Pauvre George Roald Dahl

chocolaterie est adapté du livre de Roald Dahl, best-seller de la littérature enfantine des années 1960. Écrit à l'ère de l'abondance économique, le livre stigmatisait, de manière vivifiante, la gourmandise des enfants. Chez Burton, la fiction se transforme en critique virulente de notre société permissive qui produit des enfants gâtés, capricieux, frôlant la monstruosité. Le film oppose Willy Wonka, un magnat de l'industrie du chocolat, au petit Charlie Bucket, un gamin pauvre croqué dans la tradition de

chocolaterie est adapté du livre de Roald Dahl, best-seller de la littérature enfantine des années 1960. Écrit à l'ère de l'abondance économique, le livre stigmatisait, de manière vivifiante, la gourmandise des enfants. Chez Burton, la fiction se transforme en critique virulente de notre société permissive qui produit des enfants gâtés, capricieux, frôlant la monstruosité. Le film oppose Willy Wonka, un magnat de l'industrie du chocolat, au petit Charlie Bucket, un gamin pauvre croqué dans la tradition de

Charlie et la Chocolaterie Roald Dahl Charlie Bucket vit avec ses parents et ses quatres grands- parents appelés Joe, Joséphine, Georges et Georgina qui sont cloués dans un seul lit car ils sont pauvres. Charlie est un enfant gentil, et hormis sa famille la chose qu’il aime le plus est le chocolat. A cause de leur pauvreté, il ne peut recevoir qu’un chocolat par an pour son anniversaire. Pres de sa maison, il y a une grande

......................... 5 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Happy Meal ............................................................................. Pauvre petit garçon ! ........................................................ Continuité des parcs ........................................................ Lucien .......................................................................................

sentiment pur, douloureux et très beau qu’il était impossible de définir. Pendant un instant – et ce fut la dernière fois – il fut un petit garçon doux, tendre et malheureux, qui ne comprenait pas et demandait au monde environnant un peu de bonté. » « Pauvre petit garçon » Dino BUZZATI, Le K, 1966 Le narrateur connaît les sentiments et les pensées de Dolfi mais nous donne aussi des informations sur son comportement à l’avenir. Après cet instant Dolfi ne sera plus un petit garçon doux. Le narrateur nous

le sentiment des personnages et permet de les caractériser (classe sociale) par leur langage (utilisation de l’argot dans de nombreux romans notamment) et de mettre en valeur leurs réactions. Dans La potion magique de Georges Bouillon de Roald Dahl, lors d’un dialogue entre Georges et Grandma la méchanceté caricaturale de Grandma est mise en évidence. Très souvent, le dialogue permet ainsi au narrateur de faire l’économie d’un commentaire psychologique ; les personnages se révèlent directement à

permettent de la préciser. Il y a à l'auberge Millcote, un portrait de George III qui régna jusqu'en 1820 et Melle Olivier évoque les révoltes ouvrières de 1812, ce qui permet de situer l'histoire au début du XIXe siècle, en Angleterre. Dans ces deux romans, les personnages font partit de la basse classe sociale. Zola montre la condition ouvrière, tandis que Brontë représente un type bien défini de cette époque, celui de la pauvre gouvernante au service de classes sociales favorisées. Cannibale de Didier

négatif Ses actions : la corruption, la destruction Ses attributs moraux : immoral ou amoral, violent, souvent sans états d’âme On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif. Vautrin, dans La Comédie humaine de Balzac. George Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant. L’anti-héros Son apparence : banal, ordinaire, voire laid Ses relations à la société : souvent à part, dans un monde qu’il ne comprend pas. Emma Bovary, dans Madame Bovary de Flaubert. Meursault, dans

autobiographie se compose de 12 livres, écrits entre 1764 et 1770 et publiés après la mort de l’écrivain. L’auteur y raconte notamment les injustices dont il fut, selon lui, victime et livre un autoportrait finalement très positif. George Sand, Histoire de ma vie , 1855 L’auteur fait le récit de sa jeunesse. Elle donne également un éclairage sur la religion, les modes de vie, la condition des femmes, la société de l’époque.

sans états d’âme Les chevaliers, comme Lancelot ou Galaad, dans les Romans de la Table Ronde. Le duc de Nemours dans La Princesse de Clèves. On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif. Vautrin, dans La Comédie humaine de Balzac. George Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant. Emma Bovary, dans Madame Bovary de Flaubert. Meursault, dans L’Etranger de Camus. Le héros négatif L’anti-héros Son apparence : banal, ordinaire, voire laid Ses relations à la société : souvent à part, dans un