Panoptique

spécialisation d’usine (manufacture avec étages, au début du 19ème) Dans un second temps, il faudra donc mettre ne place en système de contrôle pour assurer que les lumpens ne glandent pas et que la production soit faite. On va s’inspirer de l’idée panoptique (Panopticon) de Jeremy Bentham: prisons, hôpitaux, usines, logements,… Le système de Bentham est de permettre une surveillance depuis un point centrale, qui permet une vue totale sur tout, mais le lumpen ne peut jamais savoir si il est surveillé

surveillance et le contrôle des élèves sont largement intégrés dans les constructions d’établissements scolaires. Si le bâtiment est réfléchi comme un lieu propice aux apprentissages et au bien-être des élèves, les effets sur les élèves de la structure panoptique et des aménagements dédiés à la surveillance sont de l’ordre du pouvoir physique et moral sur eux (de Champs, 2010) et du sentiment de captivité. En somme, la question du malentendu entre des adultes soucieux d’instaurer des espaces « régis par

télécrânique » où des écrans permettent de contrôler la totalité des activités sociales. Il rejoint le panoptikôn de Bentham (architecture qui permet de tout contrôler), d'où a été tiré l'architecture des prisons et le concept de Foucault des sociétés panoptiques. Le pays où il y a le plus d'écrans de contrôle, de télésurveillance est la GB, qui est supposé être le modèle le plus libéral sur le plan politique... Alors que cette réalité s'est produite, la critique à l'égard de cette société télécrânique c'est

d’agapè, de suspension de la concurrence, de la violence symbolique, etc.). Critique des féministes de la notion de consentement à la domination : Nicole-Claude Mathieu notamment. Travaux repris par Bourdieu : anciens. Notamment le schéma panoptique des oppositions pertinentes reprenant les oppositions de la société kabyle sur laquelle il travaille (déjà présent en 1972 dans esquisse d’une théorie de la pratique et dans le sens pratique de 1980). Raisonnement de Lévi-Strauss : influence et

= ouvrier domestiqué d) Une architecture de la surveillance - De l’atelier-domicile au lieu de travail : « factory », « mill », fabrique, entreprise, bureau,… Le nom du lieu de travail change ; cela marque aussi cette « cassure » - L’idée de panoptique de Jeremy Bentham : prisons, hôpitaux, usines, logements : (tour avec tout autour des cellules de sorte que l’on peut constamment surveiller les travailleurs). Le patron peut être dans le « mirador » et contrôler tous ses employés du même endroit

architecture carcérale nouvelle permettant d’améliorer la vie des prisonniers mais aussi la mécanique de répression en vue d’améliorer le système général de la population pénale. Sa prison est une roue (Luynes est basée sur les plans de Bentham), prison en panoptique. A partir de 1826, il va créer l’University College de Londres qui existe toujours. 2 § 2 : Son œuvre et sa pensée 1 A : Bentham et l’utilitarisme politique Démarche utilitariste. Critique d’une institution donnée et reconstruction

sur les titres et leurs émetteurs, qu’au plan juridique, où l’information est la matière première, l’objet privilégié de la réglementation »31. Selon certains auteurs, la transparence est un dispositif contraignant qui fonctionne à la manière du « Panoptique » imaginé par le philosophe utilitariste Bentham32. Il s’agit d’un type d’architecture carcérale dont l’objectif est de permettre à un individu, logé dans une tour centrale, d’observer tous les prisonniers enfermés dans des cellules individuelles

jamais rencontré d’Homme ». • La critique utilitariste de J. Bentham Philosophe à l’époque de la révolution française qui avait très mauvaise presse au regard des droits et libertés. En effet il est associé à l’élaboration d’un institution le panoptique, modèle d’établissement dans lesquels les gardiens peuvent contrôler toutes les personnes placées sous leur surveillance, modèle de surveillance totalitaire. Sur plan politique connaît certain succès, va inspirer construction de certaines prisons

bien le matin parce qu’on se fait un petit bonjour, mais c’est en même temps une absence totale de travail un peu isolé, il y a tout le temps le regard de quelqu’un, et c’est très désagréable. » confie un magistrat. Le bâtiment s’apparente à un panoptique, pire, à un « blockhaus » pour reprendre le terme de certains, où tout le monde surveille tout le monde, d’où un sentiment d’isolement et de confidentialité inexistant. En revanche, l’impression d’enfermement est citée plusieurs fois. « Dans notre

philosophie des Lumières dans le domaine de l’architecture. Ce dossier permet également d’identifier les caractéristiques d’une œuvre néoclassique. 71 Ré p ons e s a ux que s tions LECTURE DE L’ŒUVRE 1. Pour la saline, Ledoux adopte un plan panoptique. 2. D’après la légende du document 3 : Bâtiments industriels 4. Magasin des sels 7. Tonnellerie 8. Maréchalerie Bâtiments Logement administratifs des ouvriers 2. Maison 5. Maisons du directeur des ouvriers 6. Jardins des ouvriers 3. Seuls le diamètre