Paul Claval Biographie

expliquant l’organisation des hommes et de l’espace.->débat. Mais la « nouvelle géographie » (terme années 60) n’est pas forcément contredite par la géographie culturelle. - Renouveau a bénéficie des travaux remarquables de certains géographes : Paul Claval, Pierre Gourou, Jean Gallais ou Gilles Sautter + Augustin Berque Les 3 dimensions de l’espace-paysage considérées par la géographie culturelle sont les suivantes : - Un territoire au sens géopolitique du mot, avec des enjeux et une frontière

de vie » Armand Frémont, Lévy-Lussault → civilisation peu ou pas employé car caractère trop ambigu, européocentriste, car implique souvent une volonté de hiérarchiser. Une préférence pour « culture » ou « aire culturelle » car plus neutre. Paul Claval utilise davantage la notion de culture et le mot (sans volonté de concept/notion) de civilisation. Volonté d'être plutôt au niveau local. Joël Bonnemaison (2001) hiérarchise les niveaux spatiaux d'analyse. « ainsi une civilisation rassemble-t-elle

oriente l’action des sociétés humaines dans un sens ou dans un autre. Dans le cadre de cette causalité simple, toute société peut se comprendre à l’aune de son environnement et des conditions physiques. Quelques noms : Friedrich Ratzel1, mais également Paul Vidal de la Blache qui développe une pensée plus nuancée, en passant par la notion de « possibilisme » que l’on peut résumer ainsi : « la nature propose et l’homme dispose ». Cette manière de penser les rapports Hommes/Nature se retrouvera dans

Pierre George Biographie De 1940 à 1980, Pierre George a été le spécialiste de géographie humaine et économique le plus connu en France et dans le monde. Pierre George est né le 11 octobre 1909 à Paris. A 21 ans, il est reçu premier à l'agrégation d'histoire et à celle de géographie. En 1935, il publie sa thèse : La région du Bas-Rhône, étude de géographie régionale, et devient ainsi docteur à 26 ans. Il enseigne d'abord dans des lycées en province, puis à Paris. En 1946, à 37 ans, il est professeur

ROGER BRUNETROGERBRUNET I. Biographie ● Naît en 1931 à Toulouse ● 1953 : Agrégé de géographie (reçu 1er) ● 1965 - 1966 : 2 thèses ● Directeur de l'institut de géographie (Paris) ● 1976-1981 : CNRS ● 1981-1984 : ministère de la Recherche ● Domaine de la géographie humaine : étude spatiale des activités humaines à la surface du globe ● Fonde unGroupement d'intérêt public (GIP) appelé RECLUS (Réseau d'Étude des Changements dans les Localisations et les Unités Spatiales) en 1984 ○ en hommage à Elisée

Paul VIDAL de la BLACHE Paul Vidal de La Blache, né le 22 janvier 1845 à Pézenas (Hérault) et décédé le 5 avril 1918 à Tamaris-sur-Mer (Var), est un géographe français. Il est avec Lucien Gallois, à l'initiative des Annales de géographie, socle du renouvellement de la géographie française à la fin du siècle. Biographie Fils d'un professeur devenu ensuite inspecteur d'académie, très brillant élève du lycée Charlemagne, Paul Vidal de La Blache entre en 1863 à l'École normale supérieure à l'âge

l’urbanisme doit être confronté à l’évolution de m’aménagement humain. (Paul Claval, propose dans une Brève histoire de l’urbanisme une présentation typologique des trois âges de l’aménagement urbain, de la Renaissance au XXe siècle.) Ceux-ci correspondent à trois axes majeurs. · « UNE NOUVELLE AMBITION : ENNOBLIR ET EMBELLIR LES CADRES DE VIE[footnoteRef:1] ». (Renaissance). [1: CLAVAL Paul, Brève histoire de l’urbanisme, Paris, Fayard/Pluriel, 2014, chap. 1

politiques et sociaux. Identifier, classer et hiérarchiser est alors parfois considéré comme un fondement méthodologique (cf. A. Chastel). Mais dans certains cas cette approche est qualifiée (ironiquement) d'attributionniste[16] pour son goût des biographies narratives et des catalogues ou monographies d'artistes. L'autre approche s'interroge aussi sur son propre discours sur l'art, sur la théorie de l'art[17] ou sur les frontières de l'art[18] – plus proche des sciences de l'art[19], est elle

politiques et sociaux. Identifier, classer et hiérarchiser est alors parfois considéré comme un fondement méthodologique (cf. A. Chastel). Mais dans certains cas cette approche est qualifiée (ironiquement) d'attributionniste16 pour son goût des biographies narratives et des catalogues ou monographies d'artistes. L'autre approche s'interroge aussi sur son propre discours sur l'art, sur la théorie de l'art17 ou sur les frontières de l'art18 – plus proche des sciences de l'art19, est elle aussi initiée

t. 3, Paris, Fayard, 1985. - René et Suzanne PILLORGET, France baroque, France classique. 1589-1715, Paris, Robert Laffont, 1995 (t. 1 : Récit ; t. 2 : Dictionnaire. Il s’agit donc à la fois d’un manuel et d’un instrument de travail). Des biographies contenant des informations sur les institutions et sur le contexte : - François BLUCHE, Louis XIV, Paris, Fayard, 1986 (rééd. Pluriel, 1999). - Jean-Christian PETITFILS, Louis XIV, Paris, Perrin, 2002. Instruments de travail : - Lucien BELY