Pascal Discours Sur La Condition Des Grands

logique et de langage, c’est aussi la ratio latine, c’est-à-dire le raisonnement, le discours, le rapport, le calcul. La raison s’oppose à l’intuition, à la passion, à la folie, à la foi. Philosopher, c’est encore raisonner. Il convient alors de s’interroger sur son pouvoir et sur ses limites. Qu’est-ce que la raison ? Raisonner c’est penser avec ordre, méthode et discipline, enchaîner les arguments, pratiquer un discours sensé dont quiconque comprend la provenance, la situation et la direction. C’est

d’étude d’objet se réduit aux sens varier en inverse = deux grandeurs/dimensions. Plus la compréhension sera précise, plus la classe d’objet sera réduite.   Connaissance précise + compréhension précise = Faible extension |                 6.  PASCAL >Le cœur est une faculté de pensée Ce qui s’oppose, c’est la Raison et le Cœur ( facultés fondamentales ). La question du cœur a des limites mais détermine la vérité que la Raison ne peut savoir (impuissante).   Le cœur au XVIIIe siècle

Dieu. Ronsard, dans le Discours des misères de ce temps, prend position dans le conflit des guerres de religion en s’adressant au roi et à la reine. 2 Au XVIIe siècle • Le XVIIe siècle est pris entre deux tensions, la conscience toute baroque de l’instabilité et de la fragilité de l’homme, et la revendication de sa maîtrise du monde. C’est donc la place de l’homme dans le monde qui est au centre des débats. • L’argumentation directe peut prendre la forme du discours, défini ainsi par Descartes (1637) :

c’est qu’elle s’étend également à tout homme. Ainsi c’est le fait que la liberté soit égale pour tous qui constitue le changement le plus radical.Autrement dit, ce qui est nouveau, ce n’est pas la liberté mais l’égalité. C’est cette égalité des conditions qui définit selon Tocqueville la démocratie. Il ne s’agit pas d’une égalité matérielle, il y a toujours des riches et des pauvres mais le riche peut devenir pauvre et le pauvre devenir riche. Il n’y a plus de classes sociales rigides, les hommes

Le bonheur dépend des conditions intérieures et extérieures. Le Bonheur, c’est l’état de l’individu qui atteint la plénitude et la coincidence avec lui-meme et avec le monde. Le bonheur est lié au temps : il est censé ne pas être pour le présent : je le pose donc comme accessible mais impossible pour l’instant. Si je dis que quelque chose est inaccessible, ça veut dire que quelque part je le pose, c’est une existence conceptuelle. -d’après Pascal, on éprouve le bonheur

erreurs pour atteindre l’exactitude ? Et ainsi savoir à quelles conditions un énoncé est scientifique. Puis comment un énoncé scientifique peut-il à la fois être vrai et provisoire ? Quelle place pour l’exigence expérimentale dans la science ? Nous avons dit plus haut que ce qui est exact ne doit pas contenir d’erreurs. Ceci s’applique particulièrement au cas de la science, il ne semble pas imaginable que les hommes donnent une si grande place à la science si celle-ci n’est pas dépourvue de toutes

Question : Le corpus se compose de quatre textes de deux siècles différents. Pensée 347, de Blaise Pascal (1670), Le Chêne et le Roseau, de Jean de La Fontaine (1668), sa réécriture par Jean Anouilh Le chêne et le Roseau (1962), et Le Peuplier et le Roseau, de Raymond Queneau (1968). Les quatre auteurs du XVIIe et XXe siècle donnent une image de l'homme nuancée. Il est présenté comme surprenant, prétentieux, pensant et conscient, et enfin, sage. On trouve l'idée d'un homme surprenant dans

Susbielle va jusqu’à prophétiser un troisième conflit mondial éclatant entre la Chine et les Etats-Unis. A le lire, on est bien loin du panda inoffensif et débonnaire, et plus près d’Alien[5]. L’administration Bush ne s’est pas privée de son côté d’un discours sur la menace chinoise tout en présentant poliment l’ennemi comme un « compétiteur stratégique ». Le fait qu’une ancienne civilisation réfractaire par nature aux valeurs assimilatrices de la mondialisation puisse être devenue en une quinzaine d’années

l'auteur parie sur l'effet pédagogique de l'anthropomorphisme. Il dénonce ainsi tous les faux dialogues, ceux qui ne servent en rien à échanger des idées, mais à asséner des partis pris tout en prétendant les démontrer rationnellement... Dans le discours du loup, Jean de La fontaine prend soin de multiplier toutes les aberrations logiques : ainsi, contrairement aux motifs allégués, l'agneau ne peut-il "troubler" le breuvage du loup puisque le ruminant se désaltère à plus de vingt pas en aval du carnassier

là de l'idée délirante en psychiatrie, mais se sépare aussi de celle-ci (...) L'idée délirante est essentiellement - nous soulignons ce caractère - en contradiction avec la réalité; l'illusion n'est pas nécessairement fausse. Une jeune fille de condition modeste peut par exemple se créer l'illusion qu'un prince va venir la chercher pour l'épouser. Or ceci est possible; quelques cas de ce genre se sont réellement présentés. Que le Messie vienne et fonde un âge d'or, voilà qui est beaucoup moins vraisemblable: