Commentaire la mare au diable
» (l. 47-48) met en relief le courage de Marie lorsque la responsabilité et l’instinct de survie lui forcent à quitter son village natal pour aller travailler loin de chez-soi pour être capable de prendre soin de sa pauvre famille, Cette citation-ci dessine un portrait d’une fille qui est aussi forte qu’un garçon et qui fait des sacrifices personnels pour le bien de ses proches et de soi. Par ailleurs, Germaine, qui est, lui aussi, un personnage principal dans « La mare au diable », trouve une nouvelle femme pour le bien de sa famille. À ce repos, le champ lexical de tristesse formé par les expressions « triste », « chagrin » que l’on trouve dans le passage « Germain, qui était triste pour son compte, compatissait d'autant plus à son chagrin(...) » (L.133-131) fait ressortir de façon manifeste l’expression d’une profonde tristesse chez le jeune laboureur. …afficher plus de contenu…
Effectivement, on constate que la mère Guilette ne craint pas que Marie va avoir les difficultés si elle s’en va travailler aux Ormeaux. La comparaison contenue dans l’extrait « […] je ne le crains pas[…] Marie est courageuse autant que fille riche et à la tête d’un gros travaille puisse l’être. » (2.) met en lumière une grande confiance que suscite chez Guilette pour sa petite fille, Marie. La comparaison dans ce passage met en évidence la nature travaillante de Marie et du manque de crainte de la mère de Guillette. De plus, cette citation-ci témoigne le fait que, peu importe son sexe, Marie ait des décisions intelligentes et pertinentes d’un individu qui réalise de grands travails. Ensuite, on remarque aussi que la Guillette laisse sa petite Marie partir avec Germain, un homme qui a douze ans de plus que sa