Paul Claudel L Echange Rideau

de la représentation d'un drame, un genre littéraire particulier, et le bâtiment dans lequel se déroulent les spectacles de théâtre[1]. Jadis, le mot désignait également la scène ou le plateau, c'est-à-dire toute la partie cachée du public par le rideau.[2] Au sens figuré, « théâtre » désigne un lieu où se déroule une action importante (par exemple, un théâtre d'opérations militaires). Aujourd'hui, à l'heure des arts dits pluridisciplinaires, la définition de l'art du théâtre est de plus en plus

officielle de l’URSS en 1959, depuis la mort de Staline. Destinataire : membres du parti, le soviet suprême. Puis il s’adresse au bloc de l’est, républiques frères, et au monde libre, l’Occident. Gorbatchev : 3 décembre 1989 : après l’ouverture du rideau de fer, dans un contexte qui bouleverse le bloc de l’est : période d’affaiblissement de l’URSS. Contexte = première rencontre entre Gorbatchev et Georges Bush. Origine paysanne, études de droit, il commence très tôt sa carrière politique : Secrétaire

en un échange de répliques, deux vers par deux vers, puis vers par vers, entre les deux sœurs. En fait, Ismène tente de se hisser jusqu’à l’héroïsme d’Antigone qui, pour la protéger, se renferme dans une solitude hautaine et désespérée. Cet extrait est l’un des exemples de scènes à trois personnages qui, d’après le philosophe grec Aristote, sont une invention de Sophocle lui-même. L’affrontement suivant, qui concerne Créon et Hémon, est le seul qui suit le plan habituel des échanges d’arguments

Alfred de Musset (1810-1857) France Eugène Labiche (1815-1888) France Victorien Sardou (1831-1908) France Victor-Eugène Bours (1848-) France Georges Courteline (1858-1929) France Georges Feydeau (1862-1921) France Edmond Rostand (1868-1918) France Paul Claudel (1868-1955) France Alfred Jarry (1873-1907) France Jean Giraudoux (1882-1944) France Sacha Guitry (1885-1957) France Jules Romains (1885-1972) France Jean Cocteau (1889-1963) France André Obey (1892-1975) France Henry de Montherlant (1895-1972)

Le courant littéraire qui a caractérisé ce siècle est le surréalisme, qui est surtout un renouveau de la poésie (André Breton, Robert Desnos...), mais aussi l'existentialisme (Albert Camus, Jean-Paul Sartre), qui représente également une nouvelle philosophie (L'existentialisme est un humanisme de Jean-Paul Sartre). La source première chez les artistes de ce siècle est en rapport avec les conflits politiques de l'époque. La guerre est ainsi présente aussi bien dans la poésie que dans les romans. En

on trouve le rire. Quand j’ai commencé à travailler avec Julie Terrazzoni sur la scénographie de la pièce, je lui ai dit que je «voyais» un rideau de fer de théâtre en verre. Une bizarrerie, un mélange de solidité et de fragilité. Et je voulais un vrai salon derrière. Et tout autour, la possibilité d’avoir un extérieur qui encercle tout. Au fil de nos échanges, l’espace scénique est devenu une sorte de verrière en volume, avec différentes strates qui troublent la vue et qui, en la troublant, la révèlent

nombreuses hypothèses sur le sens réel des échanges verbaux des personnages. Cette obscurité sémantique se retrouve à de nombreux moments de l’oeuvre, comme dans le passage suivant l’histoire du fou racontée par Hamm (p.61). Il conclut son récit par la phrase «Il faisait de la peinture.», Clov ajoute immédiatement : «Il y a des choses terribles.» puis Hamm rétorque implacablement «Non non, il n’y en a plus tellement.». Quel est le sens réel de cet échange ? Que veut dire Hamm lorsqu’il place l’activité

nature morte. La position des hanches de la baigneuse de droite a été modifié, à gauche une femme vient occuper le bord du bassin en se laissant glissée dans l’eau et combler le vide de la composition, le fond est transformé et assombri, à gauche le rideau disparaît, un groupe de femme à côté de la danseuse remplie le vide de la composition. Tous ces remaniement aboutissent à la toile que l’on connaît aujourd’hui sous une forme circulaire ou tondo inscrit dans une toile carré d’1m10 de côté avec des

profiter de chaque envoi pour relire partiellement cette anthologie : dans la mesure du possible, j’ai regroupé les textes en suivant l’ordre du cours, chapitre par chapitre, sauf quelques exceptions.N’hésitez pas à constituer votre propre anthologie, à échanger des textes entre vous !Dans le cours lui-même, je vous invite souvent à vous reporter à un texte de l’anthologie qui illustre mon propos.Les renvois sont facilement repérables : il sont introduits par une => et sont en petits caractères gras de

9782080722874 2,90 € • 112 pages. BEAUMARCHAIS ------------------------------- BAUM (L. FRANK) LE MAGICIEN D’OZ ------------------------------- LE MARIAGE DE FIGARO ------------------------------- BARBEY D’AUREVILLY LES DIABOLIQUES (Le Rideau cramoisi. Le Bonheur dans le crime) Édition de Thierry Corbeau. Texte intégral / Lycée général 9782081213548 3,80 € • 190 pages. Édition de Jean-Philippe Taboulot. Texte intégral / Collège 9782081202856 3,30 € • 196 pages. BARBUSSE Voir