Orphée et Eurydice

Elle!le!sauve!et!il!parte! ensemble!en!emportant!la!statue!de!Diane.! Orphée! Orphée!était!un!extraordinaire!joueur!de!Lyre.!Il!devait!épouser!Eurydice.!CelleIci!meurt! piquée!par!un!serpent!le!jour!de!leur!mariage!Désespéré,!Orphée!demande!à!Pluton!et!à! Proserpine!de!la!lui!rendre.!CeuxIci!acceptent!mais!il!ne!devra!pas!la!regarder!avant! d’être!sorti!des!enfers.!Hélas,!celui!regarde!Eurydice!qui!disparaît!aux!enfers.!Orphée!ne! se!remet!pas!et!refuse!même!les!avance!des!Nymphes!de!Bacchus!qui

Mythologie • Les héros Souvent nés d'un dieu ou d'une déesse, les héros ont un destin extraordinaire. Les plus grands sont : -Persée : Acrisios, roi d’Argos est marié à Eurydice. Ensemble ils ont une fille Danaé. Ne parvenant pas à avoir de fils pour succéder au trône, Acrisios part consulter l’oracle de Delphes. Celui-ci lui apprend qu’il sera tué par son petit fils. Acrisios est paniqué et décide donc d’enfermer sa fille Danaé dans une tour afin qu’elle n’ai jamais d’enfants. Mais Zeus tombe amoureux

 min) CIE  CHP  –  «  ORPHEE.COM  » Duo Chorégraphie  :  Chris]ne  Hassid Interprètes  :  Virginie  Salmeron  et  Damien  Orsal Musique  :  Christophe  Willibald  Gluck  :  Orphée  et  Eurydice   (Opéra)  /  Les  musiciens  du  Louvre,  Marc  Minkowski,  Marion   Harousseau,  Mireille  Delunsch  &  Richard  Cro‰. CréaGon  sonore  :  Plas]kman  et  Gluck CréaGon  lumière

métaphore musicale, puisqu’il compare le cœur à un instrument de musique, et notamment la lyre. LE REGISTRE LYRIQUE tire son nom de l’instrument de musique. Le poète Orphée, dans la mythologie grecque, jouait de la lyre et parvenait à émouvoir la nature. Sa femme, Eurydice, après s’être fait mordre par un serpent, est morte, mais Orphée est parvenu à la retrouver dans les Enfers. Il a su émouvoir le gardien des Enfers, le cerbère, chien à trois têtes, mais hélas, comme le lui avait interdit le dieu

Poétique du retournement Par Jean-Michel Maulpoix Extrait d'Adieux au poème, essai publié aux éditions José Corti [pic] À l’instar d’Orphée , le poète apparaît d’abord comme un homme qui se retourne : Orphée vers Eurydice , Rutebeuf vers ses amis perdus, Villon vers les « neiges d’antan », Du Bellay vers son Petit Liré, Lamartine vers la voix d’Elvire, Baudelaire vers le « vert paradis des amours enfantines » et les « défuntes années » , Rimbaud cherchant « la petite

d'ordre philosophique, métaphysique ou social. Mythe solaire; mythe de Prométhée. Les mythes grecs, parents des mythes sanscrits, n'exprimaient à l'origine que le jeu des forces naturelles (Taine,Philos. art,t.2, 1865, p.203).Orphée est condamné à ne jamais revoir Eurydice, parce qu'il l'a regardée. Ce vieux mythe exprime bien la loi du rythme, qui ramène ainsi et entraîne de belles images du fond des abîmes, mais toujours derrière lui, et sans s'arrêter jamais (Alain,Beaux-arts,1920, p.93): 1.

la belle étoile dans « Ma Bohême ». Blaise Cendrars dans sa « Prose du transsibérien » évoque « Moscou », le « Kremlin » et la « Place Rouge ». • Mais le poète revient le plus souvent sur les expériences plus douloureuses de sa vie : Orphée vient de perdre Eurydice lorsqu’il prend sa lyre pour raconter ses malheurs. Au xixe siècle, Hugo dans « Je fus comme fou… » raconte la mort de sa fille Léopoldine et les moments qu’il a vécus dans les jours qui ont suivi : « Oh ! je fus comme fou dans le premier

114 Chapitre 5 Les procédés d'écriture rhétoriques Les procédés propres au genre dramatique Le mot théâtre provient d'un mot grec qui signifie ce qui est regardé. Quant au mot drame, il désigne étymologiquement une action. Ces deux termes expriment en fait toute l'essence du théâtre : une action, interprétée par des acteurs, sous le regard d'un public. Analyser le texte dramatique consiste donc à caractériser son système d'énon- ciation et à étudier les ressorts qui régissent sa forme, dont il existe

Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal Nicolas Poussin, Orphée et Eurydice,1650

lyrique » renvoie métaphoriquement au « chant » de l'âme, c'est-à-dire à l'expression des sentiments. La mythologie semble d'ailleurs associer la poésie à l'expression de la souffrance : Orphée, premier poète de l'humanité, est célèbre pour avoir chanté inlassablement sa douleur d'avoir perdu par deux fois Eurydice. Ainsi, l'amour malheureux et la mort semblent être des thèmes fondateurs de l'inspiration poétique, au point que l'élégie constitue un genre à part entière dans la poésie des Anciens. Cette