Pater familias

différentes législations qui se sont succédées et au niveau des sources. §1. L'évolution législative du droit de la famille Jusqu'à la fin de l'Ancien régime, la famille obéissait à un modèle patriarcal hérité du droit romain et donc fondé sur le pater familias seul détenteur de l'autorité dans le groupement. La femme n'avait que des droits très réduits et la famille ne s'entendait que de celle qui était fondée par un mariage, mariage purement religieux et donc sacramentel (relevant ainsi, pour les catholiques

individus. Jusqu’à la fin de l’ancien régime, la famille est considérée comme relevant exclusivement de la sphère privée ; elle se caractérise par un fonctionnement communautaire avec à sa tête un chef de famille tout puissant, le père biologique « Pater familias ». Dans sa forme, se côtoie familles « souche » – 3 ou 4 générations vivent sous le même toit avec un seul couple par génération) – et familles nucléaires - un couple vivant sous le même toit avec ses enfants non mariés-. Mais quelle que

« justice » s'explique par un fait anthropologique simple, qui veut que le premier lieu du jugement soit la famille, qui agissant comme une micro société réprime et régule l'ordre entre ses membres. Avant en France le chef de famille que l'on nommé le « pater familias « , était l'autorité familiale faite homme, c'est lui qui prenait les décisions importantes pour les autres membres de la famille. Cependant, la justice du père de famille n'était pas toujours juste et bonne. D'après ce sens, la justice serait

alliance et liens de sang. A la tête de ce clan, aussi appelé gens, il y a le pater gensis (chef de clan). Chaque clan est formé de famille, à la tête de chaque famille il y a un pater familias. La justice est rendu dans le clan, par le clan, il n’y a pas d’autorité publique qui intervient : si on a un problème au sein d’une famille, le pater familias intervient, mais si il y a un problème entre famille du même clan, c’est le pater gensis qui le règle. Si deux famille d’un clan différent rentre en conflit

progressivement remplacé le modèle de la famille élargie qui comprend aussi les grands-parents, parfois les oncles, les tantes et leurs descendants. En Grèce antique, la famille élargie en une « maisonnée » regroupe aussi les esclaves devant obéir au pater familias. Actuellement on assiste à une augmentation de nouveaux schémas familiaux. A/ Familles divorcées Le divorce est une situation de plus en plus courante dans notre société. Voici quelques chiffres français pour introduire : De 1970 à nos

générale de l’article 1382 le pouvoir de décider eux mêmes de l’illicéité d’un acte. En général, les juges utilisent un standard, ils vont comparer le comportement de la personne considérée au comportement d’un « bon père de famille » (bonus pater familias). Aujourd’hui on considère que même un enfant en bas âge peut être responsable tant le domaine de la responsabilité civile s’est étendu. C’est pourquoi l’on a affiné le standard du « bon père de famille » en comparant plutôt le comportement

juridique est accompagnée d’une restriction de la capacité juridique (ex : la manus exercée par le mari sur sa famille). La mancipation concerne en premier chef les femmes mariées et les enfants nés du mariage qui sont placés sous l’autorité du pater familias en attendant la majorité (25 ans à Rome). Le statut est proche de celui des esclaves à la différence qu’elles sont libres mais dans le cadre de la famille ils sont soumis à l’autorité du mari. Ce qui peut se passer également c’est que dans certaines

assez de la tyrannie de Taquin. 3) les différenciations sociales Il y a les originaires (qui sont les premiers arrivés). Ce sont les grandes familles de Rome. Les « Gens Gentes ». Communauté fondée par le sang et par l’autorité du « pater familia ». Leur réussite est due aux Dieux propres à la famille. Les alliances se conçoivent entre gentes de même famille. La propriété du sol est l’effet de ces familles. Elles renforcent leurs puissances grâce à des protégés. Les protégés sont des déracinés

rcelle pour  satisfaire ses besoins personnels, petit à petit on confiera une année sur l'autre la même  parcelle à une même personne. Ainsi on verra apparaître dans la société romaine une  propriété individuelle sur les terres exercée par le Pater familias( l'épée ré de famille),ça se  concrétisera au fur et à mesure par un droit personnel qui s'exerce sur la chose.    Sous Justinien le droit de propriété se caractérisera par 3 attribus:    ­ jus tuendi (usage)  ­ jus  fruendi (en percevoir les fruits) 

famille sous une forme intergénérationnelle. Elle sort dan la rue, et surtout investit l’école. Ces problèmes ne concernent cependant qu’une minorité de familles (entre 10 et 15% selon les études). A une autorité sans faille exercée par le Pater Familias dans des temps encore pas si lointains a succédé une éducation plus « permissive », mais aussi des liens familiaux davantage fondés sur les échanges, le dialogue, le respect de chaque individu et notamment des femmes au sein de la famille. A succédé