Olympia Manet Couleurs

voire les artistes eux-mêmes- associent l'art à la création. Ils considèrent qu'il y a une forme qui se crée lorsque l'art s'opère en acte. De tels propos sont, en effet, fréquents. Souvent, en effet, tel critique, tel artiste évoque la "création" de Manet, la force créatrice de Picasso, le talent créateur de Mozart ou d'Hugo. L'artiste est fréquemment considéré comme un faiseur d'oeuvres, un créateur. Il est même parfois tenu pour le créateur par excellence. Mais pourquoi l'acte de création est-il associé

Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l'essence de l'humanité, que les peuples d'Asie, qui font des eunuques, privent toujours les noirs du rapport qu'ils ont avec nous d'une façon plus marquée. On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui, chez les Egyptiens, les meilleurs philosophes du monde, étaient d'une si grande conséquence, qu'ils faisaient

Une évocation poétique du corps féminin : le blason Page de couverture : Olympia (1863) Édouard Manet , Musée d'Orsay, Paris SOMMAIRE XVI ème siècle Blason du beau Tétin,Clément MAROT (1535) Blason des cheveux, Jean DE VAUZELLES Blason de l’œil , Mellin DE SAINT-GELAIS , Œuvres (1547) Sonnet X, RONSARD, Continuation des Amours (1555) Sonnet 9, O beaux cheveux d'argent mignonnement retors ! , DU BELLAY , Les Regrets (1556)

symboles. Mise en place d’un langage visuel strict géométrique. Tout est ramené à un plan. Proposition d’une narration : aplats de couleurs vives, art adressé au peuple qui n’a aucune culture, art immédiat. · Villard de Honnercourt, croquis du 13e siècle. → Formes géométriques. Personnages basés sur un pentagramme. · Peinture Médiévale Romane, illustration. → Couleurs vives, tout est aplatit, stylisé, position symbolique, gestuelle stylisée. → Faire passer un message. Changement progressif au

par l’analyse de la préface de la seconde édition ; — « Un mouvement culturel et littéraire du XIXe siècle : le naturalisme », grace à l’analyse de la démarche expérimentale et ˆ à la mise en relation du texte avec les tableaux de Manet (Le Déjeuner sur l’herbe, Olympia) ; — « Le théatre : genre et registre », par la mise en parallèle du ˆ roman avec la tragédie. Pour entreprendre cette étude, aucune contrainte de calendrier n’existe vraiment. Elle peut donc être envisagée assez tôt dans l’année,

L'art chez les philosophes antiques Platon (427-347 avant Jésus-Christ) exalte l'idée du Beau, mais selon lui, le beau n'est pas lié à l'art, bien au contraire, le beau absolu ne peut se rencontrer que dans les figures géométriques, dans les couleurs pures, les sons purs : la beauté est abstraction. Elle est aussi bien une question qui touche à la morale et à la politique. Dans La République, Platon condamne d'un point de vue ontologique, les qualités mimétiques et le simulâcre des arts plastiques

paria de la soicété moderne. o Dumas (1802-1870) : le sens du pathétique. Il choisit une histoire romancée et vivante. Le lecteur se trouve ainsi pris dans un tourbillon d’aventures. Les héros sont volontaires, courageux et sympathiques. Soucieux de couleur et pittoresque, il écrit dans un style plein de théâtralité, le destin de ses héros rejoint régulièrement l’Histoire, ce qui donne à ses scènes une importance cruciale et une dimension pathétique. o Mérimée (1803-1870 ) : le souci du pittoqresque

rabattement : les cornes d’un bouquetin vu de profil sont rabattues sur le même plan, de manière à ce qu’on les voie * technique d’estompage du trait : l’avant-plan est foncé, et plus on va vers l’arrière plan, plus les couleurs sont claires. Il se sert aussi de la couleur de la paroi pour jouer sur l’impression de profondeur. * en sculpture, l’arrière-plan est uniquement gravé alors que l’avant-plan est en relief. Réalisme ? * L’Homme de Cro-Magnon représente non seulement ce

de l'école de Barbizon, comme certains paysagistes anglais, comme Boudin ou Jongkind, ils poussent très loin l'étude du plein air, font de la lumière l'élément essentiel et mouvant de leur peinture, écartant les teintes sombres pour utiliser des couleurs pures que fait papilloter une touche très divisée. Peintres d'une nature changeante, d'une vie heureuse saisie dans la particularité de l'instant, ils sont indifférents à la recherche, chère aux classiques (et dévoyée par les académistes), d'un bel

l'architecture islamique. C'est avec la Grande mosquée de Cordoue le plus prestigieux témoin de la présence musulmane en Espagne du VIIIe au XVe siècle. Le nom féminin Alhambra provient de l'arabe Al Hamra (الحمراء), « la rouge » en raison de la couleur que prennent les murs du monument au coucher du soleil. Leurs caractères sont d'ailleurs opposés : à la sobriété grandiose du monument religieux représentatif de la première architecture islamique, s'oppose l'exubérance de la dernière manière hispano-mauresque :