Pale

campestre T. fragiferum Types de marqueurs Absent. Absent. Absent. 1/ « V » grenat. 2/ « V » vert clair. 3/ « V » marron + « V » vert clair. 4/ tâche orange pâle au point d’insertion des trois folioles. 1/ « V » blanc. 2/ tâche blanchâtre à la base des folioles délimitée par un « V ». 3/ tâches sombres au niveau des folioles. 4/tâche jaune pâle au centre des folioles. Absent. « V » jaune. « V » blanc. Quelques fois tâches sombres sur la nervure principale. 1/ Point ou « V » blanc. 2/ « V » + tâches

« encadré d'une petite branche » Celle-ci est sacralisée, elle apparaît « dans la clarté d'un pâle réverbère » Antithèse claire/pâle = illumination apportée par l'arrivée de la femme Dimension lumineuse supérieure à celle de l'obscurité Suspens de l'appartition dans la 5ème strophe est relancé depuis « Le coeur fou » puis avec la conjonction « lorsque » et enfin avec le groupe nominal « dans la clarté d'un pâle reverbère ». Apparition fragile et attendrissante : « Passe une demoiselle aux petits

pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal.Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! oui, c’était cela ! Un de ses yeux ressemblait à celui d’un vautour, – un œil bleu pâle, avec une taie dessus. Chaque fois que cet œil tombait sur moi, mon sang se glaçait ; et ainsi, lentement, – par degrés, – je me mis entête d’arracher la vie du vieillard, et par ce moyen de me délivrer de l’œil à tout jamais. Maintenant, voici

Le chevalier double Qui rend donc la blonde Edwige si triste? que fait-elle assise à l'écart, le menton dans sa main et le coude au genou, plus morne que le désespoir, plus pâle que la statue d'albâtre qui pleure sur un tombeau? Du coin de sa paupière une grosse larme roule sur le duvet de sa joue, une seule, mais qui ne tarit jamais; comme cette goutte d'eau qui suinte des voûtes du rocher et qui à la longue use le granit, cette seule larme, en tombant sans relâche de ses yeux sur son coeur

perfection et de la vérité absolue, avant de nous incarner dans un corps. Dans ce cas, apprendre signifierait se souvenir, se remémorer certains aspects d’une vérité immuable, qui existe inexorablement. Le monde ‘’sensible’’ ne serait qu’une pâle copie illusoire de ce monde ‘’intelligible’’, nous ne pourrions donc pas nous fier à la perception et le ‘’souvenir’’ serait alors notre seul moyen d’accéder à la connaissance. La vérité serait constituée d’idées pures, non perceptibles par les sens

presque blond. Elle la remit derrière son oreille trop grande pour sa petite tête. Sa peau très pale, ses jambes qui ne semblaient pas pouvoir la supporter, et ses bras minces et mous lui donnaient l’air faible et mal à l’aise, le tout complété par son buste dégonflé et légèrement courbé. Ses taches de rousseur sur ses joues et son nez pointu attiraient le regard car c’était la couleur la moins pâle dans son visage. Peut-être était-ce pour cela qu’elle ne faisait pas partie des filles populaires

transfigurés par la lumière puisqu’ils sont dits d’argent. * La fusion de l’homme et de la nature est visible par l’emploi à 4 reprises de la préposition « dans » (« il est étendu dans l’herbe », « la nuque baignant dans le frais cresson bleu », « pâle dans son lit vert où la lumière pleut », « les pieds dans les glaïeuls ») là où la préposition « sur » apparaissait plus appropriée. Cet emploi de « dans » permet de montrer que le dormeur est en fusion avec la nature qui lui offre un berceau protégé

romantique de l'époque en décrivant une Carmen comme une femme complètement à l'opposé de celle du 19ème siècle qui étaient ronde, blonde et pâle. Carmen n'est pas une femme typique, elle a de long cheveux bruns, la peau brune, les yeux d'un noir sinistre. L'auteur critique la femme de son époque car Carmen en est l'opposé ; plaît aux hommes donc la femme ronde et pâle attire beaucoup moins d'homme que Carmen qui les attire en très grand nombre. L'auteur, dans son poème, célèbre la femme fatale au regard

réalisme comme si nous avions la ville sous nos yeux. B) Une impression d'espace & d'horizontalité Le champ lexical de la grandeur est important dans cet extrait : « l'espace » (ligne 8), « cet océan de maisons » (ligne 5), « le grand ciel pâle » (ligne 10), « de larges feuilles » (ligne 12), « immense » (ligne 32) qui fait référence « au grand innocent de Paris » … Dans la phrase « emplissant l’immense horizon » (ligne 6), les assonances en « i », « en » , associées à l’allitération en

les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. II est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes; Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais. Alors je rêverai des horizons bleuâtres, Des jardins