Pater familias

constituée du père et de la mère qui cohabitent avec les fils et les neveux, se distinguant de la famille romaine ou grecque. Les Étrusques semblaient avoir toujours eu des familles solidaires; aucun des membres de la famille ne contestait le "pater familias", l'autorité guide. Grace à des inscriptions, nous connaissons aujourd'hui les principaux noms de parenté en langue étrusque : clan signifie fils, sec : fille, puia : épouse, tusurthi : les époux ; grand-père se disait papa, grand-mère : atinacna

Pélagie Valion Note de synthèse Jean-Jacques Rousseau disait : « Le lien conjugal n’est-il pas le plus libre ainsi que le plus sacré des engagements ? ». En effet, dans son ouvrage Julie ou la nouvelle Héloïse publié en 1761, l’auteur insiste sur l’importance du libre consentement des époux au mariage et de l’épanouissement personnel avec l’effacement de toute tutelle parentale, une vision également portée par l’Église catholique. Le mariage

la relation vassalique qui est chaque fois une relation, un serment et un engagement d’homme à homme.-L’autorité et le pouvoir du seigneur sont conçus par lui, comme d’ailleurs par ceux qui y sont assujettis, comme une extension du pouvoir  du pater familias sur les membres et les propriétés de la famille.Dans l’organisation de la Maison des rois mérovingiens et carolingiens, comme dans nombre de situations patrimoniales, cette conception du pouvoir politique comme étant une extension du pouvoir domestique

famille est dominer par l’autorité paternel écrasante car elle va s’étendre sur les enfants mineurs et majeurs. Tous les descendant d’un ancêtre commun appartienne à la maison appelé domus et sn soumis à l’autorité de ce père dénommé le pater familias. Ce pater familias a le droit de vie et de mort sur les enfants qui naissent. La cohésion de la famille romaine est renforcé par le culte des ancêtres qui imprègne la famille de religiosité et de sacré. Ancien droit : la famille reflète la hiérarchie

l'Étrurie ne devienne province romaine. Les Romaines étaient juridiquement assimilées à d'éternelles mineures et soumises toute leur vie durant à l'autorité d'un tuteur, leur père puis leur mari. La patria potesta qui donne droit de vie ou de mort au pater familias sur tous les membres de sa famille fut réduite au IIe siècle av. J.-C. puis supprimée au IIe siècle après J.-C. Les Romaines jouirent d'un statut moins draconien que les Grecques. Elles avaient par exemple libre accès aux stades, théâtres et autres

sur l’écrit ou encore sur le jeu des écriture. Ce sont eux qui sont traditionnellement les moins pratiqué par les Romains. On trouve parmi eux essentiellement l’expensiliatio. Son origine se trouve dans le fait que dès l’époque république les pater familias romain tiennent des livres de compte ou son mentionnés les rentrées et les sortis d’argent. …….Justement la mention des sorti de fond sur le livre de compte du créancier fait naître l’obligation à la charge de celui qui a reçu l’argent. Mais

paternité. E. Badinter montre que l’instinct maternel n’existe pas mais le rôle maternel est une réalité sociale. • Années 1960 Dans le courant de cette décennie, on observe un vaste mouvement de dépréciation de l’image du père traditionnel, le pater familias. L’autorité et la légitimité du père sont sérieusement ébranlées. La paternité est marquée par le plein exercice de la puissance paternelle ; seul le père a l'exercice de la pleine autorité légale sur ses enfants et même sur sa femme. A noter

groupes. • Confrérie des vingt Fétiaux : chargés de mettre les dieux du côté de Rome. Rituels minutieux. Interviennent lors de la conclusion des traités de paix ou lors d'une déclaration de guerre. Dans le premier cas, le chef des Fétiaux, le Pater Patratus, prend les dieux à témoins, voue Rome à la colère divine si elle manque à ses promesses, et immole un porc en le frappant avec un silex conservé dans le temple de Jupiter Férétrien. Dans le second cas, il va demander satisfaction à l'ennemi

infiniment plus inductive, plus expérimentale. Rationnel, bien souvent, n’est pas un standard car il implique une unique possibilité a priori déterminée » (...)). « Il ne peut s’agir [pour le juge] que de la raison normale d’un contractant bonus pater familias ou d’un administrateur responsable, que de la patience normale d’un justiciable qui n’ignore pas les difficultés de l’action administrative et de la célérité normale d’une administration qui ne se les exagère pas (...) ».   Le propos est tranchant

italien). C’est une promesse magique, religieuse, solennelle, où les dieux sont pris à témoins (les dieux sont là pour punir celui qui n’a pas tenu sa promesse). Elle est utilisée dans les actes d’importance (comme dans les actes de mariage, le pater familias promet de donner sa fille au futur époux et de verser la dote). Dans cet échange de parole, il y a un créancier et un débiteur, ce qui affirme le côté juridique de la sponsïo. Il est garanti par le Droit, avec existence d’une sanction juridique