était lugubre ; on entendait des coups De fusil dans la rue où l'on en tuait d'autres. - Il faut ensevelir l'enfant, dirent les nôtres. Et l'on prit un drap

...... 391 CHAPITRE XIX. Je regarde autour de moi et je fais une découverte............................................................................ 402 CHAPITRE XX. Chez Steerforth. ....................................... 428 CHAPITRE XXI. La petite Émilie........................................442 CHAPITRE XXII. Nouveaux personnages sur un ancien théâtre. .................................................................................. 471 CHAPITRE XXIII. Je corrobore l’avis de M. Dick et je