Onomastique

psychique. Zone du ventre problème, tout y est concentré: la zone érotique: c’estla qu’il est malade,personnage quipeine à assumer un rapport érotiqueà lui même. Déshumanisation dans énumérations d’organe: seulement tas d’organes abimes. Mr Fleurant onomastique: fleurer = odeur (mauvaises) odeur feccales→ odeur de la mort. Mort jamais loin du personnage, hanté par la peur de mourir, corps horrifique, tentative de faire dialoguer l’interieur et l’exterieur (corps) = agonie. Ce qui le motive est l’obsession

sens : Georges a un nom presque noble, on entend effectivement la particule qu’il se donnera par la suite. Qui plus est, son patronyme contient le mot « roy », on peut donc en conclure que Georges Duroy est celui qui règne ou qui régnera. Ce sens onomastique n’est pas sans valeur puisqu’il nous annonce la réussite de notre héros dès l’incipit, il la porte en lui, dans son nom. Cette image majestueuse sous-entendue, se confirme avec la fierté dont fait preuve « Bel Ami », il est « grand, bien fait, blond

désespéré, le rivage s’efface dans les vagues lueurs du crépuscule. » Ces muses surnuméraires qui fuient le poète vieillissant sont bien étrangères aux vicissitudes parisiennes du jeune poète Rubempré, si bien que Balzac n’a pu relever la parenté onomastique (qui n’existait pas encore sous le seul titre « Le Soir » !) entre son roman et le tableau de Gleyre, perdu dans un Salon qu’il juge sans indulgence. « Je suis allé au Salon », écrit-il à Mme Hanska le 21 mars 1843, «Hélas ! tout y est d’un médiocre

et non sans ironie, quêter comme espoir d’un au-delà. Godot, c’est l’enfer d’une dialectique sans espoir de synthèse -- une dialectique autrement dit qui tourne en rond -- qui tourne fou. Par ailleurs, ce signifiant est lui-même pris dans une onomastique bien particulière : à la valse des concepts répond celle des noms (des phonèmes). Comme toujours chez Beckett, les noms propres sont loin de l’être. L’état civil du personnage est toujours entre deux noms comme d’autres entre deux chaises : Estragon-Gogo

qu’apporte la transposition. • Ajouts : Certains personnages et certaines scènes ont été ajoutés. Choisissez deux exemples d’ajouts et essayez d’expliquer pour quelles raisons la réalisatrice a fait ce choix. • Le film : Quelles modifications onomastiques le film introduit-il ? Pourquoi selon vous ? ✒ ÉCRITURE D’INVENTION • Le professeur de violoncelle se nomme « Frédéric » ; il sera embauché chez « Mme Arnoux ». Faites une recherche sur ces prénoms dans l’œuvre de Flaubert. Pourquoi ce choix de

réflexion humanisme avec de nombreuse référence, mythologique (Athena qui naît de la tête de Zeus, comme Gargantua de l’oreille)Une parole de liberté qui se manifeste par un plaisir des mots et une ivresses verbaleJeux de mots et inventions verbale : Onomastique, Que grand tu as, Merdaille, Tripet (étripé) ; Néologisme, Coqcigrue (Chimère) ; Jeux de mot, Entonner un entonnoir.La parodie : Roman de chevalerie (voir def) Autre parodie de géant : SchreckLes cibles de la Satire : - La Sorbonne, censuré Pantagruel

que le journaliste soumet l'événement à sa verve ironique et à son style sémillant, le narrateur dénonce les velléités d'action chez ses personnages. Le roman de Flaubert porterait bien le titre du journal du bohême Hussonnet : Le Flambard. une onomastique aussi riche en sens que l’est le nom de son créateur. Si d'un côté le motif du duel est dérisoire, et que le déroulement de la confrontation révèle cette absence de héros dont parle Marx (op.cit) le travail de l'artiste, de l'écrivain produit

exemple) fera certes sourire les connaisseurs, mais risque de conforter l’ethnocentrisme du grand public, de même que les évocations (entre autres) de la Joconde ou de l’épiphanie! Enfin, et peut-être plus sérieusement, on regrettera que l’index onomastique n’inclue les auteurs d’ouvrages scientifiques que jusqu’à la p. 139, ne répertoriant plus par la suite que les noms des Achuar mentionnés dans le texte. COMPTES RENDUS D'OUVRAGES 361 ce discours de la méthode ethnologique que sont ces

occupaient respectivement, et sur lesquelles ils ne s’étaient jamais en fait mutuellement demandé beaucoup de détails, étaient d’excellentes places et, en particulier, fort prometteuse. » Trait caractéristique de l’écriture kafkaïenne, la « carence onomastique » : certains personnages n’ont pas de patronyme : le fondé de pouvoir, les sous-locataires, les trois bonnes, d’autres n’ont pas de prénom (le père, la mère) ; l’une des bonnes n’a qu’un prénom (« Anna », p. 60). Personnages (voir

projette (Mme Vauquer et la pension dans Le Père Goriot) • un rôle dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) • une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) • une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »... • un passé (les Maheu dans Germinal) • une situation sociale, un métier (cf. regard