Passions Mensonge Corneille

italiens, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure et d'un ton nouveau, dans le langage « de la conversation ». Il est, après Molière, Racine, Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la Comédie française[2]. Sommaire [masquer] * 1 Biographie o 1.1 Jeunesse et études o 1.2 Premiers essais o 1.3 Une passion : le théâtre o 1.4 Le philosophe et le moraliste o 1.5 L'œuvre romanesque o 1.6 Dernières années * 2

soutien du jeune roi Louis XIV mais il se braille avec Molière. 1)-Note sur l’auteur : Jean racine, la plus grande voix tragédie du XVIIème siècle avec Corneille est un écrivain des plus complexes. Orphelin très jeune, et laissé sans fortune, Jean Racine est élevé dans la rigueur religieuse. Son théâtre offre un monde rempli de passion, d’égoïsme, de refoulement et de cruauté. Cherchant à se pousser dans le monde, Racine commence par composer des poèmes pour être présenté dans les cours. A 25

I. 17e siècle Pierre Corneille: Fils de la haute bourgeoisie il fait de brillantes études chez les jésuites et exerce la charge d'avocat général à la table de marbre du Palais pendant vingt ans. Il se fait d'abord connaître et apprécier grâce à ses comédies, tel Mélite en 1628. Il est ensuite remarqué par Richelieu qui lui verse une pension. Cette association s'achève avec Le Cid qui vaut à Corneille la gloire. Il fut délaissé par le public au profit de Racine. Il mourut dans l'indifférence.

proposerez une séquence à partir du corpus suivant : 1- CORNEILLE, LE CID, 1637, acte I, scène 4 2- MOLIERE , L’AVARE,1668, Acte I, scène 7 3- IONESCO, RHINOCEROS, 1960, extrait de l’acte III, fin de la pièce. 4- LOUVET Jean, JACOB SEUL, 1990 5- J-M RIBES, Monologue, extrait de Monologues, bilogues, trilogues, 1997 Oeuvre picturale : Jean-Antoine WATTEAU, Gilles, 1718-19 [pic] Textes : 1- Corneille LE CID DON DIÈGUE O rage! O désespoir ! O vieillesse

les écrivains protestants comme Théodore Agrippa d'Aubigné et de l'autre les écrivains catholiques comme Honoré d'Urfé et Pierre Corneille ou encore ceux qui se reconvertissent tels Jean de Sponde et Théophile de Viau. Ce courant littéraire offre quelques lieux communs représentatifs : mêler les contraires (le réel et l'illusoire, le grotesque et le sublime, le mensonge et la vérité) ; développer l’imaginaire ; exprimer des sentiments et des sensations; mais aussi l'abondance des détails et des couleurs

Conjuration de Pison, en 65 av. J-C, Néron l’obligera à s’ouvrir les veines aux yeux et vus de tous. Sa tragédie antique Médée écrite en vers, dont la date de publication nous est inconnue, est un élément majeur qui influencera des auteurs comme Corneille au XVIIème siècle. Novatrice, non par l’histoire et son personnage (déjà traités par Erinius et Ovide), Sénèque s’inspire beaucoup de la version d’Euripide mais propose une approche plus crue, violente et dénuée de toute pitié de la magicienne ainsi

« dionysiaque » (lié à l'instable, à l'excès, à l'expression des sensations). Le Baroque littéraire : Ce courant littéraire donne quelques lieux communs représentatifs : mêler les contraires (le réel et l'illusoire, le grotesque et le sublime, le mensonge et la vérité) ; développer l’imaginaire ; exprimer des sentiments et des sensations ; mais aussi l'abondance des détails et des couleurs, des formes et des parfums. La mort est souvent un thème récurrent dans les œuvres baroques, intimement

prisonnière de sa passion. Cette passion détermine toute sa vie jusqu'au jour ou elle la consume entièrement. Phèdre serait donc un personnage lâche selon Sartre car elle se cache derrière le sort que Vénus lui a jeté pour justifier son amour pour Hippolyte tout comme Estelle qui essaye de justifier sa relation extra-conjugale par le fait qu'elle s'est mariée avec un riche vieillard pour aider son frère malade. Pour Phèdre, « l'enfer, c'est les autres » car elle est prisonnière de sa passion. Ses actes

toujours l'auteur le plus joué. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse qu'il veut libérer des contraintes absurdes. Très loin des rigueurs de la dévotion ou de l'ascétisme, son rôle de moraliste s'arrête là où il l'a défini : « Je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement »[3], et son but a d'abord été

Henriette d'Angleterre, (1667) assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), qui est l'occasion d'une joute théâtrale avec Corneille dont la pièce est Tite et Bérénice (c'est Racine qui l'emporte indéniablement), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Ébranlé par les critiques et les cabales, Racine renonce au théâtre malgré le succès populaire de