On Vit On Parle Les Contemplations

Bonaparte qui est élu président (mais quand ce dernier usurpe le pouvoir par son coup d'État du 2 décembre 1851 pour se proclamer empereur, Victor Hugo prend la route de l'exil). Alors, à Jersey, puis à Gernesey, l'écrivain poursuit son œuvre : Les Contemplations (1856) ; La Légende des Siècles (1859) ; Les Misérables (1862)... Après la défaite de Napoléon III à Sedan, le poète revient en France en 1870 (mais son retour est douloureux car la Nation est déchirée par les violences issues de la révolte de

l'auteur. Mais cela va plus loin que la simple confidence, certains poèmes de Victor Hugo sont étroitement liés aux circonstances dans lesquels ils {text:soft-page-break} furent écrits : c'est par exemple le cas de « Demain dès l'aube », dans les Contemplations, qui porte la trace de la mort de la fille de Hugo, Léopoldine. En laissant parler naturellement ses émotions, le poète se fait le reflet de l'homme qui retrouve son propre ressenti dans l'œuvre. Ce sont les impressions, les souvenirs qui construisent

Extrait : Cependant dans « Le Rat qui s’est retiré du monde » le fabuliste quitte un instant son univers des prédateurs et de proies pour donner sa version animale de Tartuffe, du faux dévot plus avide de biens matériel et de confort que de contemplation mystique. Question probable : Que dénonce cette fable ? Annonce du plan : Nous étudierons d’abord la satire du clergé puis la présence ironique de l’autre ; enfin nous tenterons de donner le sens le plus large possible à la morale finale. Axes

par un regard, une contemplation. La beauté n’est pas en soi un le vecteur d’une action, mais un donné qui ne se permet pas d’être utilisé, même pour combattre la violence. La beauté fait donc preuve d’une impuissance à agir directement. Cependant, la beauté, par sa réception et sa création à l’encontre de la violence, « agit » indirectement, elle l’éloigne temporairement. Il ne s’agit pas à proprement parler d’une action, mais de la conséquence soit d’une contemplation soit d’une création

influencé profondément la littérature entière. Il a notamment beaucoup influencé le surréalisme au XXe siècle. Ses poèmes les plus connus, rassemblés dans Les Cahiers de Douai, ont été écrits quand il était adolescent, entre 15 et 16 ans. Arthur Rimbaud vit alors à Charleroi dans le nord de la France, chez sa mère qui le soumet à une éducation stricte, bourgeoise et catholique. « Ma Bohême » est probablement son poème le plus célèbre. Il y semble raconter, ou plutôt romancer l'une de ses fugues, loin de

Exemple : ruines, paysages montagneux, des précipices, des cascades. Le romantisme a le goût de rêve, du mystère, du fantastique et de l’imagination. VICTOR HUGO (1802-1885) : Notre Dames de Paris, Les misérables, Les contemplations. Le réalisme (1850-1880) : Là, on ne parle plus de sentiment mais de comportement. On décrit la nature de manière objective en respectant les faits matériels. On étudie l’homme dans son milieu. Le roman est le lieu où se réalise la confrontation d’un être, venu souvent

porterait sur l’amour. Afin que mon recueil soit le plus complet, j’ai choisi des poèmes, de divers poètes du XIX ème siècle, traitant de plusieurs types d’amours. J’ai, en premier lieu, choisi le poème symbolique « Initium » de Paul Verlaine car il parle d’une histoire d’amour ambiguë qui ne reste qu’un souhait inabouti. Et, il invite le lecteur à écrire la suite de par son dernier vers inachevé: « Et je crois que voici venir la Passion » qui l’amène, ainsi à la réflexion. Ensuite, je me suis aidée

partager une certaine complicité avec les personnages et souvent aussi, avec l’auteur lui-même. Quand on lit un roman comme  Le Comte de Monte Christo  d’Alexandre Dumas, ou bien la Lumière des Justes d’Henri Troyat, ou un grand roman de Jules Verne, on vit avec Edmond Dantès au Château d’If ou avec Nicolas et Sophie Ozaref sur les routes glacées de Sibérie : au fil des pages, les personnages deviennent des familiers, et même des amis. Ce bonheur est parfois si intense que l’on a du mal à s’arracher à

montrerons que son statut de créateur l'éloigne cependant du commun des mortels. I. Le poète est semblable aux autres hommes 1. Un homme ordinaire, physiquement et affectivement Le poète est impliqué dans le quotidien, comme l'homme ordinaire ; il vit les joies et les difficultés de la vie de tous les jours. Ses douleurs ont les mêmes causes que celles des autres humains : perte d'un être cher, désillusion, dépit amoureux. Le poète se décrit explicitement comme un être qui souffre, vieillit et va

félicité à l’unanimité par la critique. Invitée à participer au Colloque International Ob/scena[01] Visions féminines [1995-2007], organisé par le Groupe de Recherche de notre département les 31 mai, 1er et 2 juin 2007, Natacha de Pontcharra nous a parlé de sa création théâtrale, de ses obsessions, de sa façon de travailler, de ses goûts, des difficultés de publication et de mise en scène, des problèmes économiques et pratiques de tous ceux et celles qui, comme elle, dédient leur vie à l’écriture du