Onomastique

sole : l’Algérie / Paris / l’Amérique. Qu’elles sont les soles de ce roman ? Le moi et l’autre.  Est-ce que l’interculturel protège la culture ? L’autre est-il une ennemie ? └ Langue / autres suggestions… . La vengeance. Les noms propres : les onomastiques maghrébines.  Les noms propres que signifie-t-ils ? Les personnages définissent par le nom. La distance / la frontière : La distance est-elle signifiante ? La proximité : L’architecture de la médina de Tunis. Vous êtes guérie… . Le romancier s’interroge-t-il

dûment étriller le « texte » qui va suivre. Je ne sais par quelle grâce il pourrait échapper à ce dont il témoigne : une date et une situation. Or, le terme de socio-critique commence à se rencontrer ça et là. S'agit-il d'un simple rapiéçage onomastique pour désigner à neuf la critique « positiviste » (explication de l'arbre par la forêt), ou du déguisement d'une certaine critique marxiste (dialectique de l'arbre et de la forêt) ? S'agit -il d'une dénomination commode et synthétique qui couvre

il se projette (Mme Vauquer et la pension dans Le Père Goriot) un rôle dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »... un passé (les Maheu dans Germinal) une situation sociale, un métier (cf. regard sociologique

assonances et rimes internes) qui assurent au poème sa musicalité (« Les Vautours », « La Route véritable », « Les heures » « Ensemble »), la variation du rythme, l’usage d’un lexique tantôt exotique tantôt familier au lecteur, l’utilisation d’une onomastique et l’évocation d’une toponymie tantôt locale, tantôt universellement connue, tout contribue à donner au poème un caractère original. C’est en fait un métissage de deux cultures qui s’opère malgré l’intention subversive du poète : l’oralité africaine

05/03/12 Roman d'une femme déçue par la vie, situation de perdition, c'est un roman de la déception, thème de la mélancolie. Lieu : au milieu de nulle part. Comment Flaubert s'y pend t-il pour tourner en dérision le discours de ____ ? I-Lyrisme, Onomastique, Rhétorique, Répétitions, Registre romantique, Rapport à la nature... Ridicule (fond VS forme). Rodolphe manipulateur pour mettre en confiance sa compagne Emma, énumérations incohérentes (surcharge). Discours argumentatif, explicatif, didactique

identité, mais, en revanche, en voile l’ipséité (pour utiliser le système de soi de Paul Ricœur). Donc, la subversion kundérienne consistant en une destruction systématique des signes et en un dépouillement des objets de leurs noms (subversion onomastique) a pour but une perception pure qui permette d’appréhender le monde dans son unicité. Pour réconcilier les effets du paradoxe et le résoudre il paraît, donc, logique de déconstruire la notion du Grand Retour, d'en appréhender les composantes

Annonce ds Pts 6 I ‘s¢ traduit essentiellement par le concept de gens qui se comprend comme le «clan» ou la «maison », entendy comme un regroupement de familles qui trouve ses origines dans les temps immémoriaux de Rome, Le systéme onomastique romain traduit cette appartenance puisque Vindividu dispose d'un nom qui lui est propre, d°un nom propre a sa famille, puis un nom propose a sa gens. C’est ce ‘hom qui est souvent retenu, comme pour Jules César, Julius étant la détermination de

conséquence logique de cet abime dans lequel s’enfonce Frédéric. On peut faire une double lecture, le lire comme les historiens ou aussi faire la lecture esthétique et métaphysique. En face de Frédéric, beaucoup d’autres personnages `> Sénécal (onomastique : art de choisir les noms), ici brutalité, c’est un radical, a des convictions contrairement à Frédéric > p.206, représente un courant très important du XIXe siècle, Sénécal n’a aucun doute, il l’impressionne beaucoup, fasciné par ce qui lui ressemble

s’oriente ensuite vers l’expression du mythe dans un récit poétique épique, Anabase. Exil, Amers, conservent le ton caractéristique de la poésie persienne, une poésie cosmique, inventaire fasciné des richesses du monde mais aussi de la richesse onomastique d’une langue qui devient proprement incantatoire. L’oe a semblé hermétique (Proust parle, dans Sodome et Gomorrhe, « des poèmes admirables mais obscurs de Saint-Léger Léger), mais reste l’une des plus personnelles de la poésie contemporaine.

l’étymologie des noms propres) : * Amaurote, la capitale, est une ville fantôme (plongée dans le brouillard) * Le fleuve Anhydris la traverse, le « fleuve sans eau » * Peuple gouverné par le roi Ademus, c’est-à-dire sans peuple * Onomastique du NEANT avec des préfixes privatifs. More lui-même affirme l’inexistance de cette ville parfaite. * La vie (organisation) en Utopia : Le travail : 6h/jour. Il a pour but d’assurer les moyens matériels de la Cité et les besoins primaires des