Pauvre Petit Garçon

est chargée de recevoir les appels de suicidaires et de terroristes. Un jour, un jeune garçon lui téléphone pour l'avertir que d'ici quelque temps, il ferait sauter quelqu'un. Cat ne le prend pas vraiment au sérieux jusqu'au lendemain où elle apprend qu'un enfant s'est fait exploser en enlaçant un homme. Un deuxième meurtre comme le précédent se fait sentir le jour suivant. De plus, un troisième petit garçon l'appelle durant la semaine et celui-ci a la particularité de citer les vers de Walt Whitman

le mouvement, c’est refuser l’enfant. Et c’est encore pire pour les filles. C’est d’ailleurs ce qui les empêche de développer leur créativité. Simone de Beauvoir décrit cela précisément, depuis vingt ans : « La fillette rêve de faire comme les garçons mais elle est cantonnée dans CONTRACTION DE TEXTE ET ESSAI Objet d’étude : La littérature d’idées du XVIe siècle au XVIIIe siècle BACBACsuperEssai Quelle place selon vous réserver au corps et au mouvement dans une « bonne éducation » ? Introduction

traditionnelle et composent des poèmes en prose. C’est le cas de Baudelaire qui s’initie à cette nouvelle forme poétique en écrivant Le Spleen de Paris, publié en 1869 après sa mort. C’est de ce recueil qu’est extrait le poème en prose intitulé « Le Joujou du pauvre ». Ce texte se présente dans sa deuxième partie comme une narration : le poète fait le récit d’une scène triviale qu’il a peut-être vue à Paris, il évoque la rencontre de deux enfants qui s’émerveillent à la vue d’un « rat vivant ». Nous verrons d’abord

Fiche de personnageTravail remis à Michel BironFREN 453 Littérature française du 20e siècle 2 Adélia Meynard260985274Université McGillJanvier 2022Fiche signalétique du personnage principal Annie Ernaux, La PlaceI. Éléments descriptifs (1 page, notations factuelles) a) État civil : Nom (surnoms, initiales, etc.) Nom : xInitiales : A.DÂge, lieu de naissance, ville ou village où le personnage vitÂge au décès : 67

blessés sur les coussins. Et la foule des curieux qui étaient là et qui regardaient, navrés, répétait : « Doucement ! » Quel défilé ! C’était un officier d’artillerie, dont les jambes pendaient fracassées entre les mains des brancardiers ; un pauvre chasseur dont le visage disparaissait tout entier sous un masque de sang coagulé ; puis d’autres, officiers, sousofficiers, soldats de toute arme, les mains enveloppées dans des linges sanglants, la tête bandée, le corps inerte dans une capote

la porte. Louis – Harry ! Sacha – D’accord… Harry, tu auras une clé de la maison. Ça sera aussi simple, je crois. Harry – Comme tu veux. Louis – Je n’ai pas droit à une clé moi ? Sacha – Non, t’as voulu défoncer ma porte, tu dois avoir un petit problème mental. Je lui fis un clin d’œil. Sacha – Sinon, vous êtes quand même à l’avance de deux heures. Harry – Oui. On s’ennuyait. Louis – Alors on s’est dit qu’on allait venir t’ennuyer toi. Sacha – Sympa. Et où sont Liam, Zayn et

Les Nains magiques   Il était un cordonnier qui, par suite de malheurs, était devenu si pauvre, qu'il ne lui restait plus de cuir que pour une seule paire de souliers. Le soir il le tailla afin de faire les souliers le lendemain matin ; puis, comme il avait une bonne conscience, il se coucha tranquillement, fit sa prière et s'endormit. Le lendemain, à son lever, il allait se mettre au travail, quand il trouva la paire de souliers toute faite sur sa table. Grande fut sa surprise ; il ne savait

après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. Ah ! c'est du joli ! c'est du propre ! Toi, la fille d'un roi ! Donnez-vous du mal ; donnez-vous du mal pour les élever ! Elles sont toutes les mêmes ! Tu n'étais pourtant pas comme les autres, toi, à t'attifer toujours devant la glace, à te mettre du rouge aux lèvres, à chercher à ce qu'on te remarque. Combien de fois je me suis dit : « Mon Dieu, cette petite, elle n'est pas assez coquette ! Toujours avec

« mensonges ». Celui-ci montre clairement que Sartre n'a plus aucune confiance envers les adultes. Ils ne sont là que pour le brouiller et pour l'empêcher de vivre une vie comme les autres enfants. Ceci est confirmé des lignes 10 à 13 lorsque le jeune garçon réalise ses activités préférées en secret et doit cesser quand son grand-père arrive; « je reposais la règle dans la bibliothèque et j'allais me jeter dans les bras de mon grand-père...et je l'interrogeait sur sa journée, en appelant ses élèves par

idéal pour un pauvre homme qui avait de l'ambition. C'est bien pour ça qu'il étais venu. Aussi indépendant qu'il était, il n'avais pas pris en compte des besoins essentiels qui viennent tôt ou tard à un homme seul. Et bientôt, ne voyant aucun espoir de rencontrer une femme blanche dans le pays durant de nombreuses années, il descendit à la réserve et emmena une indienne, le marché étant scellé par le paiement à son père d'un cheval et d'un litre de whisky. Elle était rapide, petite et soignée, avec