Pauvre Enfant Pale

qu’il venait s’y réfugier pour rêver, il fut pris au piège… Cette fin d’après-midi, il entra et s’assit dans un coin de l’unique et étroite pièce. Confortablement installé, il laissa alors ses pensées s’envoler vers ce monde imaginaire que seuls les enfants savent atteindre. Au fur et à mesure que les images défilaient dans sa tête, la frontière entre la réalité et l’imagination s’amenuisait… Des yeux fouillaient intensément la pénombre :  droite-gauche, haut-bas, gauche-droite, bas-haut… Poil de

pour vous. En effet Rimbaud est le poète par excellence. Arthur Rimbaud est né le 20 octobre 1854 dans les Ardennes. Alors que son père l'abandonne lui ses cinq frères et sœurs et sa femme. C'est donc sa mère seule qui l'elèvera. Arthur qui est un enfant brillant et qui a un certain talent pour l'écriture remporte de nombreux prix. Il aura plus tard une relation tumultueuse avec Verlaine a qui il envoyait ses écris, lui ayant pluts elle l'invite donc a paris et c'est a partir de là que débute cette

vers 8 afin de manifester une vive émotion est donc de provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur. Ce sentiment est renforcé par la description qui est faite de la jeune fille au vers 10 avec des mots tels que « haillons », « pale », « affreuse »… L’énumération au vers 14 entraine un attendrissement de la part du lecteur pour ce personnage victime de pauvreté et de misere. Dans la deuxieme strophe, l’ignorance portée par la mere de la jeune fille vis-a-vis d’elle place la jeune

comme un tourbillon en détruisant tout sur son passage mais qui au final ne change pas grand chose. Dans le poème « Ophélie », il parle d’une enfant que l’amour à tuer, à cause d’une trop grande naïveté, ver 27 à 31: « C’est qu’un matin d’avril, un beau cavalier pâle, Un pauvre fou, s’assit muet à tes genoux! Ciel ! Amour! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre Folle! Tu te fondais à lui comme une neige au feu: Tes grandes visions étranglaient ta parole _ Et l’Infini terrible effara ton œil bleu! »

ténébreux abîme, un gouffre d'ombre  Où s'efface à jamais le souvenir des morts ? Tu le sais, par delà l'horrible latitude,  Par delà ce flot noir où l'homme est submergé,  Il est, dans l'Inconnu, un lieu dont l'altitude  Promet calme et repos au pâle naufragé. La dépouille qui gît, froide et marmoréenne,  Se décompose ; mais l'esprit aux vols hardis,  Libre, attiré par la splendeur élyséenne,  Monte de ciel en ciel aux plus hauts paradis. Sur le cher mort qu'on vient de clouer dans sa

grain... Un grain... est-ce la mort, ça’ la basse voilure Battant à travers l’eau ! - Ça se dit encombrer... Un coup de mer plombé, puis la haute mâture Fouettant les flots ras—et ça se dit sombrer. Sombrer. - Sondez ce mot. Votre mort est bien pâle Et pas grand’chose à bord, sous la lourde rafale... Pas grand’chose devant le grand sourire amer Du matelot qui lutte. - Allons donc, de la place ! - Vieux fantôme éventé, la Mort change de face La mer ! . .. Noyés ? - Eh ! allons donc ! Les noyés

alexandrins avec une césure à l'hémistiche pour la plupart des vers. Dans ce poème, on trouve des rimes féminines, ainsi que masculines, et leur disposition est rimes suivies. La qualité des rimes varie : rimes riches, rimes suffisantes et rimes pauvres (moins souvent). Ce poème ne comporte pas de strophes, les vers se succèdent sans former de strophes. On peut distinguer des parties mises en évidence par l'auteur. Premièrement, la description physique de l'enfant et des lieux du vers 1

l'épouse de Charles Bovary, qui malgré de laborieuses études de médecine, n'est qu'un simple officier de santé. Emma est déçue de cette vie monotone. Une invitation au bal du marquis d'Andervilliers lui redonne la joie de vivre. Lorsque Emma attend un enfant, son mari décide de quitter la ville de Tostes et de s'installer àYonville. Emma fait la connaissance des personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée M. Homais ; le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire Guillaumin ; le libertin

L'ALoUE'ITE. ARDÈLE ou lA MARGUERITE. BECKET OU L'HoNNEUR DE DIEU. CÉCILE OU L'ÉCOLE DES PÈRES. LA FOIRE D'EMPOIGNE. LAGR01TE. L'HURLUBERLU OU LE RÉACTIONNAIRE AMOUREl;X. L'INVITATION AU CHÂTE AU. MÉDÉE. FABLES. ORNIFLE OU LE COURANT D'AIR. PAUVRE BITOS OU LE DîNER DE TÊTES. LE RENDEZ-VOUS DE SENUS. LA VALSE DES TORÉADORS. LE BOULANGER, lA BOULANGÈRE ET LE PETIT Mr�s. CHER ANTOINE OU L'AMOUR RATÉ. LEs POISSONS ROUGES OU MON PÈRE, CE HÉROS. NE RÉVEIlLEZ PAS MADAME. LE

linges tachés de sang et de boue reflétaient l'image, non moins misérable, de sa tête pâle et maigre aux cheveux hérissé. Le pain, qu'il tenait vainement sous le bras, était la cause dérisoire de son arrestation. En face de lui, comme par provocation, était arrêtée une berline armoriée. On distinguait l'intérieur précieusement tapissé. Une belle duchesse en robe de velours y jouait et riait avec un charmant jeune enfant, enveloppé dans les rubans dentelles et fourrures. L'homme ignoré, et même méconnu