Pathétique

présent(s) dans cet extrait. Un registre regroupe l’ensemble des procédés choisis par l’auteur pour produire un certain effet sur le lecteur. Dans cet extrait, sont représentés deux différents registres : le registre tragique et le registre pathétique. Tout d’abord, le registre tragique suscite la terreur et la pitié. On perçoit

de l’orateur avant sa prise de parole. L’image que l’orateur s’en fait est en relation avec l’élaboration de l’ethos discursif. 3. La preuve pathétique : (ou seconde preuve subjective) Concerne l’allocutaire. L’orateur, voulant être persuasif, doit susciter des émotions chez son allocutaire, le pathos (ce qu’on éprouve). Les preuves éthiques et pathétiques entretiennent une étroite relation car les émotions que manifeste le discours de l’orateur tendent à se transmettre à l’auditoire. Souvent

Blas est un valet (ce qui le différencie de Caligula l’Empereur et Béranger 1er le roi) Il ne peut épouser une reine, il est destiné à mourir, à la fin il s’empoisonne : « C’est du poison. », ici le tragique est donc présent tout comme le registre pathétique en effet on a à faire à un amour impossible, Ruy Blas meurt dans les bras de la personne qu’il aime, il se suicide par générosité malgré le pardon de La Reine qui semble perdue : elle mélange tutoiement et vouvoiement : « Dis-moi ; Je vous pardonne ;

touchant de Chatterton, qui décrit sa situation péjorativement tout en s’injuriant lui-même. Nous allons donc montrer comment à travers un personnage pathétique, Alfred de Vigny met en lumière la difficulté d’être un pauvre écrivain. Pour cela, nous commencerons par présenter les conditions misérables de Chatterton, puis nous présenterons le monologue pathétique et tragique du personnage et pour finir nous présenterons le parcours d’écrivain, un parcours semé d’embuches. Chatterton vit dans des

exclusivement la forme poétique, l'élégie est la plupart du temps une plainte. Le registre élégiaque met ainsi en avant la subjectivité d'un épanchement presque toujours lié à un destinataire. Le développement de la méditation déplorative est ample et pathétique. La forme, même si elle varie beaucoup, est toujours harmonieuse : le travail effectué sur le rythme, les sonorités et les images privilégie l'esthétique et la plastique. Le registre fantastique - Le registre fantastique introduit une faille

premiers vers des questions qui traduisent son désarroi. En premier lieu, j’évoquerai la contradiction des sentiments d’Hermione, face à un dilemme, puis en deuxième partie, je montrerai que cette scène présente toutes les facettes d’une tragédie pathétique typique du classicisme. I) Sentiments contradictoires Dans cette ouverture du cinquième acte, Hermione délibère les sentiments opposés qu’elle ressent envers Pyrrhus. Elle libère ses émotions. Dès les premières lignes, on découvre

alors à un long récit dramatisé et pathétique des derniers instants du héros. c. Problématique et axe d’étude : Il s’agira donc de voir comment le récit, loin d’affadir la scène de combat, en décuple la puissance émotive et la valeur tragique : c’est sous l’angle d’un récit tragique que nous étudierons ce passage. d. Plan : Pour cela, nous commencerons par voir comment le récit est dramatisé (I.). Nous verrons ensuite que ce récit se présente comme un tableau pathétique, qui pousse la description jusqu’à

le mélange de comique et de pathétique qui fait la particularité de la pièce : Arnolphe va « souffrir en damné », mais il l’a bien cherché, car la cause de sa souffrance est l’ingénuité et la naïveté dans laquelle il a plongé Agnès pendant toutes ces années, qui font qu’elle avoue en toute innocence, étape par étape ce que le soupçonneux Arnolphe pouvait craindre le plus : Agnès a fait une rencontre, la rencontre de l’amour. Problématique En quoi le pathétique fait rire dans cette scène ?

étonnante. C. Le culte d’un idole Lors de ce passage Manon, est présentée comme une idole. Le vocabulaire de l’éloge et les tournures hyperboliques y fait beaucoup «  idole, plus parait amour ». II- Un héros pathétique A. L’appel de la mort Tout au long du texte l’idée de la mort de Manon est présente, ce qui dramatise l’enterrement est le champ lexical de la mort en opposition avec celui de l’amour.　 " Fosse, ensevelis, la mort avec impatience, les

scène hyperbolique. Accumulations longues et nombreuses, avec des expressions imagées « voir de vos yeux, toucher de vos mains » (pléonasme). Utilisation fréquente du pluriel. Il s’agit d’une scène dépeinte de façon démesurée. La déshumanisation pathétique des misérables Rôle destructeur du travail répété 8 fois dans le texte, et souvent sans verbe → phrases nominales courtes qui montrent la répétitivité et la violence de cette vie Perte de dignité des hommes : ils ressemblent à des bêtes cf