Pas de femmes

accomplir sa féminité de se faire objet et proie ».Cette soumission n'est pas sans risque puisque comme autre points communs dans ces trois texte les auteurs nous exprimes une certaine rébellion venant de la femme. Ils nous dévoiles des femmes qui se révolte ainsi que des femmes affranchies. Ces trois auteurs on tout trois une autre vision de la femme que celle de la société, ils ne font pas de différence entre homme et femme et si s'est le cas ils viennent même a valoriser la femme plutôt que l'homme. Or

L’école des femmes ACTE V, Scène IV Une scène comique ou pathétique : Introduction : L’école des femmes, est une comédie de Molière en cinq actes, et elle est jouée en 1662. La pièce reçoit un grand succès mais aussi plein de critiques, notamment pour son immoralité. C’est une scène qui est à la base pathétique mais qui va très rapidement tourner au comique. Nous allons d’abord voir le cote pathétique de cette scène et ensuite son cote comique. Cette scène est-elle vraiment une scène

L'école des femmes est une satire de l'utilisation hypocrite de la religion. Moliere s'attaque à ceux qui invoque la dévotion à des buts personnels.Moliere a eu des problèmes avec les autorités religieuses à cause de cette pièce, mais ce sera pire avec Tartuffe et Don juan D'abord Arnolphe garde Agnès dans la bétise et l'ignorance. Puis il la terrorise en la culpabilisant et en la menacant de l'enfer. Il deploie le spectre de la religion chretienne "C'est un péché mortel des plus gros qu'il se fasse"(v599)

L’ ÉCOLE DES FEMMES L’introduction: L’école des femmes est une comédie écrit en vers par Molière en 1663 et composée par 5 actes. Résumé: Arnolphe qui se fait appeler M. de La Souche, il est tuteur d’une jeune fille qui s’appelle Agnès qu’il veut épouser mais il a peur d’être trahi. Agnès à l’âge des 4 ans était enfermée dans un couvent pour n’avoir pas de relations avec les personnes parce que Arnolphe voulait qu’elle deviennes une idiote pour n’être pas capable de le trahir. Maintenant Agnès

b/ On s’intéressera à la querelle de L’Ecole des femmes, " bataille " plus mémorable que celle d’Hernani qui conduit Molière à écrire La Critique de l’Ecole des Femmes et l’Impromptu de Versailles. Voir en annexe la chronologie de la querelle. 3 La théâtralité triomphante. Texte et représentation. A ses détracteurs, Molière répond génialement et répond théâtralement: œuvres de circonstance, œuvres de polémique, La Critique de L’Ecole des femmes et L’Impromptu de Versailles ne sont pas des ouvrages

Ecole des femmes, MOLIÈRE Comédie 5 actes , vers et alexandrins mêle farce et grande comédie succès et quelques débats La scène se déroule dans une ville Personnages : ARNOLPHE = tuteur d'Agnès se faisant appeler M. de la Souche AGNES = pupille d'Arnolphe adoptée et élevée dans un couvent HORACE = amant d'Agnès ALAIN = serviteur d'Arnolphe GOERGETTE = serviteur d'Arnolphe CHRYSALDE = ami d'Arnolphe ENRIQUE = beau-frère de Chrysalde ORONTE = père d'Horace et ami d'Arnolphe

modes de fonctionnement propres au discours théâtral ainsi que les procédures spécifiques du langage dramatique." Il s'agira donc pour moi, et ce sera l'objet de ce mémoire professionnel, dans le cadre de l'étude d'une oeuvre intégrale, L'Ecole des Femmes de Molière, de prendre en compte à la lumière des nouvelles perspectives mues par les auteurs de théâtre et les metteurs en scène eux-mêmes et intégrées dans les Horaires, Programmes et Instructions, de donner aux élèves des notions sur ce que

Ce passage est extrait de l’Ecole des Femmes, pièce de théâtre écrite par Molière et représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662 par la Troupe de Monsieur, frère unique du Roi. La pièce est comique, et son thème est le cocuage : un personnage qui a peur d‘être cocu qui planifie son mariage avec une fille simple d‘esprit. L’extrait se trouve au cœur de l’histoire. Mais j'ai des idées pour le développement. Quiproquo sur le thème du mariage

Je sais les tours rusés et les subtiles trames Dont pour nous en planter savent user les femmes. Et comme on est dupé par leurs dextérités, Contre cet accident j'ai pris mes sûretés; Et celle que j'épouse a toute l'innocence Qui peut sauver mon front de maligne influence. CHRYSALDE Et que prétendez-vous qu'une sotte, en un mot... ARNOLPHE Epouser une sotte est pour n'être point sot. Je crois, en bon chrétien, votre moitié fort sage; Mais une femme habile est un mauvais présage; Et

folle, à l’excès ». Car Irène sera décrétée folle parce qu’elle dérange dans un monde d’hommes « ça vous travaille, hein, | |bandes d’hypocrites ! Vous cachez vos femmes, derrière des voiles pour mieux les assujettir [...] Ils me disent dingue afin de préserver| |leur suprématie, pour que ne ressuscitent plus jamais les femmes rebelles, mangeuses de sexe. » Le sexe est un pouvoir. Selon Irène, ses| |fesses sont capables de renverser « le gouvernement de n’importe quelle République ! ». Dans