Pauvre Enfant Pale

forêts. Pour être plus précisé, les Laurentides. L’époque n’est pas précisée dans cette nouvelle. On peut dédire que l’époque dans cette nouvelle se trouve à la fin du 19e siècle. On retrouve des pauvres colons et une voie ferrée aux Laurentides. Aux Laurentides, la famille Chevalier habite dans un milieu pauvre. b) Valeur socioculturel La famille Chevalier est considérée comme les riches du village. Ils habitent dans un grand chalet. Elles ont leur propre ferme équestre. On constate que cette

Je suis fatigué, je rentre. Comme c’est la période des vacances, j’ai donné congé aux domestiques afin qu’ils puissent se reposer et voir leur famille. Moi je n’ai plus de femme, la pauvre a péri lors d’un accident en mer l’été dernier, quant à mes enfants, ils sont déjà partis en vacances avec leurs propres enfants. Je finirais donc seul cet été. Mardi 11 juin - Etrange, je sens une drôle d’atmosphère dans cette maison. Je me sens las. Je me regarde dans le miroir, j’ai le visage creux. J’ai

Livre I, Chap.VI Du début à « entrons monsieur » Scène de rencontre: traditionnelle dans le roman d'apprentissage; scène déterminante. Situation: le père de Julien et M. de Rênal ont convenu que Julien interviendrait comme précepteur des enfants de Rênal; Mme de Rênal s'attend à découvrir un maître exigeant et sévère. 1ère recontre entre Mme de Rênal et Julien On pourra donc s'intéresser aux jeux des regards et à la manière dont Stendhal conduit ce double portrait en faisant ressortir le

il n'a chassé ni poils ni plumes." - La périphrase:"Obéis au créateur de l'univers."=Dieu Figures d'opposition: - L'antithèse:"A père avare, fils prodigue"/"Tu as choisi la vie, moi la mort" - l'oxymore:Il faisait un silence assourdissant"/"La pauvre riche héritière était malheureuse." - l'antiphrase:" Il a écrit deux vers. C'est un grand poète!"/" Tu as eu 5/20. Bravo!" -Le chiasme:"La neige fait au nord ce qu'au sud fait le sable." les figures de style Exercices : Identifiez la figure

MAUPASSANT (1850 - 1893) UNE VENDETTA (Une Vendetta a paru dans le Gaulois du 14 octobre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885) <!-- athena texte --> La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison pauvre sur les remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit hérissé d'écueils, la côte plus basse de la Sardaigne. A ses pieds, de l'autre côté, la contournant

sous la puissance d’un fort. Et une fois de plus, la voix de la victime fut étouffée sous le rire cynique du bourreau. A quand la fin des oppressions, se demande-t-on ? A quand la fin de la préhistoire et des barbaries qui la caractérisent ? II La pauvre Angela pleurait amèrement et toute l’eau de son corps passe à travers ses yeux. Angela n’aimait pas son travail mais elle le faisait pour survivre. Elle était déprimée, déjà elle ne supportait pas de voir Ti almay maintenant elle souhaite sa mort

DE MAUPASSANT (1850 - 1893) UNE VENDETTA (Une Vendetta a paru dans le Gaulois du 14 octobre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885) La veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison pauvre sur les remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit hérissé d'écueils, la côte plus basse de la Sardaigne. A ses pieds, de l'autre côté, la

ouverte » et est « tête nue ». Sa « nuque » repose confortablement sur le « frais cresson ». Son attitude évoque un enfant endormi.(v.7) : Le rejet du verbe « dort » attire l’attention : le soldat semble donc étendu dans l’herbe verte pour se reposer. On peut imaginer qu’il fait une halte entre 2 combats ou 2 marches forcées épuisantes.(v.5 et 8) : Cependant, les mots « ouvertes » et « pâle » introduisent un doute et une dissonance. Ce sommeil bénéfique ne serait-il pas inquiétant ?3) Un dormeur étrange(v

voyage,Ou comme cestuy là qui conquit la toison,Et puis est retourné, plein d'usage et raison,Vivre entre ses parents le reste de son aage ! Quand revoiray-je, helas, de mon petit villageFumer la cheminee, et en quelle saisonRevoiray-je le clos de ma pauvre maison,Qui m'est une province, et beaucoup d'avantage ? Plus me plaist le sejour qu'ont basty mes ayeux,Que des palais Romains le front audacieux,Plus que le marbre dur me plaist l'ardoise fine, Plus mon Loyre Gaulois, que le Tybre Latin,Plus mon

soleil toujours poudroie à quelque trou. Que ne t'endormais-tu, le coude sur la table ? Pauvre âme pâle, au moins cette eau du puits glacé, Bois-la. Puis dors après. Allons, tu vois, je reste, Et je dorloterai les rêves de ta sieste, Et tu chantonneras comme un enfant bercé. Midi sonne. De grâce, éloignez-vous, madame. Il dort. C'est étonnant comme les pas de femme Résonnent au cerveau des pauvres malheureux. Midi sonne. J'ai fait arroser dans la chambre. Va, dors ! L'espoir luit comme