Orphée et Eurydice

emprunte énorméments de titres à des compositeurs. Elle pioche dans des répertoires existants et de tous style (ex : romantique, folie, valse (cf titre WALZER), tango...). Elle a fait un assemblage (cf : stück). Ses principales œuvres : 1975 : « Orphée et Eurydice » 1975 : « Le Sacre du Printemps » 1978 : « Café Müller » 1978 : « Kontakthof » 1982 : « Walzer »

poème antique racontant la descente aux Enfers pour y chercher sa bien aimée Eurydice. On peut relever plusieurs éléments pouvant mettre en évidence la façon dont l’amour est évoqué dans cet extrait. En effet, différents registres sont présents et s’opposent comme l’indique les verbes d’actions : « s’écroula » v. 11 ; « « échappé » v.1 qui donne un rythme rapide et illustre la brutalité que revêt le châtiment encourut par Orphée qui s’est retourné et que lui réserve Proserpine. Par ailleurs dans ce poème

Lyre qui charme les animaux sauvages. Le Dieu Appolon lui offre deux cordes à sa lyre. Il est marié à Eurydice qui va mourir lors de son mariage par la morsure d'un serpent. Le mythe raconte que Orphée a charmé Cerbère avec sa lyre pour descendre au enfers pour récupérer sa femme, Hadès lui a accordé à une seule condition qu'il ne se retourne pas jusqu'à la fin de la remontée de l'enfer. Orphée n'a pas tenu cette condition donc sa femme est restée en enfer.Ce personnage est tres connu dans la poésie

Teletuse lui conseille de l’éduquer comme un garçon. Ainsi, elle parvient à changer de sexe. Chapitre 10 Orphée est amoureux d’Eurydice. Mais le Dieu Aristée la désire aussi. Elle s’enfuit. Dans sa course, elle est mordue par un serpent. Elle meurt. Il va au-delà du Styx pour la récupérer. Grâce à sa voix, il endort le chien à trois têtes Cerbère, mais échoue par sa propre imprudence. Orphée s’isole alors et compose des chants avec sa lyre. Il passe alors le restant de ses jours à chanter les histoires

l'avant-garde. Il va nous présenter une image dévalorisante des mythes. La Machine infernale (1934): nous voyons Jocaste, la mère d'Œdipe, une femme qui éprouve une vive attirance pour les jeunes garçons et qui n'a pas oublié son nourrisson. Dans Orphée, on voit une Eurydice qui va renouer avec les bacchantes. Il combine la danse, la satire, l'orchestre, la pantomime et la parole. Cette première période est marquée par le cubisme: • La Parade (1917) • Le Bœuf sur le toit • Les Mariés de la tour Eiffel (1921)

demeure tension vers le sacré, le « mystère » de la vie, dans une œuvre qui reste pour Mallarmé « musicienne du silence ». C’est peut-être pourquoi « les mots se lèvent avant leurs sens » pour René Char, chargés des mystères (divins ?) dont seul Orphée, le « rêveur sacré » a le secret… (cf. Cocteau et l’importance du rêve et de l’inconscient pour les poètes surréalistes ; Jean-Baptiste Pontalis, Le Dormeur éveillé). « J’ai seul la clé de cette parade sauvage », « Parade », Illuminations, Rimbaud

poétique de Cocteau, qui se déroule dans l'ordre du merveilleux. Elle recèle toute la thématique (le merveilleux enfantin, le mythe de pureté et la perversion, l'amour et la mort) présente dans “Le grand écart” (1923), “Les enfants terribles” (1925) ou “Orphée” (1926). Mais, dans “Thomas l'imposteur”, où la part autobiographique est sans doute importante, la réalité n'est pas évacuée par la magie, pas plus que le tragique n'est contourné par les lazzi qui clôturent ces trois récits. Lors de sa parution

lyrique » renvoie métaphoriquement au « chant » de l'âme, c'est-à-dire à l'expression des sentiments. La mythologie semble d'ailleurs associer la poésie à l'expression de la souffrance : Orphée, premier poète de l'humanité, est célèbre pour avoir chanté inlassablement sa douleur d'avoir perdu par deux fois Eurydice. Ainsi, l'amour malheureux et la mort semblent être des thèmes fondateurs de l'inspiration poétique, au point que l'élégie constitue un genre à part entière dans la poésie des Anciens. Cette

immédiatement à l'esprit : Les deux Orphée de Cocteau, bien sûr. Avec Hermès, je n'étais pas très loin : nous voici face à une autre figure mythique liée, elle aussi, aux mystères. Ici aussi, le regard dans le miroir tue. À l'origine de la situation dans laquelle se place le roman d'Amélie Nothomb, il servit d'instrument pour retirer la jeune fille de la vie (ce qui revient à lui retirer la vie), avec, cependant (puisque le roman est là), comme dans Orphée, un espoir de retour, espoir aminci

dans aucun des cafés’ ». Au début de l’extrait, il s’imagine dans le rôle d’Orphée, personnage mythologique qui vint chercher sa belle jusqu’au plus profond des enfers : « comme si parmi les fantômes morts, dans le royaume sombre, il eût cherché Eurydice ». Il se gonfle d’un profond « désir de réussir », exaltant sa passion par un acte héroïque, alors qu’il est simplement malade à la seule idée qu’Odette puisse passer une soirée sans lui. L’illusion s’empare tout à fait de lui, comme le montre la